Shooting Photo - Chapitre 2

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Chapitre 2

#epub

Il était temps ! Les préliminaires trop longs peuvent conduire à une forme de lassitude. Il le vivait enfin…, carrément. Ce fantasme devenait réalité. Le réel rencontrait enfin l’imaginaire, exacerbant son désir d’une manière inimaginable !

D’ailleurs, jamais ô grand jamais, il n’avait pensé que les choses se passeraient aussi bien. Cette belle journée ensoleillée était idéale, ils avaient passé du temps ensembles, à flâner dans les rues de Paris, avant que l’heure du RDV ne sonne. Ils avaient déjeuné en terrasse d’un café parisien, et s’étaient détendus en faisant les boutiques, pour le plus grand plaisir de Laure. Guillaume était galant, serviable et patient, même si en sont fort intérieur, le sang bouillait dans ses veines. 

Elle n’était toujours au courant de rien. Il avait réussi à cacher les tenues qu’il avait sélectionnées pour elle dans le fond de la valise, sans que Laure ne s’en aperçoive.

L’heure du RDV avait sonné et il était incapable de se souvenir de la façon dont il avait conduit son épouse, vers le studio photo. Il l’avait fait calmement, l’air de rien. Ils s’étaient dirigés vers la rue du studio, en discutant de tout et de rien main dans la main et ce, afin de ne pas laisser à Laure l’option de le questionner sur leur destination. Mais ils y étaient enfin, et la séance avait bien démarré.

Laure ne s’y attendait pas ! Après avoir sonné à l’interphone, et devant l’air hébété de Laure, Guillaume avait simplement dit :

" Ne t’inquiète pas ! C’est une petite surprise pour toi que je t’ai préparée avant notre départ. "

Elle l’avait regardé, surprise et curieuse. Amusée, elle l’avait suivi dans le vieil escalier. Au dernier étage, Guillaume avait sonné sur une grande porte noire en métal vieilli. Guillaume connaissait les lieux puisqu’il était passé déposer les effets de Laure plus tôt dans la matinée, avant de se rendre à sa réunion professionnelle.

Les présentations avaient été faite, et Guillaume avait remarqué l’air amusé de Laure en saisissant qu’elle était "piégée". Il avait également apprécié la présentation de Christophe, et les perspectives qu’il mettait en avant dans son exposé de ce que serait la séance. En professionnel averti et habitué des premières séances de ce genre, Christophe avait eu le bon sens de ne pas mentionner le côté "option coquine" des poses.

Ils s’étaient retrouvés tous les deux dans une cabine fermée, dans laquelle Laure avait commencé à se préparer.

"Sympa ton idée, avait elle lancé comme pour le rassurer sur son état d’esprit. Je reconnais. Et jolie surprise, pour une fois je ne me suis doutée de rien. Bon, je ne te promets rien, mais je vais essayer de jouer le jeu ! "

La séance avait ensuite démarré. Laure s’était rapidement prêtée au jeu, et avait revêtu des tenues variées, pour commencer. Variées certes, mais toujours très respectables. Elle riait et prenait des poses telles qu’elle avait vu faire dans les magasines de mode ou dans les films sur le sujet.

Christophe mitraillait avec son objectif, et suggérait à Laure de se positionner de telle et telle façon. Les échanges étaient bon enfant, agréables. Laure avait changé déjà 2 fois de tenue, et ressortait maintenant de la cabine pour rejoindre Guillaume et Christophe dans une tenue plus légère, qu’elle avait découverte dans le lot que Guillaume avait déposé le matin même. Un chemisier blanc distingué, une jupe noire, courte, qui poursuivait sa course sur ses fines jambes gainées de bas et des sandales noires à talon haut.

En passant devant les parapluies de lumière, Guillaume avait remarqué que le chemisier était tellement transparent par l’intensité lumineuse, qu’il ne camouflait pas grand-chose. Il était clair que Christophe le remarquait également.

"Waouw", avait il lâché en la voyant, provocant un sourire gêné de Laure, et un rougissement involontaire. Elle continuait de marcher vers le lieu de pose, et s’était posée sur le tabouret comme les 2 premières fois, signal que Christophe pouvait reprendre son mitraillage en règle.

Christophe n’avait pas dit un mot. Il avait juste saisi son appareil d’un air satisfait, et avait repris son travail l’air de rien.

Après quelques minutes, Guillaume était descendu fumer une cigarette, laissant là le modèle et son portraitiste travailler tranquillement.

La décharge électrique le saisit à son retour, surpris de l’évolution de l’ambiance dans ce studio, tandis qu’il s’était absenté.

Le tableau qui s’offrait devant ses yeux avait quelque chose de surréaliste. Il avait été tenté de se pincer, pour être certain qu’il ne rêvait pas. Il aurait certainement dû le faire. Elle avait offert sa poitrine à Christophe, qui n’en ratait pas une miette. Il la fusillait avec son appareil photo. Les bras tendus posés en avant, une main sur l’autre, sur une jolie table en verre, ses tétons pointaient insolemment vers le haut. Le chemisier blanc était déboutonné, et Laure ne portait plus de soutien gorge. Un ventilateur était dirigé vers elle, faisant se soulever ses cheveux, et produisant l’effet suscité sur ses tétons. Non… pensait Guillaume… ce ne peut pas être le ventilo qui produit cet effet. Il ne fait pas froid du tout, et le vent produit doit être agréable.

Les bras ainsi tendus compressaient légèrement la poitrine de Laure et la faisait se redresser par les côtés, de telle sorte que ses seins semblaient plus volumineux qu’ils ne l’étaient réellement. Le regard fixé vers l’objectif dans une séduction évidente, Guillaume se demandait si elle cherchait à séduire l’objectif, ou le photographe. Il ne l’avait jamais vue ainsi.

Sa mini jupe était suffisamment relevée pour laisser voir le bas de son divin fessier. Elle regardait l’objectif de ses grands yeux marrons, d’où semblaient fuser des étoiles brillantes, tandis que Christophe approchait son objectif de plus en plus près.

Mais comment ce changement d’ambiance s’était produit si rapidement ? Il était sorti quelques instants pour fumer une cigarette, les laissant seuls, le splendide modèle et le bellâtre à la chemise ouverte sur son torse velu et grisonnant. Christophe lui avait donné un code, qui lui permettait de pénétrer de nouveau dans son studio, après avoir nourrit son cancer, sans avoir besoin qu’une quelconque personne ne se déplace pour lui ouvrir la porte.

Guillaume faisait le calcul dans sa tête, afin de faire le point et reprendre ses esprits devant cette scène ahurissante. Le temps de son absence n’avait, pourtant, pas été bien long : 4 à 5 minutes pour descendre, une quinzaine de minutes le temps de fumer et de finir son appel téléphonique, puis quelques minutes pour remonter. Son absence n’avait duré qu’une vingtaine de minutes seulement.

En revenant, il avait pris soin de refermer la porte du studio délicatement, afin d’éviter de faire du bruit. Il l’avait fait spontanément et sans raison valable. Ou peut être que son objectif était de ne pas perturber le professionnel dans l’exercice de son art, et le joli modèle dans l’exposition de ses charmes... ?

A moins qu’inconsciemment, il cherchait à les surprendre… Si tel était réellement sa motivation, il était servi et profitait d’un spectacle invraisemblable !


Christophe avait une voie grave, chaude et sensuelle. Il s’exprimait calmement, en vrai pro, et ses consignes étaient mélodieuses et affirmées. De son côté, la douce était méconnaissable. Le photographe avait laissé chanceler son appareil photo, libérant complètement ses mains pour aider son épouse métamorphosée à prendre la pose. Il ne se gênait pas. Placé derrière Laure, ses grandes mains étaient carrément posées sur les hanches de la belle, et cambraient encore un peu plus la position de la sirène.

Ce chemisier blanc partiellement déboutonné, avait été marié avec gout par une jupe droite, noire, assez courte, qui avait été intentionnellement relevée… . Du fait de son absence pour sortir fumer, Guillaume ne savait pas qui, de Laure ou de Christophe, avait été l’initiateur de ce rehaussement impudique. Le liserée des bas était entièrement visible, et la lubricité surprenante de son épouse, faisait questionner Guillaume sur le port éventuel par son épouse d’un string ou d’une culotte. Encore quelques millimètres de jupe, et il pourrait le savoir.


Aurait-elle osé ? Serait elle allée jusque là ? La situation dérapait au-delà de tout ce qu’il avait pu imaginer ! Mais quel Golem avait il fabriqué ?

#epub

L’observateur restait intentionnellement discret. Il pouvait carrément imaginer la chaleur de ces mains sur les jolies fesses de sa douce. Il remarquait même que Christophe n’hésitait pas à caresser son épouse là où passaient ses mains, prétextant clairement de devoir indiquer la posture à prendre. Il considérait cette vision qui s’offrait à ses yeux incrédules, le cœur battant à tout rompre, excité d’être là à voir sans être vu. La position adoptée offrait un spectacle alléchant, plus excitant encore que la précédente. 

Belle, jusqu’à son épilation en ticket de métro, pour ce déplacement parisien. Cette intimité qu’il connaissait si bien, pour le plaisir si fréquent qu’il avait de la parcourir avec sa langue, de l’embrasser à s’en étouffer ! Il imaginait d’ailleurs tellement bien ces lèvres, qu’il les voyait presque gonflées et humides. Sa douce avait donc apprécié la séance photo, et vraisemblablement semblait être très excitée par le regard de Christophe, ses longues mains viriles, et les caresses qu’il prodiguait sous le prétexte de l’aider dans son approche.

Guillaume bandait sec dans son jeans, ses jambes tremblaient d’excitation. Il respirait fort, et tentait de se calmer pour continuer de profiter du spectacle et voir jusqu’où ces "acteurs" pourraient aller, sans les interrompre, et prendre le risque de les voir cesser. Il ne résistait pas à l’envie qui le tiraillait entre ses jambes et appuyait sur sa bite en érection, dans une mécanique de début de masturbation.


« Tu es très jolie, et participes parfaitement au jeu d’ombre et lumière. Bravo ! 
Et crois moi, rares sont celles qui comprennent aussi vite ce que l’objectif attend d’elles. Tu dégages clairement une excitation palpable, Bella Signora !»

L’absence de Guillaume avait vraisemblablement tellement détendue l’atmosphère, que le Vous avait cédé la place au Tu plus convivial ! Ce rapprochement semblait leur convenir à tous les deux, et le fait d’en être exclu, participait plus encore de l’excitation terrible qu’il ressentait.

Tout en parlant, le majeur de Christophe avait parcouru le dos dénudé de son épouse, jusqu’au début de son séant, lentement, très lentement, en s’attardant plus encore dans le creux de son dos cambré, juste avant la rondeur de ses fesses. Elle avait frémi sous ce passage, et s’était cambrée plus encore. Elle semblait regretter que sa jupe soit encore présente, et aurait apprécié que le majeur poursuive sa route. D’ailleurs, sa jupe, déjà à la base extrêmement courte, remontée d’un coté, et descendue de l’autre, ressemblait désormais plutôt à une ceinture qu’à autre chose… . Elle était très surexcitée, et le fait de savoir que cet inconnu si intentionné en avait conscience, la troublait plus encore. Guillaume le devinait clairement en la regardant, lui qui la connaissait depuis si longtemps, si bien, il en était persuadé.

Il savait aussi qu’elle se demandait Où était donc passé son salop de conjoint ? Que faisait-il ? Il lui avait pourtant juré qu’il ne la laisserait pas toute seule lorsqu’elle se préparait avant le premier matraquage, dans l’intimité de sa loge. Lorsqu’il avait demandé s’il pouvait fumer dans le studio, elle avait été prise de panique, à l’idée que le refus évident que Christophe opposerait allait le conduire à descendre, l’isolant face à ce bellâtre si attentif, cet inquisiteur des moindres parcelles de son corps.

Elle avait froid, mais chaud en même temps. Elle avait envie de faire l’amour, violemment, de baiser carrément, de dépasser toutes ses limites, de s’abandonner complètement dans un tourbillon charnel de luxure violente. Elle ne se reconnaissait pas, et chassait les pensées morales qui pouvaient la retenir dans ce désir de descente vers ces torrents de jouissance que chaque centimètre de son corps appelait. Elle ne se reconnaissait plus, et n’était plus elle-même. Subjuguée par ce regard, par cet homme si séduisant, par l’insolite de la situation, par son exhibition… .


"- Merci, c’est gentil.
La situation est très troublante…

- Inutile de le préciser, je ne peux qu’en profiter en le constatant sur les expressions des différentes parcelles de ton corps, et je m’en réjouis !"

Elle rougissait

«  Ne rougis pas, c’est tout naturel, et je dois reconnaitre que c’est même réciproque ! »

Il l’avait caressée sur la joue, paternellement, et constatant qu’elle ne lui opposait aucune résistance, il lui avait donné un baiser dans le cou, générant un violent frisson électrique qui parcourait tout son corps dans une violente vibration.


Elle n’avait pu retenir son regard et l’empêcher de descendre pour observer le sexe de Christophe sous son pantalon, et la bosse qui déformait le jeans. Sa main hurlait son désir de toucher cette intimité interdite. Laissant sa tête tomber en arrière sur le creux de l’épaule de Christophe, elle avait cédé, et sa main avait parcouru l’entrejambe du photographe. Ignorant les appels de conscience qui l’alertait sur le possible retour subit de son conjoint, elle profitait des caresses qu’elle prodiguait, sentant le désir gonfler le phallus de son inconnu.

Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle ne se sentait plus elle-même, ne se reconnaissait plus. Elle ressentait un désir bestial, se sentant chienne, salope, même ! Elle désirait ce phallus, ce sexe, cette queue, cette bite. Elle voulait la branler, la sucer, la lécher, la manger, l’avaler toute entière, quelque soit sa taille. Elle se demandait d’ailleurs comment diable pouvait-il être ce fameux sexe ! Le majeur de Christophe s’était enfin fait plus entreprenant, il avait caressé les lèvres trempées de cyprine, et s’était frayé un chemin à l’intérieur. Elle bougeait son bassin, en se cambrant du mieux possible. Le majeur déjà épais de Christophe fut vite rejoint par l’index, opérant des mouvements rapides de vas et viens. Elle haletait de désir et en voulait plus.

N’y tenant plus, laissant toute sa moralité de côté, bannissant d’un geste toutes ses inquiétudes face à son époux traitre par son absence, elle avait déboutonné, dé-ceinturé, le jeans de Christophe, et libéré son sexe de jolie taille et bien épilé de son emprisonnement de tissu. Il ne portait pas de sous vêtements, l’animal ! Non circoncis, elle se pencha un peu plus, le décalottait avant de l’engloutir avidement en caressant ses testicules de sa main.

Ce faisant, toujours plus cambrée, elle permettait aux doigts de Christophe de mieux farfouiller son intimité. Il grognait sous ses coups de langues, tandis qu’elle dandinait des effets de ses doigts chauds et trempés par sa mouille.

Guillaume n’avait pas résisté. Il avait sorti sa bite de son pantalon, et se branlait en les regardant. De sa main libre, il avait saisit son iphone, pour filmer la scène. De voir ainsi sa Déesse, s’offrir et ne pas résister au plaisir charnel, à l’appel de la chair, de son propre corps qui cherche désespérément à exulter, même si elle était face à un inconnu, le rendait dingue. Elle le suçait frénétiquement, tandis que Christophe, pantalon baissé, lui farfouillait la chatte inondée et gonflée à bloc.

En les voyants ainsi, il ne tenait plus et avait envie de jouir… Le désir avait atteint des sommets rarement franchis, l’excitation était arrivée à son paroxysme… !

Quand soudain, il entendit la voix amusée de Laure, distinctement :

« Mais tu bandes, mon cochon ! Ce sont les prétendants à Top chef qui te font cet effet ? »


Il se réveillait. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits, il ne savait plus où il était. Il transpirait et respirait fortement.

Il avait rêvé, en s’endormant devant le programme TV sélectionné par sa chérie. Tout ceci n’était qu’une illusion. Il sentait bien que les 10 prochains jours allaient être intenses!

Son épouse était toujours près de lui, mais avait changé de position et caressait son sexe, à travers son jeans. Il s’était endormi devant l’émission qui avait eu largement le temps de terminer. Il sourit à son épouse, l’air désabusé, priant inutilement, pour qu’elle ne lui demande pas l’objet de cette excitation.

Sans mot dire, Laure déboutonnait son pantalon. Elle entreprenait désormais une pipe fabuleuse dont elle avait le secret, lui permettant d’arriver prestement à l’orgasme tant attendu. Elle était à quatre pattes près de lui, sur le canapé, toute habillée, et se cambrait comme une chatte pour le regarder dans les yeux atteindre l’extase, et déverser son jus de plaisir dans la bouche de sa chère et tendre, qui n’en perdait pas une miette.


Merci GuillaumeP pour ce superbe récit ! La suite à venir...

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Les commentaires

L@ur à 13:39, le 7 janvier 2019


super raconté, j'ai super aimé ! J'attend la suite avec impatience !!!! Tu as l'art de nous mettre dans ces états Guillaume

bougli25 à 22:07, le 7 janvier 2019


Allé arrête de nous faire rêver ... nous aussi

Circé à 00:07, le 9 janvier 2019


Tu as l'art des renversements de situation et tu as su me tenir en haleine... Félicitations !

MrAndromaque à 05:01, le 9 janvier 2019


J'adore je me suis encore laissé transporter, imaginant Laure dans telle ou telle posture et comme toi je suis redescendu à l'idée que tu le fantasmais jusque dans tes assoupissements... Hâte de connaître le chapitre III.

MrAndromaque à 16:44, le 9 janvier 2019


J'ai omis de te dire, j'ai fait un beau rêve cette nuit et grâce à ton récit

Sherydan73 à 17:22, le 9 janvier 2019


vivement le chapitre III !!

Lorette à 14:37, le 10 janvier 2019


Tu sais nous faire vivre les scènes et on s'imagine a tes côtés dans ce studio photo ! Vivement la suite ! Ton récit est vraiment tres bien écrit et tu sais nous transporter par tes mots !


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