Actualités de Remsovitch

Et vive la clim au bureau !

Avec ces chaleurs de prévues, c'est un temps à être une goutte, mais laquelle ?
Celle qui effleure ses lèvres et perle au coin de sa bouche lorsqu'elle se désaltère...
Ou bien celle de sueur, qui naît sur son front et que la gravité élance dans la traverser de son cou, avant de malicieusement continuer son chemin et se faufiler entre ses seins...
Ou enfin la plus sournoise, celle qui arrive sans prévenir, précédant sa multitude de congénères. Cette goutte de pluie d'orage, qui s'écrase à la base de sa nuque, électrisant son épiderme, et qui se faufile à toute allure le long de ses vertèbres, accélérant entre ses reins et n'ayant qu'un objectif, s'insinuer entre ses fesses !
Mais son dessein est voué à l'échec et son destin sera funeste.
Sa course violemment stoppée par le tissu de ses dessous...
Finalement je ne sait point laquelle être, à moins d'être chacune d'elle ainsi que toute les autres, afin de parcourir chaque fraction de son corps !

Même si le temps n'est plus, je rêve de me perdre dans ses yeux, de fondre devant ses lèvres pulpeuses, de m'égarer sur la douce courbe de ses seins et me dissoudre à la vue de son grain de beauté si malicieusement bien placé.
Mais si ce temps n'est finalement pas révolu, je me noierai dans son regard, je me mordrai les lèvres devant sa bouche gourmande, et puis finalement, je n'oserai m'aventurer dans son décolleté, de peur de perdre la raison...

Succomber au pêché de gourmandise.
Dévorer ses lèvres comme une friandise.
Savourer à l’excès leur douceur.
S’abandonner à la folie tel un orpailleur.

Elle était sublime et rayonnante
Parée d’une robe verte seyante
Son magnifique sourire irradiait
Et elle m’a fortement contaminé
Depuis mon humeur est badine
Mes rêveries nocturnes seront elles libertines ?

Au fil des nuits, entrainé par Morphée,
Assidument porté vers cette Psyché.
Jamais je n'ose m'en approcher.
Certainement la peur d'être submergé,
Envahi par la vigueur de son essence,
Bien qu'attiré par la beauté de sa présence.
La certitude de me brûler les ailes !
Même si être auprès de cette belle,
N'est qu'un songe de mes nuits,
Et qu'au matin cette déesse se sera enfuie.

Ceci aurait pu s'appeler conseils de survie si vous la rencontrez mais il est inutile d'espérer y survivre.
Si par bonheur vous vous retrouvez face à elle, et si par malheur vous croisez son regard vert envoutant, il ne vous reste que quelques secondes avant de sombrer sous son ravissement.
Car vous ne pouvez qu'être aspiré par ses yeux intenses.
Et là, je ne peux finalement vous prodiguer aucun conseil de survie mais juste une incitation pour que la traversée se passe sereinement.
Au moment où vous êtes au plus proche d'elle, ce moment où le grain de la peau de son cou vous est perceptible, juste avant de disparaitre absorber par son regard, prenez une grande inspiration et profitez de son doux parfum de fleur d'oranger.
Histoire de vous perdre à jamais dans les limbes de son charme en gardant le baume de sa splendeur en mémoire.

Si apercevoir son sourire est comme les prémices du printemps.
La révélation d'une courbe féminine est une douceur d'été.
Tout comme une caresse du soleil, elle stimule votre épiderme, réchauffe votre coeur et aiguillonne votre esprit.
Même les yeux fermés, son aura, sa beauté vous irradie, sa chaleur engendre de doux effets bienfaisants en vous.
Il n'est rien de plus agréable que les changements de saison à ses cotés.

Le temps défile, il s'écoule, il nourrie les sillons de sa vie.
Il fait fleurir sa beauté, même si parfois il apporte des soucis.
Mais chaque moment chaque saison qui passe la fait plus belle.
Les affres du temps n'ont pas lieu d'être, sa somptuosité est éternelle.

Envieux mais heureux

Aujourd'hui, je suis un peu envieux de ce soleil qui fait son retour.
Il va profiter de ses rayons pour parcourir ses courbes sans détour.
Caresser avec douceur sa peau et provoquer des frissons de plaisir.
Il va faire jaillir à nouveau son si beau sourire.
Ses yeux verts vont rayonnés de milles feux.
Mais finalement, la voir si belle me rendra également heureux.