Découverte de la chasteté - 1re partie

Histoire torride racontée par Rosalie.

Je t'aime mon amour. Comme promis, voici une nouvelle histoire à la fois excitante et humiliante comme tu le souhaitais (cette histoire sera en plusieurs parties mon amour)
Cette fois chéri je te demande d'imaginer cette histoire dans un futur proche, nous ne sommes pas encore mariés et avons tout juste la vingtaine, et bien sûr nous sommes toujours follement amoureux. Lorsque je parle de futur proche mon amour tu peux considérer qu'il s'agit de l'année prochaine, ainsi il ne te reste plus qu'à lire ce qui t'attend.
Un jour d'été, alors que la chaleur est étouffante à l'extérieur, nous sommes paisiblement nus et enlacés sur le lit ; nous vivons désormais ensemble depuis quelques mois et tout est absolument parfait, aussi parfait qu'on ait pu l'imaginer.

Nous travaillons la journée et en rentrant le soir je suis la plus heureuse de pouvoir me reposer dans les bras de mon homme, et bien sûr tu sais exactement comment me détendre en me réservant des cunnis délicieux.
Tandis que nous sommes allongés, je me mordille la lèvre en repensant à la façon dont tu m'as fait l'amour peu de temps avant…
« Je viens de rentrer lorsque j'entends l'eau couler à la salle de bain, je glisse alors ma tête à travers la porte et te vois de dos dans la douche ; je contemple avec un mélange d'admiration et d'excitation l'eau qui ruisselle doucement sur tes épaules musclées, coulant ensuite sur ton torse divin pour venir terminer son chemin sur ton cul irrésistible. Je retire alors d'un geste vif la robe légère que je portais ainsi que les sous-vêtements, et te rejoins.

En douceur sous la douche ; tu ne m'avais pas entendu arriver et sursautes donc légèrement lorsque je glisse mes mains autour de ta taille, tu te retournes alors pour m'embrasser, permettant ainsi que nos langues viennent s'unir avec empressement. Tes mains quant à elles descendent doucement jusqu'à ma poitrine, tes doigts caressant mes seins qui deviennent dur à ton contact, tu les prends alors en bouche pour les lécher et commences à les sucer doucement ce qui me fait gémir de plaisir. Je descends alors ma main jusqu'à ton sexe et constate que tu es déjà très dur, je place alors ma main autour de celui-ci et exerce de légers mouvements de coulissiers ; je resserre ensuite ma prise et commence à te branler, d'abord tout doucement puis bien fort, si bien que ton sexe frémit parcouru de décharges de plaisir…

Tu m'aides à me relever pour que tu puisses t'agenouiller et tes mains viennent fermement agripper mes fesses musclées et délicieuses, je ferme alors les yeux et savoure avec pure extase tes coups de langue délicats sur ma chatte, tu écartes doucement mes lèvres pour venir au contact direct de mon clitoris que tu viens délicieusement torturer en le suçotant puis descends ensuite pour venir goûter et lécher toute ma mouille. Terriblement excités nous sortons de la douche et n'avons pas la patience d'atteindre le lit, tu t'allonges alors sur le sol et je te rejoins aussitôt. Je te chevauche tandis que tu me pénètres doucement, nous gémissons tous deux lorsque tu parviens à te glisser au fond de ma chatte et me soulèves d'un coup de bassin brusque.  Nos hanches ondulent alors en rythme, et bientôt la sensation de ton sexe venant titiller mon point faible nous procure un intense plaisir ; lorsque tu sens que je suis sur le point de jouir, tu accélères tes coups de reins, tout en caressant mon dos qui se cambre de plaisir, j'atteins ainsi rapidement l'apogée tandis que tu me pilonnes toujours plus fort.
Je t'embrasse ensuite le cou tout en le parsemant de légers mordillements si bien que tu te vides en moi, jouissant en un orgasme puissant ».
Nous sommes si bien dans les bras l'un de l'autre et la rêvasserie érotique m'ayant quelque peu accaparée que j'en aurais presque oublié le cadeau humiliant qui t'attend mon homme.
Alors que tu es dans mes bras et que je t'embrasse doucement, je te susurre dans l'oreille : « j'espère que tu as aimé la façon dont nous avons fait l'amour tout à l'heure chéri, j'espère que tu as apprécié pleinement chaque coup de reins, désiré sentir nos bassins se cambrer de plaisir lorsque tu me prends… car c'était la dernière fois pour un moment mon amour »
À ces mots, tu te figes soudainement, un mélange d'excitation et d'appréhension t'envahissant, et me lances d'une voix inquiète, ne sachant que trop bien ce à quoi je fais référence :
–" tu ne l'as pas acheté mon amour si...? »
Ce à quoi je te réponds ;
–" Oh que si chéri, que ta petite bite profite de bander une dernière fois, car pendant les 3 prochaines semaines, pour commencer évidemment, elle sera en cage »
Pour te montrer que je suis tout à fait sérieuse je me lève et vais récupérer le colis se trouvant à l'entrée et auquel tu n'avais pas fait attention, je te rejoins alors et te le tends d'un air enjôleur « ouvre-le et je t'assure que tu ne seras pas déçu »…
Tu découvres alors la cage, il s'agit d'un modèle rose en silicone, scellée d'un cadenas doré et accompagné d'une queue en fourrure, rose également, à son dos, particulièrement humiliante et donc parfaite pour ma petite soumise.  Tu contemples la cage puis ta femme en te mordillant la lèvre, envisageant à peine la torture qui tu attends pour les semaines à venir… Je me blottis alors contre toi et commence à t'embrasser langoureusement, ma langue vient s'enrouler autour de la tienne tandis que ma main descend progressivement jusqu'à ta magnifique bite, parvenant à ton gland que je titille doucement du bout des doigts j'ai la satisfaction délicieuse de voir que tu es déjà tout dur, je passe alors le bout de ma langue sur ton gland ce qui te fait gémir doucement ; tu attrapes ensuite fermement ma tête en vue de la maintenir lorsque je te sucerai, fermant déjà les yeux à l'idée du contact de ma salive ruisselant sur ton sexe, la sensation de te sentir emprisonné bien au chaud, malheureusement pour toi il en est tout autrement
J'enlève ainsi les chaussettes souillées portées lors de ma séance de sport plus tôt dans l'après-midi et te les enfonce dans la bouche, te forçant ainsi à contempler mes pieds si sexy, mais à l'odeur bien marquée ; tu te mets alors à quatre pattes comme une bonne petite chienne pour les renifler t'enivrant de ce parfum à la fois fort et envoûtant
Je te demande alors de m'accompagner jusqu'à la salle de bain, et cela
tombe parfaitement bien que nous soyons toujours nus pour la douce torture que j'ai en tête.  Je m'installe dans la douche en m'agenouillant tandis que tu me rejoins ; je lis dans ton regard une étincelle de frustration et de supplication qui m'indiquent que tu sais déjà le sort qui t'est réservé, tu te places alors debout face à moi tandis que je redresse rapidement mes cheveux en un chignon dont dépassent quelques mèches folles et te lance « je suis prête mon amour, soulage toi sur moi, mais sans te faire du bien en revanche, qu'on puisse enfin te mettre la cage », et tu t'exécutes sous les ordres de ta maîtresse. Je ferme alors les yeux et sens un filet chaud perler le long de mes seins, mes tétons se durcissent sous le contact de cette chaleur et je commence alors à les caresser, les masser bien vigoureusement pendant que tu te soulages sur moi ; tu vises ensuite mon sexe ce qui m'arrache un gémissement à la fois de plaisir et de surprise.  Tu me supplies de te laisser me lécher, de me goûter et de sentir ma mouille abondante et musquée sur tes lèvres, ce à quoi je te réponds de continuer, tes mains déjà bien occupées ne peuvent peut-être pas toucher ma chatte, mais les miennes sont parfaitement libres et ce pourquoi je commence à me doigter bien fort tandis que le liquide chaud déferle sur mon clitoris, d'abord un doigt puis bientôt deux, répétant avec ardeur ton mouvement si plaisant et unique qui me fait toujours jouir. Lorsqu'il ne te reste plus rien, je me redresse et t'embrasse, je t'embrasse doucement, mais avec passion, me sentant un peu coupable de t'infliger ce sort, cependant je me souviens très vite que tu adores que je fasse de toi tout ce que je désire…
Nous nous rinçons, avec un petit supplément d'eau froide pour toi et sortons de la douche ; je t'accompagne alors sur le lit et saisis la cage.  Je contemple avec une légère tristesse ta magnifique bite qui me fait tant de bien et tu accordes de derniers coups de langue sur tes couilles et ton gland, cependant tu n'as pas le temps de durcir suffisamment et je t'emprisonne en un geste rapide.  Nous verrons si la torture est supportable ou un enfer délicieux, et cela dès le soir même.

To be continued
Written by Madrosalie