Annie
Article publié le 1 février 2023
Annie.
Je m'appelle André et je suis représentant pour ma propre entreprise de lavages industriels de linges pour collectivités. Je l'ai rencontré sur la route Genève. Il commençait à faire sombre. Elle était sous un arbre, à la sortie d'un village. Elle a hésité à faire du stop. Elle attendait d'être sûre. Je l'ai vu tendre le bras et me faire signe alors que j'arrivais à la fin de la ligne droite. Je me suis arrêté un peu après et elle m'a rejoint. Je la regardais dans le rétroviseur tandis qu'elle s'approchait de la voiture. Elle était blonde, un peu ronde, pas très grande, elle devait avoir dans les 18 ans. Elle avait un parka bleu sombre et des jeans. Je lui ai ouvert la portière, elle a jeté son sac sur la banquette arrière et elle est montée à côté de moi.
- Vous allez où ? lui ai-je demandé tandis que je redémarrai.
- À Lyon, cela est possible ?
Elle avait un drôle d'accent et la tournure de sa phrase, ses hésitations, montrait bien qu'elle ne connaissait pas bien le français.
- Toi tu vas là-bas ?
- Non, je m'arrête un peu avant, à quelques kilomètres de Lyon, mais je vais t'avancer de beaucoup.
D'emblée on se tutoyait. Nous ne nous sommes plus parlé. Il faisait chaud dans la voiture, le moteur ronronnait doucement, et la route s'éclairait sous mes phares, la nuit était tombée. À la sortie d'un virage, j'ai aperçu les lumières de la douane volante. Il y avait un barrage au loin et on s'en rapprochait rapidement. Elle s'est brusquement tassée dans son siège et m'a soufflé, rapidement.
- Surtout, ne pas arrêter.
Elle a fait semblant de dormir, sa main était posée sur ma cuisse droite. On ne voyait presque rien de son visage. Le col de son blouson remontait très haut. Elle avait les yeux fermés.
J'ai jeté un coup d'œil vers elle, elle ne bougeait plus. J'ai ralenti en arrivant à la hauteur du barrage des douaniers. Ils ont reconnu ma voiture et m'ont fait signe de passer. Cela fait bientôt trois ans que je fais le voyage matin et soir, ils finissent par me connaitre.
Après qu’ils aient disparu de mon rétroviseur, je lui ai demandé
- Pourquoi tu crains les flics ?
Elle s'est redressée doucement et m'a regardé.
- Flics, c'est police, n'est-ce pas ?
J'ai acquiescé. Elle ne m'a pas répondu tout de suite.
Il y a eu un long silence où nous regardions la route tous les deux. Il faisait nuit noire.
- Je n'ai pas de papiers.
Je ne savais pas trop quoi dire. C'est vrai qu'il y a de plus en plus de travailleurs clandestins qui essayent de venir par ici, de l'autre côté de la frontière.
- Où tu vas à Lyon ?
- Je ne sais pas, j'ai adresse d'un ami de mon oncle. Mais pas reçu nouvelles depuis longtemps. On ne sait pas s’il est encore là-bas.
- Tu viens travailler?
- J'aimerais beaucoup. J'ai appris le français à l'école. Je veux me perfectionner. »
Oui, c'est cela, perfectionner.
Je me doutais de ce qui allait t'arriver dans la ville. Les flics ou les macs ou les deux. La misère était devenue tellement grande qu'on trouvait des filles à vendre partout. Le chômage effrayait plus que le Sida.
- Pour ce soir, tu dormiras à la maison, si tu veux, et demain je t'emmène à Lyon.
Elle n'avait pas vraiment le choix. De toute façon elle se serait fait ramasser sur la nationale.
- D’accord, je te remercie.
- Tu viens d'où ?
- Poland.
Décidément, même de Pologne on venait chercher de quoi survivre. Nous avons continué à rouler jusqu’à chez moi.
En arrivant dans la cour, devant le garage, j'ai vu Danielle, ma femme, qui écartait le rideau, dans le salon. Elle m'attendait, il était tard.
Nous sommes sortis de la voiture.
Mon auto-stoppeuse a pris son sac et on est rentré. Danielle nous attendait, un peu surprise de me voir arrive avec cette jeune fille. J'ai fait les présentations.
- Danielle, ma femme, et…
- Je m'appelle Anniecke, je crois vous dire Annie.
Elle enlevait sa parka. Elle portait en dessous un pull à col roulé noir. Elle avait une grosse poitrine, ses seins montaient haut en tendant la laine. Elle était un peu boulotte. Elle me regardait avec un grand sourire. Son visage était plein de taches de rousseur.
Danielle lui demanda si elle voulait se rafraichir avant que nous mangions un peu et elles partirent vers la salle de bain.
Je me servais un pastis quand ma femme rentra dans le salon.
- Tu as bien roulé ?
- Oui, oui, tout à fait. Il n'y avait pas grand monde sur la route. Juste la Douane, en sortant de Nantua - qu'est-ce que tu comptes en faire?
- Je l'emmène à Lyon demain.
- Elle te fait bander?
Je ne pouvais pas répondre. Danielle était en train de vérifier si elle ne s'était pas trompée. Sa main caressait ma verge à travers le pantalon.
- Bein mon cochon, elle te fait de l'effet la petite Polonaise !
Je m'assis dans le fauteuil devant la cheminée. Danielle s'agenouilla entre mes jambes et déboutonna lentement les boutons de ma braguette. Elle sortit tout doucement ma queue qui était tendue de désir depuis longtemps. Elle me regardait en souriant. Ses doigts allaient et venaient. Puis elle engloutit ma bite, avec délectation. Je la regardais faire sans oser rompre le charme. Elle allait et venait avec lenteur. Je voyais ses lèvres humides qui entouraient le gros morceau de ma virilité. Elle caressait mes couilles en même temps. Elle savait très bien ce qui allait se passer si elle continuait ainsi. À genoux, je voyais son cul rond qui allait de gauche à droite tandis qu'elle me suçait le gland. Sa bouche humide et chaude, son regard amoureux qui plongeait dans le mien, je savais bien que j'allais jouir. C'est à cet instant que j'ai entendu le bruit de la porte de la salle de bain qui s'ouvrait. J'ai voulu me dégager de la bouche de Danielle avant que la jeune fille n'entre dans le salon. Mais Danielle me retint par la ceinture. Je la regardais. Elle me faisait signe de rester là, la bouche pleine, et c'est alors que je jouis. Elle retira sa bouche un peu après. Mon sperme lui dégoulinait des lèvres. Nous regardions tous les deux Annie, qui ne bougeait pas, attentive, dans l'entrée du salon.
Danielle se releva et dit, très naturelle :
- Bon, on passe à table, je meurs de faim.
…
Nous sommes allés nous coucher. Danielle était encore dans le cabinet de toilette quand je me glissais dans les draps. Nous avions fait coucher Annie dans la chambre d'ami mitoyenne. Le repas qu'avait préparé ma femme en m'attendant était frugal, simple, mais délicieux. Nous n'avions d'ailleurs pas beaucoup parlé. Danielle avait surtout questionné la jeune fille sur ce qu'elle comptait faire le lendemain.
Ma femme gère l'entreprise d'une main de maitre. Pendant que je vais au loin chercher des clients, elle fait marcher la boutique et ce n'est pas une mince affaire cette boite de laverie industrielle.
Elle est rentrée dans la chambre, totalement nue, comme à son habitude, et elle s'est couchée près de moi.
Quelques instants plus tard, j'étais sur son dos. Elle s'accrochait aux montants du lit tandis que je m'enfonçais dans sa chatte gluante. Elle écartait bien les jambes pour que je pénètre le plus profondément possible. Son cul roulait contre mon ventre. Je lui murmurai des cochonneries au creux de l'oreille.
- Tu voudrais te la faire, hein, salope. Tu voudrais lui lécher son petit con. Ça doit te plaire les poils blonds autour du petit clitoris tout rose, hein, ma jouisseuse ?
Elle me répondait par des grognements affirmatifs. - Oui, prends-moi, mon gros mec, je vais te l'offrir, on va se la payer tous les deux, mon salop, mais fais-moi jouir, encore, encore.
À la fin elle était plaquée contre la cloison, hurlante, tandis que je déchargeais mon foutre au plus profond de sa douceur moite.
Un peu après nous fumions en silence. J'avais le cendrier sur le nombril. Je m'imaginais la petite Polonaise, dans son lit, de l'autre côté de la cloison. Elle n'avait pas dû perdre grand-chose de nos ébats.
Danielle, blottie contre mon épaule, me demanda: — - et si je la prenais avec moi, à la buanderie? Tu sais Augusto est tombé malade, il en a pour 15 jours et je suis un peu débordée en ce moment.
- Si tu veux ma chérie, mais tu sais, elle n'a pas de papier, elle est en fraude.
- Rien ne nous empêche de la déclarer d'ici quelques jours si elle fait l'affaire.
Oui, c'est vrai, on pouvait régulariser sa situation avec une carte de travail, mais qu'est-ce qu'elle entendait exactement par « faire l'affaire »?
J'avais bien quelques idées là-dessus. Nous nous sommes endormis, sa main sur mon sexe tout ramolli. Il avait déjà pas mal travaillé ce jour-là et apparemment il avait encore du pain sur la planche!
…
Le lendemain matin quand je me suis réveillé Danielle était déjà levée. Je suis sorti du lit et je les ai trouvées toutes les deux dans la cuisine en train de rire. Annie avait enfilé une robe de chambre à ma femme dont l'échancrure était vertigineuse. Je ne pouvais m'empêcher de jeter un coup d'œil furtif vers ces deux énormes globes qui sautillaient en cadence tandis qu'elle pouffait de rire. Je ne sais pas ce qu'elles se racontaient, mais ça devait être gratiné. Le café était délicieux dans cette compagnie. Il faisait très beau dehors. Une excellente journée commençait.
Danielle m'annonça qu'elle avait proposé à la jeune polonaise de travailler quelques jours au noir, elles éclatèrent de rire à nouveau, à la buanderie, avec elle, et que Annie était d'accord. J'en fus bien sûr ravi. Mais il me fallait partir. J'avais des clients à voir sur Lyon, et j'étais déjà en retard.
J'étais au volant de ma voiture, j'allais démarrer, quand la jeune fille vint me demander si, à Lyon, je pouvais essayer de joindre son contact. Elle était penchée vers moi, à la portière, j'avais l'ouverture de la robe de chambre juste sous les yeux. J'eus un peu de mal à lui répondre. Je devais être rouge comme une tomate. Elle me donna un bout de papier avec une adresse griffonnée dessus et elle retourna vers la maison.
Quand je revins de la ville, il était trois heures environ. Je me suis garé derrière la maison et je suis rentré par l'atelier. Adou, le manutentionnaire, d'origine sénégalaise, était au fond de l'entrepôt. Il regardait par le hublot qui, à travers la porte de communication, donne sur la buanderie.
Il ne m'avait pas entendu arriver. Je traversais l'atelier pour voir ce qui l'empêchait ainsi de travailler. De l'autre côté, il y a un comptoir qui -communique aussi entre la resserre et la buanderie. Pour que la vapeur ne s'échappe pas, il est bouché par un rideau en plastique. On voir très bien ce qui se passe derrière. Je compris aussitôt pourquoi Adou ne foutait plus rien. J'en aurais fait autant à sa place. Elles étaient toutes les deux, Danielle et Annie, en train de sortir le linge des grandes lessiveuses rotatives en aluminium remplies d'eau chaude. Il y a beaucoup de vapeur quand on sort le linge pour l'étendre. C'est la qualité ancienne de notre lavage qui fait la réputation de notre entreprise. L'inconvénient c'est qu'il y fait très chaud et humide. Ma femme avait enfilé un tee-shirt blanc et n'avait gardé que son slip de coton. Elle n'avait pas de soutien-gorge et ses seins, plaqués contre le tee-shirt humide était trempé. Je voyais les aréoles brunes tendre le coton, elle bandait. Il y avait de quoi. Annie avait mis un foulard pour retenir ses cheveux et elle travaillait en soutien-gorge noir, totalement trempé, et en short. Les deux femmes essoraient de grands draps. Elles étaient chacune à un bout et elles tordaient le linge pour faire tomber l'eau au maximum. Elles portaient toutes les deux des tongs, pour ne pas glisser sur les claies en bois de la buanderie.
Je suis revenu dans la remise. Adou était affalé contre le mur. Il avait sorti son gros sexe noir et il se masturbait, les yeux fermés. Je n'osais pas le déranger et je fis le tour par la maison pour entrer dans la buanderie.
Danielle eut un grand sourire en me voyant arriver. - Elle est super, je t'assure, on a abattu un boulot d'enfer et en plus on s'amuse comme des folles.
- Oui, mais il y en a un qui ne s'amuse pas et qui ne fout plus rien, c'est le magasinier. Tu ne veux pas aller voir ce qu'il fait? Lui répliquai je.
Danielle me regardait d'un air interloqué, elle me tendit son bout de drap et alla voir dans l'entrepôt. Je restais seule avec Annie.
Nous avons terminé l’essorage et on a étendu le drap sur la corde. Puis elle est partie vers la porte du hangar. Je regardais ses jolies fesses qui ondulaient dans son short moulant, devant moi. Elle s’est brusquement immobilisée. Elle avait vu ce qui se passait de l’entrepôt et elle s'est retournée vers moi, en se blottissant dans mes bras, un peu affolée. J’ai jeté un coup d’œil par-dessus son épaule. Mon épouse, Danielle était montée sur les genoux d'Adou et elle était empalée sur sa grosse queue noire. Il soufflait, mais ne bougeait pas, assis sur le rebord de la table de travail. Danielle avait ses deux bras accrochés autour de son cou puissant, il la retenait par les fesses, ses pieds étaient appuyés sur la table et elle le pompait littéralement avec son sexe. Elle murmurait, en implorant le plafond:
- Ah oui, tu es bon, oui oui oui…
Annie, en me dévisageant, murmura
- Tu n’es pas jaloux ?
- Et toi, tu ne l'es pas?
Tout en lui répondant, je l'attirais vers ma bouche. Elle ne résista pas et nous nous embrassâmes avec passion.
Tandis qu'on les entendait gémir de plus en plus fort à côté elle s'emparait de ma main et la glissait de force dans l'échancrure de son short.
- Tu sais, je suis fille encore.
Je ne compris pas tout de suite ce qu'elle voulait me dire puis brusquement son regard me le fit comprendre. Elle était vierge.
Mon index s'infiltrait dans son intimité à la rencontre de son petit bouton tendre. Je ne devais pas être pressé. Nous avions tout notre temps. Si j'avais profité de son excitation, j'aurais tout gâché.
Mais le fait est qu'elle s'enroulait sur mon doigt. Elle ondula dans tous les sens, les yeux fermés, concentrés sur son plaisir puis elle faillit tomber et avec un tout petit cri, elle jouit, comme un oiseau, sans crier gare.
Je soupçonnais qu'elle avait une longue habitude de ce genre d'exercice avec les garçons, mais je ne le lui ai pas dit.
Je la retenais de tomber, elle était dans mes bras quand un long cri retentit dans l'entrepôt. Adou venait lui aussi d'exprimer sa joie, mais avec moins de retenue.
…
Le soir, à table, on rigolait bien. C'était ça ce qu'elles appelaient le travail au noir. Danielle apprenait des histoires cochonnes à Annie. Elles étaient toutes les deux très excitées.
La télévision annonçait un match de rugby que je tenais absolument à regarder. J'ai fait la vaisselle pendant qu'elles se bidonnaient et je me suis confortablement installé devant le téléviseur. Je ne sais pas ce qu'elles ont fait, mais à un moment je me suis rendu compte qu'elles avaient disparu.
À la fin du match, décevant, j'ai éteint les lumières et je suis rentré dans notre chambre. La lumière était éteinte, mais il se passait quelque chose de bizarre. Elles étaient toutes les deux dans notre lit, mais emmêlées d'une drôle de façon. Je suis certain qu'elles m'avaient entendu entrer, car je n'avais pas été particulièrement discret, m'attendant à ce qu'elles soient toutes les deux endormies dans leurs chambres respectives. En fait elles se léchaient soigneusement l'une l'autre.
J'allumais la lampe de chevet et m'asseyant dans le fauteuil j'admirais longuement le spectacle qu'elles m'offraient.
Danielle était dessous. Je voyais sa chatte largement écartée qui me faisait face. Annie, la jeune Polonaise était allongée sur elle, lui présentant son minou à lécher et ayant elle-même le nez enfoncé dans les poils de ma femme.
Elles ne parlaient pas, occupées l'une et l'autre à se donner du plaisir. Mais comment diable cette fille pouvait-elle être restée vierge? Elle y mettait une telle passion! Un tel savoir-faire! Je voyais son cul qui oscillait, présentant à la bouche, que je savais dévoreuse de ma femme, ce sexe blond que je devinais par instant. Je sentais à un tressaillement caractéristique, que je connais bien, que Danielle allait exploser sous la langue de cette petite pouliche blonde. Celle-ci aussi le sentait, elle collait carrément sa bouche sur le clitoris de Danielle en aspirant de toutes ses forces.
Brusquement, celle-ci hurla en sursautant convulsivement. Annie continuait à la chevaucher comme un dompteur. Elle leva la tête vers moi et me regardant en face, les yeux à moitié chavirés s'écria :
- Mais, venir toi, vite!
J'étais tendu à me rompre. Ma bite était énorme à les regarder faire. Je me suis agenouillé sur le lit, j'ai empoigné les cuisses de ma femme et je me suis enfoncé dans son enfer tandis que la petite salope polonaise me léchait le sexe à mesure qu'il disparaissait.
Danielle lapait son petit bouton excité, Annie léchait la partie visible de mon braquemart, je limais consciencieusement Danielle. Nous étions bons pour le grand éclat qui se manifesta par des pleurs, des rires et des rigoles de jus crémeux. Nous avons joui ensemble, et ce fut merveilleux.
Je m'endormis, plus tard, avec deux femelles accrochées à mes bras. Dans un demi-sommeil Danielle nous a prévenus, tous les deux, que le lendemain serait un grand jour dans l'initiation d'Annie.
Celle-ci semblait très heureuse de la tournure des évènements. Elle n'était ni pressée ni rétive, juste un peu surpris de tous ces changements. Peut-être qu'en Pologne on ne baise pas pareil?
Le lendemain matin, je suis parti de bonne heure, mes deux amantes dormaient encore. J'allais, entre deux rendez-vous professionnels, à l'adresse que m'avait laissée Annie.
Après plusieurs coups frappés à la porte, un homme, bedonnant, avec de gros sourcils vint m'ouvrir.
- Qui demande vous?
Je reconnus tout de suite l'accent de la jeune fille.
- Je viens de la part d'Anniecke.
Il parut interloqué et tout de suite, méfiant.
- Vous, Police?
- Non, non, pas du tout. Je suis un ami. Je viens aux nouvelles.
Il me fit rentrer dans la maison. C'était un ancien garage converti en atelier de confection. Je supposais qu'il s'agissait d'un atelier clandestin, car il n'y avait rien qui l'indiquait sur la porte et ce type avait vraiment quelque chose à cacher. Mais il n'y avait personne.
- Où est Anniecke?
- Chez moi, dans la région. »
- Donc elle est bien arrivée. Je suis très content. Mon frère m’avait écrit pour demander çà! Pouvez-vous lui dire que Victor est à Paris aussi.
- Qui est Victor ?
- Son amoureux. Ils sont partis ensemble pour venir ici.
Ainsi elle avait quitté son pays avec un copain. Ils avaient été séparés pendant le voyage. Je supposais que cette nouvelle allait faire très plaisir.
- Je vais téléphoner à Victor.
- Oui, et je viendrais avec elle dans quelques jours.
Nous nous saluèrent avec respect, et je sortis.
- Embrassez Anniecke à ma place, s'il plait à vous.
Je rentrais ce soir-là à la maison avec de la joie de lui annoncer la bonne nouvelle et un peu d'angoisse. Allait-elle repartir aussi vite?
À table, j'annonçais ce que j'avais appris dans la journée à mes deux colombes. Annie rougit, ce qui se voyait beaucoup sur sa peau, fine, transparente, adorable.
- Victor, c'est amour à moi. C'est pour lui que reste « fille ». Pologne pays très catholique, moi je suis fidèle à mon futur mari. Victor est très beau, très courageux. Nous sommes partis ensemble, mais avons été séparés par la police à Berlin. Moi, je contente de savoir qu’il est à Paris !
Danielle se le va brusquement, rêveuse et décidée, et sortit la bouteille de prune des grandes occasions.
- Ça s'arrose !
Elle nous servit la gnôle dans des petits verres.
- Tu vas partir, alors?
- Vous dites, on vivra, on verra, non?
En disant cette devise ouverte à l'avenir elle éclata de rire!
Il y eut un long silence ou nous buvions en souriant puis Danielle reprit la parole.
- J'ai promis à Annie de lui apprendre à tailler des pipes. Elle a peur de mal le faire. Tu es d'accord pour servir de cobaye?
Je n'allais pas dire non! Une grande soirée se préparait!
Un peu plus tard, j'étais allongé sur le divan, dans le salon. Elles étaient toutes les deux à poil et je ne me lassais pas de les admirer. Annie avait, comme je l'avais deviné, de très beaux seins lourds et ronds, qui me donnaient envie de presser et de mordre. Mais j'avais promis de ne pas bouger.
Son sexe blond, cette toison toute douce, passait des fois tout près de mon visage tandis qu'elle observait avec attention ce que Danielle lui montrait.
Mais j'avais promis de ne pas bouger.
Elles s'accroupirent toutes les deux contre mon ventre.
- Alors, regarde bien, tu commences par l'humidifier partout avec ta langue. Tu baves un peu dessus pour que cela soit bien mouillé. Tu souffles tout doucement pour qu'elle gonfle et se dresse. Tu caresses les couilles et la verge avec beaucoup de douceur pour bien l'apprivoiser. Puis, quand tu sens qu'il n'y tient plus, tu l'avales très doucement en creusant bien les joues et en faisant très attention à ce que tes dents ne touchent pas la peau. Regarde comment je fais.
Danielle me pompait la bite avec lenteur tout en la regardant de côté.
- Tu vois, ce n'est pas difficile. N'en avale pas trop, tu risquerais de t'étouffer, mais allez, vas-y, essaye…
Annie approchait sa bouche de ma verge avec lenteur en demandant du regard mon acceptation. Je hochais la tête tout en fermant les yeux tandis qu'elle m'avalait tout doucement. C'était tellement bon de se faire sucer par une vierge blonde que je ne tardais pas à éjaculer bruyamment. Danielle lui maintenait la tête en criant.
- Avale, salope, avale tout bien, tire-lui tout son foutre, qu'il n'en reste rien.
La pauvre fille me regardait, un peu terrorisée tandis qu'elle avalait à grandes lampées mon sperme au fond de sa petite gorge chaude.
Après elle a râlé :
- Vous prévenir. Vous n’êtes pas gentils. Moi j’ai eu peur !
Danielle la caressait. Elle lui cajolait les fesses d’une main et les seins de l’autre.
Tu as tout à fait raison ma chérie. Je me suis laissé emporter par la passion. On ne le fera plus.
Ma bite se ramollissait tout doucement. Je pris la petite Polonaise dans mes bras. Elle avait eu si peur qu’elle risquait de ne plus vouloir jouer et nous en avions encore bien envie.
Nous sommes allés nous coucher et elle s’est endormie tendrement entre nous deux au milieu du lit.
Quelques jours plus tard, nous sommes allés, avec Annie, chez l’ami de son oncle. Il l’accueillit avec enthousiasme. Ils parlaient en polonais. À toute vitesse et en riant. Elle ne me traduisait rien puis à un moment elle s’est retournée et elle m’a dit heureuse :
- Victor arrive ce soir. On va aller le chercher à la gare.
Mais bien sûr ma petite boule blonde qu’on va aller te le chercher ton Victor.
Un peu plus tard, dans la soirée, nous étions à la gare Perrache. Elle trépignait d’impatience. Enfin le train pénétra dans la gare et s’immobilisa sur le quai. Nous cherchions dans les deux sens et c’est moi qui l’ai vu en premier. Ce ne pouvait être que lui. Un grand type en blouson de jeans. Je posais ma main sur le bras d’Annie, lui désignant le gars et lui fit signe que je les attendais dehors. Elle se précipita vers lui et ils s’enlacèrent en pleurant de joie. Ils étaient très beaux tous les deux !
Quelques instants plus tard, ils montèrent dans la voiture.
- Victor ne parle pas français, mais il vous remercie, toi et la dame, pour hospitalité.
En me souriant, elle me murmura :
- J’ai promis à Victor l’amour pour lui ce soir.
Tu as très bien fait. Il a beaucoup de chances ton gaillard.
Et nous sommes rentrés à la maison.
Vers le milieu de la nuit, on gratta à la porte de notre chambre. Ils avaient roucoulé toute la soirée et baisaient comme des fous depuis des heures. Danielle se leva et ouvrit la porte. Ils entrèrent.
- Nous allons repartir à Paris demain. Mais vous ne m’avez pas tout appris, non ? dit Annie en hochant la tête, mutine.
Son Victor regardait Danielle avec concupiscence. Nous sommes tombés dans les bras les uns des autres.
Annie était à quatre pattes et Victor à genoux sur le lit la voyait s’approcher avec envie. Elle avait bien appris la leçon de Danielle et elle se mit à le pomper avec ardeur. Il lui caressait doucement les cheveux.
Ma femme la regardait faire avec un plaisir non dissimulé. Elle se glissa en dessous et se mit à la lécher à grands coups de langue. J’attendais en les regardant faire tous les trois. J’admirais. Puis au milieu de tous ces bruits de respirations, de gémissements et de succions, j’entendis une drôle de phrase.
Annie me parlait sans arrêter de sucer la verge de son copain :
- Andé, en le cul, il ou plait… Andé…
Je compris vite ce qu’elle désirait. Danielle, allongée sous elle et l’aspirant amoureusement me regardait.
Je me mis en position et enfonçais doucement mon dard son petit trou du cul bien serré. Elle ne put s’empêcher de crier un peu, mais Victor la ramena vite à la raison. On ne peut pas crier la bouche pleine. Danielle avait mes couilles qui lui battaient le visage. Annie était occupée de partout. Victor me regardait et tout en éjaculant dans la bouche chaude de son amoureuse il s’écria :
- Vive la France !
Jarilo
Les commentaires
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Eddy à 15:59, le 1 février 2023
Quel talent ! Superbe histoire merci !
Simcamille à 16:55, le 1 février 2023
Magnifique. Important les langues étrangères !
Feeldoe à 13:27, le 3 février 2023
Bravo
4lix à 09:53, le 11 août 2023
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