SUITE - Rencontre avec une infirmière coquine

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Après l'avoir attendue avec impatience, découvrez la suite de l'histoire coquine "Rencontre avec une infirmière coquine".

Le message


Cela fait bientôt trois semaines qu’Ophélie ne croise plus ma route dans les couloirs. Nous sommes un mardi ensoleillé et la journée s’annonce douce. Après avoir assez peu dormi comme à mon habitude il me faut un café pour attaquer la journée. Aujourd’hui ce sera Colombie... Par réflexe je regarde mes messages pour voir si mon premier patient n’annule pas (je déteste arriver au cabinet et qu’il n’y ait personne). Pas de messages... allez café, douche et au boulot...

ding... ah!! Un numéro que je ne connais pas! Intrigué la douche attendra.

_ salut Thomas c’est Ophélie, tu te souviens? J’ai récupéré ton numéro j’espère que ça ne te dérange pas? Je pense souvent à ce qu’il s’est passé la dernière fois. J’ai beaucoup hésité à t’envoyer ce message mais je crois que je te dois quelque chose non?

Je ne sais pas si je suis mal réveillé ou si c’est réel. Elle veut qu’on se revoit...

est-ce que je dis oui?

Ding... Comme pour me convaincre elle m’envoie un autre message. Une photo d’elle en soutien-gorge. Mon dieu elle est sublime, sexy. Sa lingerie met en valeur les courbes de ses seins. Je me sens tendu... vite à la douche pour réfléchir à la proposition. Je me déshabille sans arriver à ôter son image de ma tête. En enlevant mon boxer je vois que mon sexe aussi y pense. Je revoit notre entrevue et tout me revient comme si elle était là à côté de moi. Son odeur, la chaleur de son corps, sa respiration haletante, la douceur de sa chatte... sans m’en rendre compte j’ai commencé à me caresser. C’est maintenant sûr je la veux entière. Fin de la douche... je suis en retard je répondrais en arrivant au boulot.

La semaine

_ salut, il paraît que oui...

Il est mardi midi quand elle répond.

_ je suis libre vendredi soir si ça te va et mes parents ne seront pas là. On aura tout le temps qu’il faut.

_ tant qu’ils ne rentrent pas samedi à l’aube... ça me va.

_ non t’inquiète ils rentrent dimanche.

_ parfait vendredi soir vers quelle heure?

_ viens pour l’apéro si tu veux.

_ nickel à vendredi alors j’apporte le champagne.

_ seulement si je peux le boire sur toi

_ hummm oui comment refuser....

La journée se poursuit, et je ne pense qu’à elle, au vendredi à venir. Mardi soir passe, mercredi, plus que 48 heures. Le jeudi est bien entamé quand je lui envoie un nouveau message.

_ j’ai hâte d’être demain....

Sa réponse fut tardive

_ moi aussi.... je veux te rendre tout dur, comme je t’ai senti la dernière fois.

_ c’est presque déjà le cas.

_ mmmm montres moi.

Je lui envoie une photo de mon boxer à travers lequel on devine mon sexe raide.

_ mmmmm je peux te l’enlever?.... pour te caresser, te sucer, la sentir en moi....

Assorti au message je reçois une photo d’elle nue cachant sa poitrine et son intimité. Sa peau a l’air si douce...

_ hummm tu es tellement sexy... j’ai envie de toi.

_ moi aussi mais on verra ça demain.

Je suis vraiment pressé. Les quelques heures qui vont arriver vont être interminables.

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Le rendez-vous

Ce vendredi est long, vraiment long... L’attente de la revoir est insoutenable. Comme pour me torturer d’avantage, mon téléphone ne fait que sonner. Ce n’est jamais elle, juste le travail. L’heure du repas est là mais je n’ai pas faim. Ding...

_ tu ne m’oublies pas ce soir hein? une photo accompagne ce message. Elle est dos à un miroir avec juste un string...

_ non ça risque pas...

Comment je peux manger avec cette image en tête? Impossible il faut que je continue ma journée... au fur et à mesure de ses messages elle dévoile son corps parfait. La finesse de ses traits, ses courbes exquises... elle est sublime. Comment vais-je résister? Du moins essayer au minimum? Il est 16h30 quand le téléphone se manifeste à nouveau. J’attends de finir ma séance pour découvrir une petite vidéo. Elle est en train de lécher une glace langoureusement. Sa langue danse sur le cône. En commentaire j’ai le droit à : j’en ai marre de m’échauffer...

Je crois que je vais devoir annuler mon planning si elle continue. Non après tout elle attendra ça ne sera que meilleur. Je n’arrive plus à travailler, les patients me parlent mais je ne percute plus. Je travaille machinalement, mon cerveau trop occuper à imaginer la soirée. Dernier patient parti, enfin. Je vais pouvoir aller me doucher, mettre une chemise et un jean pour la retrouver.

19h30 j’arrive devant chez elle. Pas besoin de sonner le portail électrique s’ouvre à mon approche. Je vois une ombre qui me surveille de l’étage. Je pose ma main sur la porte pour signaler que je suis là, et elle cède juste sous mon poids. J’entre donc... Ophélie et là au sommet de l’escalier. Quelle beauté!! Dans sa robe cintrée qui arrive mi cuisse, elle me plaît beaucoup. Elle descend lentement vers moi. Ses talons claquent. Sa démarche est féline... je me sens comme une proie. Impossible que je lui échappe. Après tout je n’ai pas du tout envie de lui échapper. Au fur et à mesure qu’elle se rapproche, les détails apparaissent... elle s’est maquillée pour moi. Un fin trait de crayon noir vient souligner ses yeux verts. Un accord parfait avec ses cheveux noirs coiffés en un chignon déstructuré. Son regard est spectaculaire, sensuel, incendiaire. Des effluves de parfum arrive jusqu’à mes narines. Elle sent si bon... tous mes sens sont en alerte. Elle dépose un baiser sur mes lèvres. Il est sucré, doux...

_ Bonsoir...

Je ne réponds même pas. Elle s’en va vers le salon je la suit comme hypnotisé. L’apéro est déjà servi. Voyant la bouteille de champagne que je tiens elle va chercher les coupes. Je n’arrive pas à défaire mes yeux d’elle. Son sourire, ses yeux, les courbes que laisse deviner sa robe... tout est parfait. Nous sommes assis sur le canapé, j’ai repris mes esprits. Les discussions se suivent... nos vies, la musique, le sport, le dessin... beaucoup de choses nous rapprochent. Je prends bien soin d’éviter certains sujets sur moi (certaines bisounautes savent pourquoi).

Nous rigolons, le champagne descend à vu d’œil. La bouteille n’est pas fini mais Ophélie propose quelque chose de plus fort. La soirée risque de déraper...

Les nuits fauves...

Nous sommes à l’aise tout les deux. Je me penche en avant pour nous resservir, son parfum flotte autour de moi mêlé aux vapeurs de rhum brun. Quel délicieux mélange... la discussion a lentement dérivé sur nos aventures. Elle me parle de sexe sans retenue. J’ai chaud, elle aussi. Ses joues sont rougies par l’alcool. S’en faire attention sa robe est légèrement remontée sur ses cuisses. Je vois le haut de ses bas. J’adore.... elle voit que mes yeux se sont arrêtés sur ce magnifique spectacle.

_ coquin... tu veux voir le reste?

Je n’ai même pas besoin de répondre. En un instant elle se met à califourchon sur moi. L’excitation monte terriblement, j’entends même son cœur battre. Le mien va exploser dans ma poitrine. Mon sang bout. Les yeux dans les yeux, ses mains sur mon torse, les miennes sur ses cuisses, le temps s’arrête. Une pause délicate avant le grand saut. Ophélie mordille sa lèvre inférieure... ma respiration s’accélère. Je glisse une main dans ses cheveux et amène son visage au plus près du mien. Nos les lèvres s’effleurent, se joignent dans un baiser langoureux. Il est difficile de s’arrêter. Nous nous sourions un peu bêtement. On dirait deux ados... mes mains remontent alors vers ses fesses. J’en profite pour faire glisser sa robe le long de ses hanches. Nos lèvres ne se quittent plus. Je lui caresse les fesses pendant qu’elle déboutonne ma chemise. Ça y est elle est au dernier bouton. Je me redresse pour qu’elle me l’ôte. Ophélie se lève, défait sa robe qui glisse le long de son corps. J’hallucine, elle est encore plus sexy en vrai... elle a mis un ensemble noir assorti avec les bas. Je lui prends la main pour la ramener contre moi. Elle se laisse faire et je peux promener mes mains sur son dos, ses épaules, sa nuque, sa poitrine.... Je viens lui déposer un baiser dans le creux de son cou. Je réitère et je descends lentement sur le haut de son thorax. Sa peau est si douce que l’on dirait du miel. Mes lèvres se transforment alors en un milliers d’abeilles. Son haut ne résiste pas et je peux libérer ses seins. Je ne pensais pas qu’ils étaient si gros. Je peine presque à les prendre entier dans mes mains. Elle est excitée, et hésite pas à prendre ma tête pour la guider. J’offre à ses tétons durcis quelques caresses avec ma langue. Je prends soin de tourner autour, de les aspirer. Quand je les mordille Ophélie laisse échapper quelques soupirs de contentement. Ma main qui est sur ses fesses, glisse entre ses jambes. C’est encore plus chaud que la première fois. A travers son string je commence à caresser son intimité. Elle aime ça je t’entends gémir... moi aussi j’aime la mettre dans cet état. Elle me rejette dans le canapé...

_ c’est à moi de jouer maintenant!!

Ses mains glisse sur mon torse, je frémis. Sa bouche suis de près. Elle dépose de délicat baiser le long de mon torse, descend sur mes abdos... à genoux devant moi elle me fixe. Ses mains défont ma ceinture, les boutons de mon jean, glisse sur mon boxer... ma queue est déjà bien gonflée. Je soulève mon bassin pour qu’elle puisse faire glisser le tout sur mes chevilles. Ça y est elle libère mon sexe, fier, dressé pour elle. Ophélie en profite pour me faire languir. Je sens ses caresses et ses baisers sur mes cuisses, de plus en plus proche.

_ suce moi!!!

Je n’en peux plus.... je veux sa bouche, sentir sa chaleur entourée mon gland, sa langue se promener... Du bout des doigts elle caresse mon sexe, mes testicules. Enfin elle me prend en main et doucement commence à me masturber. De lents vas et viens. Elle continue de me fixer.

_ ça te plaît de m’exciter comme ça?

_ oui... ça me fait grave mouiller!!!

Pas le temps de réaliser qu’Ophélie passe un bref coup de langue sur mon gland. Puis part de plus bas et remonte jusqu’au frein. Sa langue est vraiment douce... elle va me rendre dingue. Sa langue danse sur ma verge, elle est douée pour son âge. La fellation continue. Elle me prend en bouche, aspire, tourne sa langue autour de mon gland, m’avale entièrement. Je suis dans un état second. Je perds pied dans sa bouche...

_ ohhh j’en peux plus... je veux te prendre.

Pas la peine d’insister, Ophélie se redresse enlève son string pendant que je mets un préservatif. Elle vient s’asseoir sur moi. Nos sexes se touchent, je sens la chaleur de son entrejambe. Mon gland vient frotter son clitoris avant de trouver l’entrée de son vagin. Elle est tellement mouillée que j’entre en elle sans difficultés. Elle s’empale sur moi d’un coup, entièrement. Je suis au fond d’elle. Nos corps sont en harmonie. Elle ondule le bassin, aidée par mes mains sur ses fesses. Je la sens se cambrer, accélérer, varier les rythmes pour prendre son pied. Ses soupirs deviennent des cris. Je veux l’entendre encore plus fort. Je la bascule sur le canapé, allongée sur le dos, les jambes écartées elle est offerte à moi. Sa chatte brille avec son excitation. Je me rapproche, embrasse ses cuisses, son bas ventre. Plus je me rapproche, plus je sens son intimité. Cette odeur douçâtre... ma langue glisse sur son mont de Vénus, jusqu’à son clitoris. Le goût est légèrement acidulé, je ne vais pas la lâcher avant qu’elle jouisse. Son clitoris est gonflé de désir, je le lèche, tourne autour, l’aspire. Ophélie se laisse emporter... ses cris deviennent intenses. Ses mains dans mes cheveux me supplient de continuer. Elle est proche de l’extase. J’insère deux doigts en elle en même temps. Quelques aller retours et je les recourbent pour aller chercher son point G. Sa respiration est haletante, coupée par des cris de plaisir. Elle est trempée. J’accélère les mouvements de mes doigts, il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse.

_ j’en veux encore. Baise moi...

_ mets toi en levrette!!

Je n’en reviens pas son envie est intacte. Ophélie m’offre sa chatte en levrette avec une vue sur un cul diabolique. Même son petit est ouvert d’envie. De la mouille à coulé jusqu’à lui. J’enfonce à nouveau ma queue en elle.  Mes mains sur ses hanches je la prends avec vigueur.

_ ouiiiii continue j’aime ça!!! Démonte moi!!!!

J’accompagne les violents coups de reins par des fessées appuyées.

_ mmmmmm je vais jouir....

Elle est déchaînée, ses cris sont puissants. Elle s’agrippe comme elle peut à tout ce qu’elle trouve. Un deuxième orgasme l’envahit comme une décharge électrique. De mon côté je suis aussi sur le point de jouir. Elle m’offre sa bouche pour une ultime gâterie. Il ne me faut pas longtemps pour craquer et lui remplir la bouche de mon jus qu’elle avale d’un trait.

Il fait chaud, Ophélie est décoiffée et nous sommes essoufflés. Quelle est belle les yeux illuminés de plaisir...

_ on va peut-être prendre une douche maintenant.

_ je te suis.

La chaleur de l’eau fait du bien... nos caresses sont douces. Nous échangeons quelques baisers avant de retourner finir le champagne. La nuit continue ainsi entre échanges verbaux et échanges charnels un coup dans la cuisine, le salon, sa chambre ou encore l’escalier. Nous en profitons pour tester un maximum de choses. Elle a déjà une petite collection d’objets dédiés à son plaisir avec lesquels elle me demande de la faire vibrer. Elle m’offre tout son corps sans retenue.

Il est 8h du matin quand Ophélie s’assoupit. Je la contemple allongée nue. J’écris un petit message que je glisse sous son oreiller. « merci pour cette sublime soirée... ce n’est pas parce que je m’enfuis que je t’oublierais. »

Il est temps pour moi de partir dans le jour naissant, faire le point seul fasse à la nature.


Fin

Auteur : Tombessien


Les commentaires

Mattel à 08:02, le 18 décembre 2019


Superbe récit! On espère qu’il y aura une suite!

mindou à 08:37, le 18 décembre 2019


j'ai adorée

MrAndromaque à 11:53, le 19 décembre 2019


Un vrai délice j'ai été transporté très loin j'étais presque le témoin de cette scène, encore merci je ne dirais pas que c'était rafraîchissant non non je sens encore la chaleur sur mes joues tellement c'était excitant à lire....

MrAndromaque à 11:54, le 19 décembre 2019


Un vrai délice j'ai été transporté très loin j'étais presque le témoin de cette scène, encore merci je ne dirais pas que c'était rafraîchissant non non je sens encore la chaleur sur mes joues tellement c'était excitant à lire....

Tombessien à 18:42, le 7 janvier 2020


Je suis touché par tous vos commentaires... merci


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