Chère lectrice rousse aux petits seins - Partie III

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Suite et fin de l'histoire coquine « Chère lectrice rousse aux petits seins », écrite par Mysterious.

Insatiable de Candice

Candice… Je ne me lasse pas, plus de toi. C’est aussi simple que ça. Je te regarde et je braque mes yeux dans les tiens. Je suppose qu’ils sont brillants, dilatés. Brûlants, incandescents. Oui, je ne dis pas un mot et tu vois que mes lèvres sont ouvertes tout en étant muettes. Mais non, ce n’est pas ce que tu pourrais penser. Candice… Je suis subjugué parce que tu es sexy là. Je tombe devant ta beauté. Je tombe des nues. Un point c’est tout. Point final. Si seulement j’avais l’audace de… non…
Nos baisers sont confiants, inspirés. Et… ils me font de l’effet, plus que jamais, je dirais même. Oui, Candice… Pendant que je presse mon corps contre le tien, pendant que mes lèvres se posent sur les tiennes, pendant que ma langue cherche la tienne puis joue avec, je bande. Je bande parce que je pense, repense à ta lingerie en froufrous. Ça aussi, ça fait partie du cadeau que tu as voulu me faire, Candice. Ta lingerie et tes poils… Jolie rousse… MA « petite » rousse… Je te regarde. Je suis ému. Je suis à nu.
Candice… Tu es belle comme une Vénus, là, telle que tu es. Tu me rappelles cette toile de Raphaël, là. C’est quoi, ce titre à ce tableau ? Ah. Ça y est. Ça me revient. La Naissance de Vénus. Là, tu n’as pas émergé d’un coquillage. Mais… Ton sexe orné d’un délicat mont de Vénus roux EST ce coquillage. Tes petites et grandes lèvres forment la coquille. Que dire de ton clitoris rose qui est la perle de ton sexe ?

Les fantasmes de Candice : cunnilingus (suite)

– Mysterious… Lèche-moi. Honore-moi. Fais-moi l’amour comme j’aime. Continue… Tu es un bon lécheur, toi. MON lécheur. N’arrête pas. Surtout pas.
Candice… Je te regarde droit dans les yeux. J’ai bien entendu ce que tu viens de me dire. Mais… comprends-moi. S’il te plaît. Tu ornes ton bas-ventre d’un subtil duvet roux et tu me dévoiles cette lingerie fine de froufrous. Laisse-moi… en jouir, s’il te plaît.
– Candice… Can… dice !
– Mysterious…
– Ma jolie rousse aux petits seins en poires…
– Mysterious…
Nous nous regardons dans le blanc des yeux. Tu sais ce que tu veux. Et moi, je sais ce que je veux. Et la femme dont j’ai envie, c’est toi. Ni plus ni moins. Je me dévoue à toi. Tu es la sainte à laquelle je me voue. Une sainte qui sait ce qu’elle veut. Une sainte aux cheveux roux et à la poitrine menue. Une religieuse, mais sexy et toute sauf innocente qui se couvre de froufrous et qui s’abandonne aux fantasmes secrets, mais perceptibles de son amant… et qui ose. Can… dice ! Tu me regardes. Je te regarde. Ton sexe est à portée de bouche. Il n’y a que toi. Tu le sais. Ne dis rien. Je sais. Tu sais. Tes poils roux… Tes petits seins… Ton attitude émoustillante et provocatrice, juste ce qu’il faut, à la fois… Tu es MA muse. Tu es MA Candice. Je veux t’honorer. Tu es à moi. Et moi, donnant-donnant, je suis à toi. Je te regarde, Candice. Candice… Ton sexe, mes doigts… Ton sexe, ma bouche… Nous ne faisons qu’un.
(…)
Candice… Tes yeux et tes froufrous… Tes yeux et ton minou… Oui, j’ai du plaisir à t’embrasser parce que tes lèvres sont cerises, sucrées. Mais oui, aussi, j’ai le même plaisir à les embrasser, tes lèvres… intimes: ces nymphes boursouflées parce qu’elles pleurent de désir ET de plaisir. Et moi… je te désire, plus que jamais, Candice. Tu es émoustillante et moi, je n’ai d’yeux que pour toi. Oui, j’ai arrêté pour un court, court moment, ce cunni que je te faisais. Mais non. Ne t’inquiète pas. Je ne vais pas te priver de ce plaisir… et de cet orgasme que tu attends. Tu le sais. Tu me connais.
Très délicatement, je t’aide à t’allonger sur le lit. Je veux que tu t’y sentes bien, chérie. Et pendant que je vais continuer de m’occuper de toi, je veux que tu ne penses à rien et que tu te laisses juste aller. Là. Tu es allongée sur la couette et tu ne fais désormais qu’un avec le lit. Je vois ce joli spectacle que tu m’offres et je t’admire comme si tu étais une œuvre d’art dans un musée.
Je t’ai laissé ta robe, Candice. Ne t’inquiète pas. Tu sais que je les adore, tes beaux petits seins. Mais vois-tu… Ce sont déjà des cadeaux émoustillants que tu me fais alors que j’ai sous les yeux ta petite culotte en froufrous ET ton sexe qui est désormais duveteux, mais entretenu. Je te regarde. Oui… Tu le vois, ça. Et je vois qu’en retour, tu ne me quittes pas des yeux. Nos yeux se captent et ne se quittent plus. Tout en te bouffant des yeux, je tends la main droite entre nous et je la pose sur ta minette qui a éclos, depuis. Je touche et je caresse ce joli ensemble rose…
(…)
Candice… Je sais… Mes yeux sont en permanence sur toi. Comprends-moi. Tu es émoustillante. Tu portes des froufrous sous tes vêtements et tes poils sont… un poil plus long, mais épilés un minima. Ta sensualité est revendiquée et tu braques tes yeux dans les miens. Moi, dès lors, c’est un message que tu m’envoies, jolie Candice. C’est moi et pas un autre que moi à qui tu veux plaire. Je reçois le message cinq sur cinq. C’est moi et pas un autre que moi que tu désires émoustiller. Et quand je jette un coup d’œil à ta robe… à tes sous-vêtements… à ce roux qui t’orne telle la Vénus du peintre Raphaël… C’est TOI que je désire. C’est de TOI dont j’ai faim. Toi, tu es sur le dos et tu te laisses aller. Je te vois, tu sais ? Tu te touches par-dessus le tissu de ta robe. Tu fais du bruit. Tu te fais du bien. Tu prends ton pied.
Soudain… Oui… Soudain. Ta main se porte vers ma tête. Tu fourrages mes cheveux et puis tu les empoignes. Tu sais ce que tu veux, Candice. Et ce dont tu as envie, là, à l’instant t, c’est que je me remette à te lécher. Tu sais comment je m’en doute, ma belle? Je relève la tête et puis je lève les yeux vers toi. Je te regarde. Je ne te lâche pas. Plus. Je suis à l’affût de tes moindres faits et gestes. Tes yeux sont braqués en retour dans les miens. Sous l’effet du désir, tu n’arrives plus à te calmer et du coup, tu gigotes. Tu poses le bout de tes doigts sur ton thorax. À… mon avis… Tu fais ça pour écouter ton cœur battre. Et l’instant d’après, tes deux mains se posent sur ta belle petite poitrine et tout en me dévorant des yeux, tu te les caresses, tes deux jolies poires. Candice… Si tu savais à quel point tu m’émoustilles quand tu fais des trucs comme ça…
Je savoure, je jouis du moment présent, ma belle. Tout ce que tu me donnes, tout ce que l’on vit, toi et moi, j’en tire toute la quintessence. Et dans le même temps, je ne pense pas à hier, je ne me projette pas sur demain. Candice… Ma chérie… Ne te méprends pas. Tu deviens importante dans ma vie, lentement mais sûrement. Simplement… On ne sait pas de quoi demain sera fait. Et du coup… Toi et moi, nous sommes amants. Je suppose, par conséquent, que tu es plus ou moins comme moi. Tu jouis des bons moments et tu en profites autant que tu le peux. Tu te mets sur ton trente-et-un, Candice. Tu es comme moi. Je suis un hédoniste et j’assume le fait d’être curieux. J’assume le fait de découvrir de nouvelles choses, d’explorer des facettes de moi qui m’ont été imperceptibles jusqu’à présent. Hier, on était dans cet hôtel de ma ville, on s’est rencontrés, on a commencé à aiguiser cette sensualité qui n’appartient qu’à nous et nous avons fait avec bonheur. Tu t’en souviens, Candice ? Oui, tu t’en souviens. Parce que moi aussi, je m’en souviens. Aujourd’hui, nous sommes dans ton lit et nous nous découvrons davantage. Je dirais même que nous nous faisons des surprises. Nous nous offrons l’un à l’autre en cadeau. Tes jambes écartées, tes froufrous, tes poils, ta robe… Tu me rends fou.
(…)

Nous ne faisons qu'un

Je t’ai regardée, les yeux dans les yeux, quand je frottais mon sexe tout dur, sur et contre le tien. Candice… Tu es tellement humide, là, les jambes grandes ouvertes alors que je vais et que je viens à l’intérieur de toi. C’est doux… et pourtant bien chaud, ce que ton corps sécrète. Là. Je plonge mes yeux dans les tiens. Je te dis tout. Je ne remue pas les lèvres, pourtant. Quand je te lèche, ma langue te dit que ton sexe a un goût qui me plaît particulièrement. Quand je te lèche et que mon visage est tout contre ton entrejambe, mon nez te dit que ton sexe sent bon et qu’il a un parfum dont je ne peux plus me passer. Quand je te pénètre avec un, deux doigts ou bien avec mon pénis, mon corps te dit que c’est doux, chaud et humide à l’intérieur de toi et que c’est un délice de faire l’amour avec toi.
L’association, la combinaison de tout ça, eh bien, c’est tout simple: ça te fait donner de la voix, Candice. Ça fait que tu frottes ton sexe allègrement contre ma bouche pour me sentir encore plus. Ça te fait me guider, que ce soit quand tu me parles ou bien quand tes doigts s’enfoncent dans mon cuir chevelu et que tu orientes mes caresses. Je me laisse faire et je TE laisse faire volontiers. Parce qu’ainsi, tu me dis, tu me fais comprendre si je m’y prends bien, si ça te plaît. Parce qu’ainsi, également, je sais si je dois rester sur la même ligne de conduite ou si je dois changer et m’adapter à tes besoins, à tes désirs, à tes envies. Candice… Ainsi, nous sommes à l’écoute de l’autre, et vice-versa. Nous nous complétons. Nous ne faisons qu’un.
(…)
Je me suis relevé et je t’observe un peu. Tu es belle. Je te l’ai déjà dit, mais… Je trouve que le plaisir te va bien quand tu y dis oui. Tu es en sueur et tu reprends lentement ton souffle. Tu me regardes. Tu me souris. Tu me touches, tu m’émeus.
– Mysterious… Aaah… Ça reste toujours aussi… bon, quand tu me fais l’amour. Déshabille-moi à présent, s’il te plaît…

Notre partie de baisers et de caresses est interminable. Ces baisers et ces caresses sont divers et variés et tu sais quoi, ma jolie muse ? Ne comptes pas… surtout pas sur moi pour y mettre un terme. Je suis si bien avec toi. Avec toi, la vie a une autre senteur, un goût différent. Avec toi, les mots et les sourires ont une tout autre signification. Ché… rie… Oui. Tu es ma chérie. De plus en plus. Et quand tu n’es pas là, je pense à ce que tu as porté, à ce que nous avons fait. Et l’instant d’après, je rêve de ta tenue, de ce que nous ferons la prochaine fois…
Un coup, c’est de tes lèvres sucrées dont je m’empare et j’y presse goulûment, allègrement les miennes. La fois d’après, je descends et c’est ta peau senteur fruits rouges que j’honore et je l’embrasse, je la lèche. Je sais… Ta peau est mouillée. Tu le sais. Tes petites poires m’émoustillent. Elles… Ton nombril… Ton pubis… Toi, tout entière, tu m’émoustilles, Candice. Je fais de toi, mon essentielle.
(…)

Prends-moi, Mysterious !

Tu as écarté à un moment donné soudainement tes jambes un peu plus encore. Et tu m’as regardé avec ces yeux suppliants que je commence à connaître. Tes yeux me parlent de ton désir irrépressible, insatiable. Tu haletais parce que je venais de te faire jouir avec mes lèvres et ma langue. Je suis sûr que ton cœur battait la chamade et que tu ne savais plus à quel saint te vouer, toi, à ton tour. Tout ce que je savais, c’était que tes yeux étaient braqués sur moi et que par conséquent, ils m’exprimaient ce dont tu avais envie, plus que tout… La suite m’a donné raison, Candice.
– Mysterious… Je suis toute mouillée… Perdue… PRENDS-MOI ! BAISE-MOI ! MAINTENANT !
À l’instant-t, tu n’avais pas besoin d’être plus claire. J’avais tout compris. Le message était reçu cinq sur cinq. Et vu que moi, dans le même temps, j’étais tout dur, perdu… J’ai posé mes mains sur tes jambes et je les ai maintenues bien écartées. J’ai fait en sorte que mon pénis et ta vulve se redécouvrent. Frotti-frotta, nous n’avons refait qu’un, petite touche par petite touche. Effectivement, tu l’étais, humide. Puis je me suis emparé d’un préservatif et je m’en suis paré. Mais avant… Avant que je ne te pénètre, j’ai aussi pris ce bandeau noir en soie que j’avais posé au préalable sur la couette. Je t’ai privée alors de la vue, ma belle. Et même les yeux bandés, tu étais sexy. Rhoo… Je te désire tellement, ma jolie. Et là, je vais… et je viens entre tes reins…
(…)
Même si c’est toi qui es allongée sur le lit, même si c’est moi, à priori, qui ai le dessus sur toi, ma belle, toi, tu es toute sauf passive. Oh… non. C’est même tout le contraire. Candice… Continue… C’est comme tout à l’heure, quand tu étais sur les genoux, quand tu m’as fait cette pipe qui me laisse, là encore, dans tous mes états. Tu t’y prends bien. Et là, même si tu ne me vois temporairement plus… Tu me sens. Oui… Tu ne peux que me sentir tout entier, enfoncé en toi. Tu as tes mains posées sur mon corps et tu les laisses me parcourir comme bon te semble. Ça fait que je vais… et que je viens entre tes reins, ma muse. Ma jolie rousse… Tu ne peux pas me voir, là. Mais… Tu sais que je suis tout contre toi. Tu me parles et tu me dis que tu es trempée, brûlante. Tu me dis que j’ai l’air d’être bien à l’intérieur de ton vagin étant donné que je suis on ne peut plus gros et que je n’en finis plus de m’en aller puis de revenir. Tu viens de dire ça, Candice… Moi ? Ça rentre par une oreille, mais… attention… ! Ça ne ressort pas par l’autre. Je te regarde. J’essaie de m’imaginer tes yeux, leur éclat, leur expression. Je t’admire, ma Mona Lisa rousse et aux petits seins. Je suis partagé… Tu es émoustillante, les yeux bandés. Et… dans le même temps, j’aime te regarder et te bouffer des yeux. Le choix est cornélien. Ce que je sais, en revanche, c’est que ce n’est que pur délice d’être en toi, de te faire l’amour.
(…)
Si tu savais à quel point tu ravives les flammes de notre sensualité quand tu te caresses et que l’instant d’après, tu te mords la lèvre, Candice… Là, ce n’est même plus raviver cette flamme. Non… Tu jettes carrément de l’huile sur le feu, ma chérie ! Tu croyais que je n’aurais rien remarqué, que je n’aurais pas découvert ton petit jeu, Candice ? Tu as eu tort. Car oui, tu es un appel au crime, aujourd’hui.
Tu restes le même appel au crime, ma chère lectrice… et désormais maîtresse. Tes longs cheveux roux et tes yeux espiègles, en permanence expressifs, de féline… Tes petits seins en poires et leurs tétons qui sont allongés parce qu’ils pleurent de désir ET de plaisir… Tes sous-vêtements en froufrous dont tu raffoles et ton mont de Vénus couleur flamme… Ta belle « petite » chatte rose, inondée et on ne peut plus éclose… Et à présent, ton anus qui apparaît et que je ne peux que voir puisque tu as décidé de ton propre chef d’écarter de manière carrément outrageuse, là, tes jambes. Même si tes yeux sont plongés dans le noir, je suis convaincu que tu me regardes… et que tu ne me lâches pas. À… mon avis… ce sont tes quatre autres sens qui te guident. Je me suis relevé pour te permettre d’écarter les cuisses. Auparavant, c’était pour que tu te masturbes pendant que je te pénétrais. Un nouveau cadeau, alors, que tu veux me faire, Candice ? À mon tour de te regarder et de ne plus te lâcher… Là. Je vais… et je viens plus fort. Je te prends. Je te baise…
(…)

Les fantasmes de Candice : levrette

La dernière fois, j'ai cru remarquer que tu apprécies d'être à quatre pattes, en levrette, réceptive à l'homme qui te fait l'amour. Candice… À… lors… Ça corrobore ce que tu m'as écrit dans nos échanges. Ne mens pas, ma belle. Pas maintenant. S'il te plaît. Je te sais sur la même longueur d'onde que moi. Je ne supporterai pas que tu aies fait semblant, comme ça, juste pour me plaire et pour me séduire, et puis basta. Candice… Mon instinct ne me trompe que rarement, tu sais ? Et là, je SAIS que tu ne joues pas. Oui, tu es coquine et tu aimes user, abuser de tes charmes. Mais non, je te vois comme une femme qui est passionnée et qui, par conséquent, ne briserait pas le cœur… et le corps d'un homme qu'elle a dans la peau et que cet homme, il a lui aussi cette femme dans la peau. Candice… Moi aussi, je me mets à nu. Moi aussi, je veux t'appartenir.
(…)
Candice… Ma chère lectrice aux petits seins… Et… désormais… ma jolie rousse à quatre pattes… Je vais et puis je viens plus vite, plus fort. Je te baise. Je ne t'épargne plus. Tes chairs roses détrempées m'accueillent à merveille. Dès lors, je m'en donne à cœur joie. Mais… attention… Moi aussi, du coup, je t'appartiens, trésor. Et j'ai beau avoir dit « que je te baise »… Je n'aime pas dire ça. Ça m'est venu dans le feu de l'action, sans réfléchir. À l'instant-t, je réalise que c'est davantage faire l'amour, ce que nous sommes en train de vivre. Et je ne sais que trop bien que ce terme… « baiser » ne te plaît pas, et ce, même si tu l'as prononcé pendant que je te prenais tout à l'heure, jolie Candice. Nous faisons l'amour. JE TE FAIS L'AMOUR.
Je prends tes fesses à pleines mains et par le biais de ces va-et-vient que je mène et qui nous lient, je te fais bouger d'avant en arrière. Ta peau se couvre petite touche par petite touche de transpiration et bien que je fasse encore et toujours main basse sur toi, Candice, j'éprouve quelques difficultés pour m'arrimer de la meilleure des façons à toi. Pourtant, j'y parviens malgré tout. Le spectacle de tes cheveux longs qui s'agitent dans tous les sens à cause de mes coups de reins ET de ton cul qui s'entrechoque avec mon bas-ventre m'émoustille au plus haut point. Mais ce qui m'excite encore plus, hmmm… Je dois avouer que c'est le fait de t'entendre. Tu soupires, tu gémis. Tu inspires, tu expires. Tu respires, tu halètes. Tu me parles, tu me supplies. Tu ne me vois plus pour le moment, Candice. Mais tu me sens. Et je veux que tu me sentes, plus que jamais sur toi. En toi, au plus profond de toi…

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Je vais et je viens, entre tes reins…

Je vais et je viens entre tes reins, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Si tu savais comme c'est… bon de te l'amour. Comme c'est tout aussi… bon de jouir de tous ces cadeaux que tu me fais aujourd'hui. Et moi, je vais et puis je viens de bon cœur à l'intérieur de toi. Je prends tes fesses à pleines mains.
Les yeux plongés dans le noir, tu as beau t'en remettre à moi et à mes pénétrations, Candice… Tu es une hédoniste, une jouisseuse et tu tires toute la quintessence de ce que l'on partage, de tout ce que l'on vit, toi et moi. Tu aimes faire l'amour et tu te donnes corps et âme. Tu es une sauvageonne. Tu le fais savoir. Tu te fais entendre, mais dans le même temps, c'est intime et ça reste dans ce temple sacré que sont les chambres, quelles qu'elles soient. Candice… Tu m'émoustilles. Tu es sexy. Tu es ma chérie aux petites poires, aux poils roux et aux froufrous. Et là, mes mains écartent tes fesses et les font miennes. Tu es particulièrement mouillée. Je le vois. Je continue de te prendre. Toi aussi, tu prends goût à ça.
 
Candice… Toi et moi, nous ne faisons qu'un. Ton vagin et mon pénis. Mais… À force que nous nous parlons… À mesure que l'on s'apprivoise… Petite touche par petite touche, nous sommes devenus insatiables l'un de l'autre. Et moi, je te vois, pendant l'amour, tu sais ? Tu n'es pas en reste. Tu en veux plus, toujours plus. Tes longs cheveux roux et ton sourire éloquent, lubrique… Tes petits seins en poire et tes froufrous… Tes poils et ta mouille… Je… comprends. Je comprends tout…
 
Mes mains sont fermement posées sur tes fesses. Tu as beau être tout en sueur du fait de l'activité que l'on fait et de l'énergie que l'on dépense… Ta peau est toujours aussi agréable à toucher, à caresser. Elle est douce. Tu prends soin de toi, ma chérie. Je crois deviner que c'est aussi pour moi que tu te fais coquette comme ça. Moi… Ton amant… Ton corps est beau et il te donne du plaisir. Il m'en donne à moi aussi. Et là, mes mains sont sur ton derrière. Je t'écarte les fesses…
La pénétration est profonde quand nous faisons l'amour ainsi. Candice… Tu mouilles tellement. Ce n'est que pur délice d'être en toi, de t'honorer. Ce n'est que pur plaisir de t'entendre prendre du plaisir, de t'écouter l'exprimer. Je suis tellement bien quand je suis avec toi, ma jolie rousse. Candice chérie… Chère amie… Ce sont des moments si… bons, ce que nous sommes en train de vivre. En ce qui me concerne, je photographie ces instants dans ma tête. J'ai les oreilles grandes ouvertes dans le même temps. Quand je serai seul, de nouveau, je me concentrerai et je penserai fort à toi, ma belle. Je me mettrai à l'aise et je me détendrai. Je me créerai tout un contexte dans lequel ma sensualité sera exacerbée. Je ferai comme si tu es là, Candice et je mettrai en scène, en spectacle mon désir, mon envie de toi. Car j'aurai envie de toi. Je me toucherai, je me caresserai. Je me laisserai aller, je me masturberai. Je penserai à ton corps et à ta voix. Au comble du plaisir, je me laisserai jouir.
Mais pour le moment, c'est de TOI dont il est question, jolie rousse. Tu halètes, tu gémis. Tu soupires et tu cries même le plaisir que tu as, le pied que tu prends. C'est TOI. Pas une autre que je veux, mais TOI. Et ce, même si d'autres tournent autour de moi. Il n'y a que toi.
Tes fesses bien écartées, je vois ma queue qui vient et puis qui va. Et… je te vois, tu sais, Candice ? Oui, je te vois. Même à quatre pattes, tu es toute sauf inactive, passive. Mes yeux sont partout. Et… Là… Je vois que tu te caresses et que tu accompagnes mes pénétrations.
Ce que je vois… Ça m'émoustille. Et… ça dope même le désir que j'ai pour toi. J'en veux plus, ma chérie. Je te veux… tout entière, là…
 
Oui, là, ici, maintenant, dans ton lit, j'ai envie de toi, tout entière, Candice. Quand je te vois telle que tu es, à quatre pattes, te donner comme tu le fais… Tu ne me laisses pas indifférent. C'est tout le contraire. Tu es la seule femme dont j'ai envie. Je perds toute objectivité quand je te vois, ma belle. Quand tu souris, quand tu remues les lèvres… Quand tu m'embrasses, quand tu me parles de tes envies et de tes fantasmes… Quand tu me dis de but en blanc que tu ne peux plus attendre… Je suis perdu.

Le fantasme de Mysterious : l'anus de Candice

Et là, ton cul bien écarté… Je vois… ton anus. Oui, je le veux…
 
- Candice…
- Mysterious...
- Je… Je…
- Mysterious... Ne dis rien. J'ai tout compris. J'ai… tout compris, tu sais ? Oui… Tu as envie de moi. Et moi aussi, j'ai envie de toi. Depuis que l'on se connaît, ma vie change. Depuis que l'on se connaît, notre liaison apporte du sel et du poivre, du sucre et du chocolat dans ma vie. Pour toi, j'ai pris un covoiturage et je t'ai rencontré. Pour toi, je me donne… presque… tout entière et mes poils pubiens sont désormais là. Je me sens belle et désirée quand je porte ces froufrous et que tu me dévores des yeux. Mysterious... J'aime ces moments que l'on passe, rien que tous les deux. Et j'adore… par-dessus tout coucher avec toi. C'est tellement… bon. J'oublie tout quand tu me parles, quand tu me mets en confiance pour que je m'abandonne. J'oublie tout quand tu me souris, quand tu me touches pour que je me liquéfie sur place. J'oublie tout quand tu m'embrasses, quand tu me caresses pour que tu fasses de moi une femme perdue. J'oublie tout quand tu me lèches, quand ton sexe est dans le mien pour que tu me donnes ces orgasmes que j'affectionne tellement. Alors… Oui, je suis… presque… tout entière… à toi. Mais… là… J'en veux… plus…
Mysterious... Mon cul… Tu le vois… Oui, tu le vois. Depuis la première fois, tu le veux. Ne me mens pas, Mysterious. Il est à toi, aujourd'hui. Oui…
 
- Candice…
- Mysterious...
- Je… Tu en as vraiment...? C'est… ce que tu veux, toi ?
- Mysterious... S'il te plaît… S'il te plaît.
 
Ma chère lectrice rousse aux petits seins… Je suis émoustillé par le grain sensuel, sexy de ta voix. Et… Je suis touché de ce que tu viens de me dire. Parce que oui, j'ai craqué pour ton anus dès la première fois où nous avons fait l'amour. Chez moi, dans mon lit, quand je me masturbais, je ne pensais qu'à toi. Je te voyais me sourire et je t'entendais me parler. Je te voyais jouer, jouir avec moi et je t'entendais prendre ton pied. Petite touche par petite touche, j'ai rêvé que tu te dévoiles entièrement. Je prenais du plaisir à imaginer ces scénarii à venir, à ce que nous vivrions. Je suis même allé plus loin, tu sais ? Je te l'avoue, ma belle. Ce qu'on vit là, ce que tu viens de dire… Il m'est arrivé de l'entrevoir, les yeux fermés, ma main qu'il allait et qui venait sur mon sexe. Je m'en donnais à cœur joie. Et là, tu dis de but en blanc, sans aucun détour, que tu veux m'accueillir dans ton anus. Je me retire de toi. J'approche mon visage de ton cul…

Préparer Candice pour le plaisir anal

Le visage collé à tes fesses, j'embrasse et je lèche ton derrière. Dans le même temps, ma main droite se porte sur mon pénis et elle retire le préservatif qui le couvre et qui nous protégeait jusqu'à présent. Le latex est trempé. Détrempé, même. Je n'ai pas besoin de chercher midi à quatorze heures. L'extérieur de la capote est imbibé de ta mouille. Ça veut dire ce que ça veut dire… Tu es… complètement excitée, Candice.
Le préservatif enlevé, je maintiens la pression de mon poing sur ma queue et je me masturbe pendant que je m'occupe de toi, jolie rousse. Je veille à ce que ça reste du plaisir pour toi, ce que je fais… et à ce que tu en prennes constamment.
 
Tu es à quatre pattes, ma chérie. Tu es entièrement nue et tu ne vois rien, car tu as ce morceau de soie sur les yeux. Je te connais… Ça ne t'empêche en rien d'user et d'abuser de tes quatre autres sens. Tu es une jouisseuse, une hédoniste et tu tires la quintessence de tout ce qui nous lie. Les baisers et les caresses… Les surprises en tout genre… La sensualité et l'érotisme… Les préliminaires et le sexe… La jouissance, l'orgasme… Je veux que tu me sentes. Je veux t'entendre. Je veux que tu sois détendue, ma chérie. Je veux que tu me fasses plus que jamais confiance. Quand je te lèche, j'ai ton goût de femme en chaleur à la bouche. Quand j'ai la tête plongée comme ça entre tes fesses bien écartées, ton parfum intime me monte à la tête et met mes esprits sens dessus dessous. Et pendant que je m'occupe de toi, toi, tu remues ton cul et ça fait que tes fesses se collent à mon visage. Là encore, nous ne faisons qu'un. Nous, nous sommes inséparables. Toi, tu es insatiable.
 
- Tiens, Mysterious. Prépare-moi. Prends-moi !
 

Tu n'en finis pas, plus de soupirer et de gémir. De me parler, de me supplier. Tu me demandes de ne pas, surtout pas arrêter. Comme je te comprends, Candice… Le plaisir est en toi. Le plaisir te va bien. Il y a quelques instants, tu as tendu la main vers le tiroir de ta table de nuit et tu t'es emparée d'un tube. Tu me l'as donné. Et là, c'est avec ce lubrifiant « spécial anal » que je suis en train de te préparer…
 
                   
Can… dice ! Regarde-toi ! Regarde-nous ! Nous ne faisons qu'un et nous sommes sur la même longueur d'onde. Tu as les yeux bandés et tu me fais entièrement confiance. En retour, et même si l'acte est physique, c'est avec mon cœur et mon âme que je te fais l'amour.
 
- Candice… Toi qui aimes te caresser, toi qui adores le plaisir et qui en jouis… Masturbe-toi. Tu vas voir… Ça va être encore… meilleur. Fais-moi confiance.
- Mysterious... Je te fais confiance.
- Jolie rousse… Tu n'as pas besoin de m'en dire plus. J'ai tout compris. Toi… Tu sais que tu es entre de bonnes mains. Ton anus… Un nouveau cadeau que tu me fais… Je suis touché. Rassure-toi. Détends-toi. Je suis doux. Je ne grille pas les étapes. Et tu auras beau dire… Me donner du plaisir, que j'éjacule… C'est important pour toi. Je le sais. Me caresser, me toucher, m'embrasser partout où moi, j'en ai envie… Ça te tient à cœur. Je le sais. Mais là, ma Candice aux émoustillantes poires menues, c'est de toi dont il est question.
 
Pour l'heure, c'est avec de la douceur, petite touche par petite touche, que je m'occupe de toi. Le sexe anal, ce ne doit être que du plaisir. À… mon avis… C'est un tournant dans notre relation. Je dis ça, je ne dis rien. Je suis incapable de prédire, de lire l'avenir. Mais… Plus rien ne sera comme avant, je pense.
Ma langue butine entre ta vulve et ton anus. Elle ne sait pas à quel saint se vouer. Il faut dire que c'est un choix cornélien qui s'offre désormais à moi. Mais… d'un autre côté… Pourquoi choisir ? Moi, je pense que ton vagin et ton anus ne font qu'un et qu'ils sont faits, là, pour te faire jouir. Ô Candice…

La première sodomie

Toujours à quatre pattes, toujours avec le bandeau sur tes yeux, tu dis oui au plaisir, ma chérie. Ton corps t'en donne, du plaisir… et il m'en donne à moi aussi. Car ce n'est que pur plaisir de m'occuper de toi. C'est un plaisir pour moi d'éveiller tes sens, de stimuler toutes les parties de ton anatomie afin que tu parviennes à l'orgasme. Là, c'est une nouvelle façon pour toi d'avoir du plaisir. Et… Je vais te faire un aveu, ma belle. Pour moi aussi, ça va être la première fois. Et je vais aller plus loin, Candice. Je ne veux pas te faire mal. Je ne supporterai pas que ce soit un mauvais souvenir pour toi. Pour moi, c'est l'aboutissement de notre relation.
 
- Candice… Détends-toi. Ne pense à rien. Laisse-toi aller.
 
Je t'entends respirer, jolie rousse. Et même si tu regardes droit devant toi, je me doute que tu retiens ton souffle. C'est normal.
 
- Candice… Ne crains rien. Je suis doux. Savoure…
 
Ma langue butine sur ton anus et le titille. Un anus, c'est fragile et c'est sensible. Ne t'inquiète pas. Et puis… C'est tout pour toi, rien que pour toi.
 
- Candice… N'oublie pas. Ma salive, le lubrifiant… Ma langue, mon doigt… C'est basé sur la confiance et la sensualité, notre relation. Fais-moi confiance.
 
Ma langue abandonne momentanément ton petit trou. Avec précaution, j'enfonce une phalange d'un doigt dans ton intimité top secrète. Là. Dou… ce… ment.
 
- Candice… Caresse-toi. Titille ton clitoris. Donne-moi du plaisir. Je te regarde, jolie rousse. Là. C'est ça. Comme… ça. Jouis. Candice chérie…
 
(…)
Je t'ai touchée, je t'ai caressée. Je t'ai embrassée, je t'ai léchée. Je t'ai titillée, je t'ai pénétrée. Candice… Tu retiens ton souffle. Je le sais et ce, même si tu regardes droit devant toi. Tu es excitée et pourtant, dans le même temps, tu appréhendes. Détends-toi, ma belle. Tu peux me faire confiance. Tu le sais. Je tiens à toi. Tu le sais. Te faire du mal… Ça me répugne, rien que le fait juste d'y penser. Candice… J'aimerais tellement que tu les vois, mes yeux, là, à l'instant t. Moi aussi, j'ai le souffle court, tu sais ? Coupé, même, je dirais. Je suis sur le point de te faire l'amour. Mais cette fois...  C'est…
 
- Candice…
- Mysterious... Qu'est-ce qu'il y a ?
- J'ai envie de toi, jolie rousse. Si fort.
- Mysterious... Moi aussi, j'ai envie de toi. Tu m'excites.
- Couche-toi sur le côté, Candice. Je veux me coller à toi. Je veux être au plus près de toi. N'être rien qu'à toi…
 
(…)
Tu es haletante, tu tentes de reprendre ton souffle. Tu as des petits yeux, tu es épuisée. Nos lèvres s'unissent dans un baiser sensuel, passionné. Limite, amoureux.
 
- Mysterious... Tu viens de me faire jouir. Le sexe est toujours… bon, avec toi. Tu m'as fait aimer le sexe anal. Merci. Merci.

Jouis sur mes petits seins, Mysterious

- Mysterious... Viens… Mes petites poires… Mes deux beaux petits seins… Tu les aimes. Tu les vois… Moi aussi, j'ai envie que tu jouisses. Ton sperme… Je le veux. Jouis sur mes seins. Branle-toi. Pense fort à moi. Fais-toi du bien. À ton tour de jouir. Ché… ri.
 
Je suis sur le cul. Le grain de ta voix, la manière avec laquelle tu as prononcé ce mot… « Chéri »… Ta voix est douce, caressante. Aguicheuse, sensuelle. Toi… Tu as décidé de me mener à ma perte ou quoi ? Tu veux que je m'agenouille et que je me mette à tes pieds, c'est ça ? Dans tous les cas, je te regarde dans les yeux et je ne m'en lasse pas. Je t'ai enlevée le morceau de soie qui t'a empêché de me voir pendant que l'on faisait l'amour et depuis, je ne détache pas mon regard du tien. Ce n'est pas possible, ça. Ta peau a pris des couleurs et elle est en sueur. Quand je te dis que le plaisir te va bien quand tu y dis oui ! Tu t'es repositionnée sur le dos. Tu me regardes et tes mains sont posées sur ton corps. Tu te touches, tu te caresses. Candice… Si tu savais… Tu remets encore un peu plus de l'huile sur le feu. Te voir te comporter comme tu le fais… Ça m'excite. La vue est juste… émoustillante. C'est un spectacle de premier choix que tu mets en scène là et que tu m'offres en cadeau. Je bande de plus belle.
 
- Viens, Mysterious… Jouis… Donne-moi ton sperme.
 
Je retire la seconde capote que j'avais mise pour te sodomiser. Je m'empare de mon érection et je me masturbe. Je ferme les yeux. Je pense fort à toi. Le plaisir monte vite en flèche. Je vais jouir. Je le sais, je le sens. Je me laisse aller. Je gémis. Je m'abandonne. Là. Je me laisse éjaculer sur tes deux jolis petits seins en poires… 

Je… t'aime, Mysterious

Candice… Tu es radieuse. Tu es belle quand tu souris. Tu es belle quand tu jouis. Le plaisir te va bien, définitivement. Et je comprends que tous ces moments qu'on partage te mettent en joie. Quand tu es ainsi, j'essaie de m'imaginer ce que pourrait être un futur en ta compagnie. Malheureusement, je n'ai pas de boule de cristal. Et par conséquent, je suis incapable de prédire l'avenir. C'est peut-être mieux comme ça. Et… d'un autre côté… Ce serait beau de m'endormir dans le même lit que toi, d'ouvrir les yeux le matin ET de me réveiller à tes côtés. Ce serait beau de t'embrasser avant d'aller au boulot ET de te retrouver le soir.
 
- Mysterious...
 
Tu prononces mon pseudo.
 
- Il faut que je te dise quelque chose.
 
Je viens d'éjaculer sur tes deux beaux petits seins après qu'on ait fait l'amour. Je suis tout ouïe.
 
- Regarde-moi. Ne détache ton regard du mien.
 
Oh… non, ma chère lectrice. Tu as quelque chose de visiblement important à me dire vu comment tu me regardes, vu le ton de ta voix. À… mon avis… Là va se dévoiler la véritable Candice…
 
- Mysterious... Ces histoires coquines que tu écris… Notre relation épistolaire… Nos messages… Notre rencontre en vrai… Ces fois où on a fait l'amour… Je me donne à toi. Et toi, tu te donnes à moi. Mysterious... Écoute. Je… Je… Je crois… Je crois que… Je suis tombée amoureuse de toi.

FIN

Auteur : Mysterious


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