Chère lectrice rousse aux petits seins: premiers ébats lesbiens (2ème partie)

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- Benoit...

- Candice...

- Je... J'ai...

- Tu as envie de Léonie, jolie rousse. Je le sais. Je t'ai regardée, tu sais ? 

 

- Mon amour... Elle te plaît, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds. Léonie... 

 

Mes mains étaient posées sur la chute de tes reins. Tu as poussé un gémissement on-ne-peut-plus éloquent.

 

- Benoit...

- Candice...

- Je... J'ai...

- Tu as envie de Léonie, jolie rousse. Je le sais. Je t'ai regardée, tu sais? Elle te plaît...

 

Mes paroles... Elles ont mis de l'huile sur le feu, mon coeur. Je le sais. Tu n'avais besoin que de ça pour oser, Candice. Je te serrais contre moi. Je faisais en sorte que mes mains soient douces au contact de ta peau. Je voulais que tu sois toute détendue. J'avais envie que tu te laisses aller à tes instincts sensuels, ma belle Candice.

 

- Benoit...

 

Ta voix... C'était comme si c'était une plainte qui émanait de tes cordes vocales. C'était comme si tu me... suppliais.

 

- Benoit... Quand tu me prends dans tes bras... Comme ça... Je ne réponds plus de rien.

 

Je t'ai fait pivoter, faire volte-face, Candice. J'ai voulu que l'on se regarde dans le blanc des yeux. J'ai voulu voir de tes propres yeux ce qu'il se passait dans ton corps et dans ton esprit.

 

- Benoit... Je... Tu sais que je t'ai dans la peau. Mais là...

- Candice... Tu es en train de dire oui au plaisir. C'est Léonie qui te fais ce quelque chose, n'est-ce pas?

- Benoit... Tu sais que je te suis fidèle. Mais là... J'ai jamais ressenti ça. Cette fille-là, Léonie... J'ai des papillons dans le ventre. J'ai jamais ressenti ça pour une fille.

- Chuuuut... Chut, chut, chut, Candice. C'est pas un crime, tu sais? Tu fais rien de mal. Tu sais ce que je pense...

- Mais toi? Et toi, Benoit?

- Chuuuuut, Candice. Elle te plaît, Léonie. Les papillons dans ton ventre... Tu dois avoir aussi les seins qui gonflent, les tétons qui sont tout durs et qui pointent, le sexe qui mouille... Tu ne fais rien de mal, tu sais, mon amour?!

- Benoit... J'ai envie de Léonie. Aide-moi. S'il te plaît.

 

Cette fois, c'étaient tes célèbres yeux suppliants que tu braquais sur moi. Il n'y avait aucune équivoque dans ce regard.

 

- Candice... Je t'aime. Et ce que tu veux, je te le donnerai.

- C'est de Léonie dont j'ai envie, mon mystérieux.

 

Là. Tu ne pouvais pas être plus claire, Candice. Tu venais d'exprimer au grand jour ton envie la moins réprimable. Tu voulais coucher avec la jolie serveuse. Et tu voulais que je sois à tes côtés pour que tu parviennes à tes fins. Je te regardais dans le blanc des yeux. Je ne te lâchais pas, plus d'une semelle désormais. Je savais ce dont tu avais envie, mon coeur. Et je voulais ce que tu voulais, ma jolie rousse. Et vu que j'ai pu avoir une certaine intimité par le passé avec Léonie... Ce serait peut-être plus... facile d'envisager un rapprochement entre elle et toi. Tu ne quittais pas la jolie blonde des yeux. Moi? J'étais... Je me collais à toi. Je te faisais savoir... Je te faisais comprendre que tu m'émoustillais. Je te souriais, mon coeur. Et toi, tu me souriais. Je voyais tes dents blanches.

 

- Mon amour... Mon mystérieux... Mon... Benoit...

- Ton... Benoit. Rien qu'à toi, Candice.

 

Nous étions dans les bras l'un de l'autre et nous nous faisions face. Nous étions bien ainsi. Nos visages se sont rapprochés et nous avons échangé un tout petit baiser où nos lèvres se sont touchées avant de se séparer. Nous nous sommes alors regardés et nous nous sommes souris. Tes yeux pétillaient tellement, ma belle. Ça me faisait particulièrement plaisir, chaud au coeur de te voir heureuse comme ça. Et quand je t'ai vu ainsi, souriante comme jamais, j'ai eu plus que tout envie de t'aider dans tes desseins: plaire à Léonie, la séduire. Faire l'amour avec elle.

 

Pour cela, je t'ai pris par la main et nous nous sommes rendus sur la piste de danse improvisée, Candice. Tu n'as pas cherché à comprendre.

Tu savais pourquoi. Tu m'as adressé un sourire qui m'a fait fondre. Tu avais compris. Nous nous sommes rapprochés de Léonie qui dansait, elle aussi. J'ai posé mes mains sur le bas de tes reins. Toi, tu as réagi instantanément à mon invitation et tu as passé tes bras autour de mon cou. Là. C'était on-ne-peut-plus clair, Candice. La situation nous excitait, autant à toi qu'à moi. Car on savait pourquoi on se comportait comme ça. Léonie a reçu le message cinq sur cinq. C'était clair comme de l'eau pour elle. Elle nous a souris. Qu'est-ce qu'elle était bellotte... Un ange. Un... ange? Une belle démone, une jolie diablesse, plutôt.

Et comme par magie, la... magie est née entre vous deux. Sur de la musique rythmée, entraînante, du reggaeton ou de la bachata, vous vous êtes trémoussées. Ça a été Léonie qui a initié le mouvement et toi, ça t'a émoustillée, Candice. Ça t'a fait quelque chose, ça a produit un effet sur toi. Car à ton tour, tu t'es mise à te déhancher sur la piste de danse. Et non seulement voir la jolie blonde être déchaînée a titillé ta curiosité, mais dans un accès d'audace, tu t'es rapprochée d'elle. J'étais soudain en retrait. Je te regardais. Léonie a gloussé. Puis elle t'a adressée un sourire radieux. Elle s'est collée contre toi et vous avez commencé à danser toutes les deux ensemble.

 

C'est fou à quel point deux femmes sont belles lorsqu'elles font l'amour ensemble. Moi, c'est ce que je me suis dit et pour être honnête... je continue de le penser alors que vous calmez enfin vos ardeurs. Vous êtes dans les bras l'une de l'autre. Vos lèvres se touchent et puis se quittent. Vous vous contentez de petits smacks. Ça vous plaît. Vous vous regardez dans les yeux. Vous vous dites des mots doux susurrés, presque murmurés, pratiquement inaudibles. C'est intime, ce que vous êtes en train de vivre. Ça doit rester entre les quatre murs de cette chambre.

J'ai tout vu, Candice. Je n'en ai pas perdu une miette. Et même si je me suis fait voyeur, c'est ton jardin secret. Léonie a été la fille parfaite pour ta première fois entre nanas. Je le savais. Tu le sais, à présent. Moi aussi, j'ai fait l'amour avec elle. Elle est douce. Elle est sexy. Elle a cette sensualité et cette ouverture d'esprit qui sont naturelles et qui sont innées chez elle. Et là, ce qu'il m'importe plus que tout, c'est le fait de te voir sourire, d'avoir les yeux pétillants et dilatés. Tu es toi-même. Tu es heureuse. Je ne suis pas à tes côtés. Soit. C'est tout comme. Je partage ton sourire, ton bonheur, ma jolie. Ton bien-être, ton épanouissement. Je les vois de mes propres yeux. Ce n'est pas moi qui le vis, qui les ressens. Je les vis par procuration, à distance. Le plus important, c'est que tu te laisses aller, jolie rousse. Déploie tes ailes. Tu as pu le voir... Léonie t'y aide. Là. Lâche du lest. Mon coeur... Je te vois. Je suis ému. Mon coeur bat la chamade. Pour... toi.

 

De fil en aiguille, les événements se sont précipités. Léonie et toi, vous avez eu une alchimie qui vous a connectées. Je réalise. Toutes les deux, vous êtes jolies et vous aimez vous faire coquettes. Toutes les deux, vous cachez ce côté libidineux en vous comme un trésor qui ne doit pas être souillé. Mais quand vous êtes à l'aise, en intimité, en toute sécurité, vous êtes... vous-mêmes. Et tout ce que j'ai pu voir... Ça me l'a confirmé. Léonie, toi... Ça a été comme si le monde autour de vous n'existait plus. J'ai été subjugué par la beauté de cette chorégraphie que vous avez interprétée ensemble sur la piste de danse.

 

Cette chorégraphie... Elle a pris une tout autre tournure, une tout autre ampleur lorsque vous vous êtes isolées dans cette chambre. A un moment donné, je suis allé fumer une cigarette avec des amis, des potes, des connaissances. Quand je suis revenu, tu n'étais plus dans le salon transformé en dancefloor. Je t'ai cherché dans l'appartement, Candice. Je ne te trouvais plus. Et puis... Je t'ai... Je VOUS ai entendues, Léonie et toi. Vous riiez. Vous minaudiez. Ça a titillé ma curiosité.

Je me suis rapproché de la chambre. La porte n'était pas complètement fermée. Un oubli de votre part? Quoi qu'il en était, je me suis fait discret et j'ai légèrement entrouvert la porte...

 

Ce que j'ai vu, au-delà du fait que ça m'a... excité, ça m'a apporté le sourire aux lèvres. Tu riais, tu badinais avec Léonie, Candice. Tu me faisais fondre. Ce n'était pas me tromper, ce qu'il était en train de se passer. Ce n'était pas du tout ça. Tu étais bien en compagnie de cette jolie blonde et tu te laissais aller. Tu laissais tes désirs et tes fantasmes te guider, mon amour. Tu te laissais guider tout aussi bien par cette jolie nana. Plus rien n'avait d'importance. Candice... Tu ne maîtrisais plus rien. C'était le désir qui te prenait au corps, qui prenait possession de toi. Pour la première fois, tu as osé porter tes mains sur le corps d'une femme. Et dans le même temps, tu t'es laissée faire, jolie rousse. Et ça t'a plu, je me trompe? Tu n'y as pas résisté, à ces contacts. C'en était fait de toi...

 

Elles sont belles, deux femmes qui ont le sourire ET qui se sourient parce qu'elles aiment passer du temps ensemble. Elles sont belles, deux femmes qui font l'amour ensemble.

Ces deux femmes, ce sont Léonie et toi. Qu'est-ce que vous l'avez été, belles, toutes les deux, Candice. Tu as appréhendé la suite des événements. C'est normal. Après tout, ça a été la première fois que tu as flirté avec une fille, mon coeur. Je les ai vus, tes yeux, tu sais? Tu as regardé Léonie. Tu cherchais à être rassurée, à être mise en confiance, ma jolie rousse. Léonie a été géniale dans sa manière de se comporter. Elle a posé le bout de ses doigts sur ton menton et elle t'a déposé un doux petit baiser sur les lèvres.

 

Vous vous êtes mises à faire plus ample connaissance. Intimement, je veux dire. Candice... Si tu savais comme tu étais belle à ce moment-là... Tu ne t'es plus posée la moindre question. Ta sensualité naturelle et débridée est très vite revenue au galop. Tu t'es mise à écouter ton instinct, à t'y fier. Mon amour...

Vous vous êtes mises à vous intéresser à la poitrine de l'autre et vice-versa. Je connais vos seins, à toutes les deux. Je n'en ai pas perdu une miette. Je ne me lasse jamais d'admirer de beaux seins émoustillants. Tu le sais, ça, jolie rousse. Tu sais qu'ils me plaisent beaucoup, les tiens, Candice. Oui. Je... les... aime.

Les tiens sont petits mais très mignons. Ils sont en forme de poires. Leurs aréoles sont plutôt larges et tes tétons pointent très vite lorsque tu es excitée.

Ceux de Léonie le sont tout autant, beaux. Ils sont un peu plus gros que les tiens, ma jolie rousse. Ils sont ronds. Du fait que Léonie est une adepte du topless à la plage et qu'elle en raffole, la poitrine de la jeune femme est mise en valeur par le soleil. Dorée.

 

- Tu es si jolie, Candice. Benoit a bon goût, décidément.

 

J'ai souri quand j'ai entendu la serveuse de l'Irish dire ça. Ça m'a rappelé cette nuit d'il y a quelques années où nous avons fait l'amour, Léonie et moi.

 

- Toi aussi, tu l'es aussi, si jolie, Léonie. Et nous avons les mêmes goûts en matière d'hommes.

 

Vous vous êtes mises à rire sur ces mots, toutes les deux.  Vous avez continué de vous embrasser, les filles. Vous vous êtes galochées. Vos langues se sont mises à jouer ensemble. Puis, soudainement, Léonie a posé l'une de ses mains sur ton sein gauche.

 

- Qu'est-ce que tu as de beaux seins, Candice!

 

Elle te les a massés délicatement, tes seins, mon amour. Je la connais, la serveuse. Oh... oui.

C'est fou à quel point elle est douce et sensuelle, dans l'intimité.

 

- Les tiens le sont tout autant, tu sais, Léonie!

 

Oh... oui. Je confirme. Ils sont ronds. Ni trop petits, ni trop gros. Mais ce qui m'a frappé aux yeux, ça a été la façon dont tu t'es exprimée, Candice. Ça voulait dire ce que ça voulait dire, princesse. Léonie... te mettait en confiance.

 

Léonie avait la tête collée à ta poitrine et elle s'occupait de tes deux belles petites poires, Candice. Elle y portait les lèvres. Elle y portait la langue. Je ne voyais que trop bien que tes tétons pointaient, qu'ils étaient tout durs parce que tu étais excitée à l'idée de connaître ta première expérience sensuelle et sexuelle avec une fille, parce que tu avais du plaisir pendant que Léonie s'occupait de toi. Toi? Tu l'encourageais dans ses actes, dans ses gestes, dans ses baisers, dans ses caresses en pressant sa tête contre toi. Et puis ça a été à ton tour de goûter les seins de Léonie, mon amour. C'était quelque chose dont tu avais de plus en plus envie, qui t'attirait inexorablement. Bon d'accord... Il est difficile de résister à Léonie. Je plussoie. J'en sais quelque chose. Tu t'en es délectée, à ce que j'ai pu voir. Ses seins sont ronds, un peu plus gros que les tiens, en forme de pommes. Tu avais les yeux fermés. Tu leur as donnés des baisers et des coups de langue, à ses seins. Je vous ai vues. Et j'ai entendu Léonie...

 

Vous avez prolongé votre quart d'heure de baisers et de caresses. Je vous ai vus. Vous aviez les yeux fermés, toutes les deux. C'est fou comment l'attirance entre deux femmes les rend magnifiques. Surtout quand elles sont jolies comme Léonie et toi. Vous voir vous toucher, l'une, l'autre, ça m'a émoustillé. J'ai donc voulu vous laisser dans votre bulle de bonheur et de sensualité, de bien-être et de volupté. Je n'en ai pas pensé moins. Non...

 

- Candice... T'es toute jolie. J'ai envie de toi. Tellement envie de toi.

 

J'ai entendu Léonie. Elle avait ce grain de voix enjoué qui lui est propre. C'est quelque chose que j'aime quand je vais boire un verre à l'Irish. Tu le sais, désormais, bébé.

 

- Moi aussi, j'ai envie de toi. Tellement envie de toi, Léonie. Mais j'ai jamais fait ça avec une fille. Je sais pas si...

 

Candice... J'ai tout de suite capté ton grain de voix sensuel, aguicheur. Et pourtant... Je le savais. Avant Léonie, et malgré ton ouverture d'esprit sur la sensualité et la sexualité, les plaisirs saphiques étaient une parfaite inconnue pour toi. Mais... Rappelle-moi. Léonie t'a rassurée.

 

Léonie a mis fin aux quelques doutes que tu as pu avoir, princesse.

 

- T'inquiètes pas, Candice. Je vais te guider. Je suis sûre que tu vas me donner du plaisir.

 

J'étais voyeur. Je vous ai observées. Vous vous compreniez de plus en plus. De là où j'étais, mes yeux, mon nez, mes mains, mes oreilles, ma bouche m'ont permis de comprendre qu'il y avait une alchimie entre vous deux, que vous vous trouviez des atomes crochus. Que vous deveniez complices. Vous badiniez. Vous jouiez ensemble. J'en avais le sourire aux lèvres. Parce que vous voir comme ça...

 

Ça a été ainsi que Léonie t'a fait t'allonger sur le dos. À compter de ce moment où tu t'es retrouvée allongée sur ce lit, Candice, tu as pu sentir la bouche de la barmaid sexy sur la peau de ton corps. J'étais voyeur. Je vous observais. Léonie savait se montrer douce, sensuelle dans l'intimité. Elle te donnait des baisers et tu aimais ça, jolie rousse. Je t'entendais, tu sais? Tu minaudais et ta voix était pratiquement inaudible. C'était intime. Secret. Ça devait rester entre les murs de cette chambre. Ça ne regardait que Léonie et toi. Ses cheveux soyeux le caressaient tout autant, ton corps. Tu ne pouvais pas être mieux, Candice. Puis, Léonie est descendue plus bas. Tu as poussé un soupir. Tu avais du plaisir.

La bouche de Léonie n'a jamais cessé d'aller toujours plus bas, sur toi, mon amour. Ta gorge... Ton décolleté... Tes deux beaux petits seins en poires... Ton ventre... Ton nombril... Ton pubis flamme... Je l'ai vue marquer un temps d'arrêt à ce moment-là. Elle a fixé tes poils pubiens et elle les a admirés. Puis, son regard est remonté et ses yeux se sont braqués dans les tiens. Elle t'a adressé un sourire radieux, bienveillant. Tu lui as rendu son sourire, Candice. Son attention s'est portée de nouveau sur ton entrejambe. Tes cuisses étaient grandes ouvertes, bien écartées. J'ai vu Léonie fermer les yeux. Je l'ai vue... te lécher.

 

Je t'ai vue te remettre de tes émotions, ma jolie rousse. Tu étais haletante mais dans le même temps, tes yeux étaient brillants. Ils étaient pleins de gratitude, Candice. Car Léonie venait de te faire jouir avec sa bouche. Je l'ai vue te lécher, te donner du plaisir. Elle s'y est prise comme il le fallait avec toi, ma chérie. Et toi... Tu y as succombé à ses baisers, à ses coups de langue. Tu t'es laissée aller et tu as fait confiance à Léonie. Tu as laissé le plaisir prendre possession de toi, monter crescendo en toi. Ce plaisir s'est métamorphosé en orgasme à son paroxysme. Au comble du plaisir, ton corps s'est mis à convulser. Il s'est arqué et tu as poussé un cri de jouissance à réveiller les morts. Léonie est venue t'embrasser. Grâce à ce baiser plein de sensualité et de tendresse, tu as pu goûter à ton plaisir, mon amour. Ça t'a plu. Je l'ai vu.

Suite à ça, cette fois, ça a été à ton tour de t'occuper de la jolie serveuse, de lui donner du plaisir. Tu l'as regardée, Léonie. Tes yeux étaient pleins d'incertitude, Candice. Mais là, et ça a été ce que j'ai apprécié de la part de ta copine de jeux lesbiens coquins... Elle a su te rassurer.

 

- T'inquiètes pas, Candice. Je vais te guider. Oublies pas.

 

Elle t'a souri. Puis, elle t'a adressé un clin d'oeil complice. Qu'est-ce qu'elle était belle... Belle comme toi, tu l'étais. En retour, tu lui as souri. C'était indéniable: elle te plaisait.

Candice... Si tu savais à quel point tu étais tout autant émoustillante, tout aussi... sexy en lécheuse et en bouffeuse de minou. Tu y as pris goût, à ce que j'ai vu. Léonie s'est abandonnée à son tour. Elle avait les yeux fermés. Elle savourait tes coups de langue et tes succions. Il fallait que tu continues...

 

Vous avez continué de vous ébattre, les filles. Qu'est-ce que vous étiez belles, décidément... Et... Qu'est-ce que vous l'êtes en permanence, Léonie comme toi, Candice... Je me serais bien joint à vous. Mais... Vous sembliez particulièrement bien dans votre bulle. Vous vous foutiez complètement du monde qui vous entourait. Ça a été donc pour ça que je vous ai laissées tranquilles, Léonie et toi, ma chérie. Vous avez décidées de vous retrouver tête-bêche, en 69, et vous vous êtes léchées l'une l'autre. Vous continuiez de vous donner du plaisir et vous aimiez ça. Tu étais sur Léonie et tu lui broutais son minou tout en lui mettant un doigt dans sa belle petite chatte glabre. Elle, elle a écarté tes fesses. Sa langue est allée et venue de ton vagin à ton anus...

 

Le calme revient après la tempête. Vous vous êtes allongées sur le lit, dans les bras l'une de l'autre. C'est un moment particulier. Un moment doux. Un moment intime. Un moment où vous êtes seules au monde. Vous vous embrassez. Vous riez. Vous vous échangez des regards bienveillants qui en disent long sur la complicité qui est née entre vous, qui en disent long sur la sensualité que vous avez aiguisé ce soir, Léonie et toi, et qui existe toujours entre vous, Candice. Vous êtes belles. À croquer.

Vous êtes épuisées parce que vous avez tant donné, toutes les deux. Il faut vous comprendre. Dès lors que tu as vu Léonie se déhancher comme elle le faisait sur la piste de danse, c'en était fait de toi, Candice. Et... Dès qu'elle t'a vu, Léonie, elle n'a pas résisté à ton charme et à ta beauté naturels. Vous vous êtes attiréees irrémédiablement, inexorablement, l'une et l'autre. Toi, tu t'es laissée attirer par la sensualité et le sex-appeal naturels de la serveuse. Elle, ça a été un plaisir de t'initier.

Vos yeux pétillent parce que vous êtes heureuses. Heureuses d'être ensemble et de partager un moment comme celui-là. Vous vous laissez aller à vous donner de tout petits smacks. Ça vous plaît, à ce que j'entends, à ce que je vois. Vous minaudez. Vous gloussez. Vous vous souriez. Vous faites semblant de vous faire la moue. Ça vous plaît.

Tu as aimé cette première fois, Candice. Je le vois. Je le sais. Mais c'est ton jardin secret. Tu n'es pas censée savoir que je vous ai observées, admirées faire l'amour, Léonie et toi. Tu ne peux pas me rendre plus heureux, tu sais? Et... Tu me rends encore plus fou de toi, ma chère Candice aux petits seins. Oui. Je t'aime, princesse.

 


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