1ère rencontre à l'aéroport

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Frissonnez de plaisir avec cette histoire coquine écrite par James H.

Déplacement professionnel

Contexte: après de multiples échanges de courriels, de plus en plus “chauds”, M. imagine la première rencontre avec C...

M. habite près de Cannes, C. Près de Toulouse.


“Tu m’envoies un mail, et rien qu’à te lire, je te sens toute excitée: « Incroyable !!! En arrivant au boulot ce matin, on m’a informée que je devais suivre une formation. Loin d’être enchantée au départ (elles sont souvent inutiles et rasantes), on m’a précisé un détail TRÈS important: celle-ci se déroulera à... Cannes !!!! Incroyable non?! Et tous frais payés: déplacement, hébergement, etc...! ». Tu me dis que tu t’es déjà arrangée pour que le père de tes filles soit disponible pour s’occuper d’elles, durant ton absence de 2,5 jours.


Après que tu m’aies expliqué les détails de cette formation, et surtout la date de celle-ci, nous convenons des faits suivants: je viendrai te chercher à l’aéroport de Nice à ton arrivée, prévue le mercredi à 17h30. Même si le taxi aurait été remboursé, je te l’ai proposé spontanément. Peut-être l’envie de passer le plus de temps possible avec toi...?


Un mois à patienter....

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Arrivée à l'aéroport

Le jour J, enfin !

Il est 17h00 et je suis déjà dans le terminal 2. Je scrute le panneau des arrivées: « vol EZ472, en provenance de Toulouse, arrivée prévue 17:25 ».

Je ne peux m’empêcher de noter que l’administration fait des petites économies sur le vol, tout en organisant une formation à des centaines de kilomètres de chez toi. Je souris.

« En approche ». « Atterri à 17:23 ».


Pour te faire sourire, je me suis habillé en costume sombre, chemise claire, cravate, et j’ai même poussé le « vice » à imprimer et plastifier une pancarte avec ton nom dessus (un vrai chauffeur de grande remise ! Lol). Enfin, presque ton nom. Sur la pancarte est inscrit le pseudo que tu utilises sur le site où on s’est connus.


Les portes s’ouvrent et les passagers du EZ472 commencent à sortir. Je n’ai pas longtemps à attendre, te voilà enfin. Tu portes une jupe légère sombre, des chaussures avec de petits talons, et une veste en jeans couvre tes épaules. Je ne peux distinguer qu’un haut noir un peu décolleté à travers les pans. Tu me cherches du regard mais ne me vois pas de suite. Tes yeux glissent sur moi sans me reconnaître. Logique, tu ne cherches pas un chauffeur avec une pancarte... Je résiste à l’envie de te faire signe et reste impassible. Ton regard balaie une nouvelle fois la foule des « attendants ». Je note une petite moue déçue sur ton visage. Je résiste encore et ne bouge pas. Puis, ton regard se fixe sur ma pancarte, incrédule. Tu regardes au-dessus de celle-ci et là, ton magnifique sourire illumine ton visage. Je fonds littéralement. Nous nous précipitons l’un vers l’autre et nous enlaçons. Je plonge mon regard dans le tien. J’y vois plein de petites étincelles et j’imagine que le mien doit être de même. Je ne me contrôle pas, et je t’embrasse, du bout des lèvres, tout de même inquiet de ta réaction. Mais tu me rends mon baiser. Et de manière passionnée, fougueuse. Je me détends alors et t.embrasse alors de même. Pendant quelques secondes, nous ne sommes plus dans un hall d’aéroport. Il n’y a plus personne, que nous deux qui nous embrassons.


Nous reprenons nos esprits. Un peu pantelants, tous deux également surpris par l’intensité de ce baiser.

Te guidant jusqu’à ma voiture, tu me racontes ton vol, ta peine d’avoir dû « abandonner » tes filles, mais ta joie aussi d’être là, de me rencontrer, enfin. A ce moment-là, je vois ton regard s’allumer. Ton sourire s'étirer. Et je ne peux m’empêcher de t’embrasser à nouveau. Nous continuons notre marche. Arrivés devant la voiture, tu m’arrêtes en me retenant par le bras : « oh ! J’ai failli oublier ! J’ai un cadeau pour toi ! ». Je te regarde, interrogateur, je suis sur le point de te dire que ce n’était pas nécessaire. Mais tu retires ta veste en jean et dessous, j'aperçois ton haut noir. Il ne couvre qu’une de tes épaules. Le FAMEUX T-Shirt !!!

Celui dont tu m’avais parlé, à de si nombreuses reprises. Celui avec une épaule dénudée.

J’éclate de rire. Je vois à ton sourire satisfait que tu es contente de ton petit effet ! Je te serre dans mes bras et t’embrasse à nouveau, te remerciant de cette charmante attention.


Nous quittons l’aéroport. Mais à cette heure là, l’autoroute est congestionnée, je dois rouler lentement. J’en profite pour te citer les noms des villes que nous traversons, Saint Laurent du Var, Cagnes sur Mer. Parfois même, nous devons nous arrêter totalement. Dans ces moments là, j’en profite pour te regarder. Tu n’as pas remis ta veste. Mes yeux remontent de tes jambes, découvertes quasiment à mi-cuisses, maintenant que tu es assise, jusqu’à ta poitrine, que je devine généreuse sous le fin tissu noir. Je note que tu n’as pas mis de soutien-gorge. « J’aime beaucoup ta tenue, très sexy. Et... pas de soutien-gorge...? » avec un ton coquin dans la voix. « Non, un soutien-gorge aurait cassé la ligne, si la bretelle apparaissait sur l’épaule. Et j’ai pensé que cela te plairait ».

« Cela me plait beaucoup. Vraiment beaucoup. Si je ne me retenais pas, je te caresserais... ».

« Mais ne te retiens pas. On est coincés dans ce bouchon de toute façon ».

Ton regard a une étincelle coquine, ton sourire est une invitation.


Je ne me fais pas prier et ma main droite te caresse la joue, descends le long de ton cou, suis la ligne de ton épaule dénudée. Parfois mon regard doit se fixer à nouveau sur la route, pour avancer de 2 mètres. Mais ma main poursuit son exploration, elle. Mes doigts descendent sur ta poitrine, soulignent les courbes de tes seins. Je les presse légèrement. Lorsque je sens un téton dressé entre mes doigts, je le presse également délicatement. « Aurais-tu froid...? » te demande je, taquin. « Oooh non. C’est tout le contraire ! » et tu souris, avec un regard gourmand.

Ma main poursuit sa progression, descend sur ta hanche, puis sur ta cuisse gauche, jusqu’au genou. Puis je remonte. Du bout des doigts je caresse ta peau, si douce. Arrivés à la lisière de ta jupe, ils restent en contact avec ta peau, faisant remonter ta jupe, quasiment à la taille. Tu regardes autour de toi, un peu effrayée de pouvoir être vue ainsi. Mais autour de nous, personne n’y prête attention. De surcroît, hormis un camionneur depuis sa cabine, personne ne saurait voir. Ma main se dirige vers l’intérieur de ta cuisse, ou ta peau est encore plus douce. Imperceptiblement, tu écartes les jambes, pour faciliter mon exploration. Mes doigts remontent, et là je sens la dentelle de ta culotte. Je caresse délicatement ton sexe à travers le tissu. Je sens sa chaleur, et un peu sa moiteur. Je te regarde. Je vois aux ondulations de ta poitrine que ta respiration s’est accélérée. Et que tu as « encore plus froid »...


Un coup de klaxon rageur me tire de ma contemplation. Il n’y a plus aucune voiture devant moi. Je reprends le volant. Il n’y aura plus d’autres occasions, mais ma main viendra caresser subrepticement ta cuisse, de temps en temps.


Arrivés à ton hôtel, je te laisse faire le check-in seule (« je préfère, on sait jamais »). Tu ressors de la réception. Dans cet hôtel, le Ibis de Cannes-Mandelieu aéroport, les chambres sont accessibles par l’extérieur. Tu es à l'étage. Nous empruntons l’escalier et tu passes devant. Mes yeux sont au niveau de tes fesses, qui ondulent d’un côté de l’autre, à chaque marche. Je ne résiste pas à l’envie de glisser ma main sous ta jupe, pour les caresser. Tu portes un string, chaque globe est accessible. Tu ris, me donnes une petite tape gentille sur la main « arrêtes petit coquin ! Sois patient, ma chambre est juste là ». Carte magnétique, la porte s’ouvre. Tu allumes les lumières, range ta valise-cabine sous la petite table. Le store est complètement baissé. Tu me demandes de le relever, juste assez pour laisser passer la lumière du jour déclinant. Pendant ce temps, tu fais un saut dans la salle de bain.

Tu en sors assez vite, et là je te regarde. J’ai presque du mal croire que tu sois vraiment là, devant moi, dans cette chambre d’hôtel. Tu as retiré tes chaussures, tu es pied-nus.

Je souris à nouveau à la vue du T-Shirt. Toi aussi tu me regardes, des pieds à la tête. Tu souris en voyant mon sourire. Tu sais ce qui l’a amené sur mon visage. Je m’approche de toi. Je te serre dans mes bras. Et la nous nous embrassons encore plus fougueusement que nous ne l’avions fait jusque là. Mes mains te caressent le dos, là nuque, puis descendent jusqu’à tes fesses. Je les passent sous la jupe, et la surprise, tu as retirée ton string. J’interromps mon baiser, je te regarde dans les yeux. « Petite coquine ! ». « Oui ! » en riant. Nous nous embrassons à nouveau et tes mains ne restent pas inactives. Avec une dextérité certaine, tu déboutonnes ma chemise. Une fois fait, ta main caresse mon torse, mes épaules. Je relâche mon étreinte pour que tu puisses la faire glisser. Je suis torse nu face à toi. Nous nous embrassons toujours et tu me caresses le dos, le torse. Je sens tes mains découvrir mon corps et les miennes font de même. Ma bouche s'éloigne de la tienne et descends le long de ton cou. De doux baisers juste sous le lobe de ton oreille, que je mordille délicatement. Comme ma main précédemment, je suis la ligne de ton épaule, la couvrant de multiples petits baiser.

Mes mains passent sous ton T-Shirt, je te caresse le dos, puis, de concert, de chaque côté, elle s’en saisissent et le relèvent. Tu lèves les bras, droits au dessus de ta tête, pour me faciliter la tâche. Et la je découvre ta poitrine, lourde, généreuse. Une envie irrépressible de l’embrasser, de la caresser s’empare de moi. Et j’y cède aussitôt. Chaque main sur un de tes seins, ma bouche passant de l’un à l’autre. Je jette un regard à ton visage. Tu as fermés les yeux. Un doux sourire, parfois tressautant, sur tes lèvres. Je remonte jusque à ton cou, étape par étape, baiser après baiser. Puis je te serre dans mes bras. Sentir ton corps chaud, tout contre le mien est un délice.


Mais tu ne veux pas rester inactive. A ton tour, tu déposes de multiples doux baisers sur mon torse. Ta langue et tes lèvres viennent titiller mes tétons, comme la mienne l’a fait peu de temps avant. Mais tu poursuis ta descente. Tes baisers s’approchent de mon nombril, le dépassent. Tu t’étais progressivement accroupie pour ce faire. Maintenant que ton menton a buté contre la boucle de ma ceinture, tu t’agenouilles. Ta tête est exactement au niveau de mon entrejambe. Tu défais la boucle de ma ceinture, déboutonnes mon pantalon, et fait glisser la fermeture à glissière vers le bas. Plus retenu, il glisse jusqu’à mes chevilles. Juste devant ton nez, je me retrouve en boxer, . Une protubérance assez importante déforme le tissu. Tu lèves ton regard vers moi. Un éclat coquin y est plus que jamais présent, et ton sourire irradie. Du bout des doigts, délicatement, tu caresses cette grosseur à travers le tissu. Tu y dépose des petits baisers, tout doux. Des tressaillements me traversent épisodiquement le corps. Mais je te laisse faire. Tes mains se promènent également sur mes fesses, les caressent, les pressent, comme pour les jauger. Puis tes mains viennent se poser sur mes hanches. Délicatement, tu insères deux doigts, de chaque côté, dans l’élastique de mon boxer. Tu l'écartes de ma peau et précautionneusement, tu le fais doucement descendre. Mais la protubérance empêche sa descente. Alors, avec ta main, tu vas chercher « l’obstacle ». Au contact de ta main sur mon sexe, je m’électrise. Mais tu n’en as que faire. L’obstacle maîtrisé, mon boxer vient rejoindre mon pantalon, replié sur mes chevilles. Me voilà nu devant toi.


Tes mains se posent à plat, sur mes cuisses, de chaque côté.. Tu es à genoux devant moi. Nos regards se croisent, mais un obstacle est toujours présent. Mon sexe en érection est dans notre champ de vison. Tout en continuant à plonger ton regard dans le mien, tu te redresses et vient y déposer un baiser sur son extrémité. Je sens tes lèvres, si douces, sur mon gland. Tu quittes mon regard pour l’observer de plus près. Du bout de la langue, tu le lèches, par petits coups. Puis ta langue le parcourt entièrement, de la base à son extrémité. Une de tes mains quitte ma cuisse, et vient caresser mes testicules, délicatement. Ta langue continues ses aller-retours. Elle vient même s’attarder elle aussi sur mes bourses. Puis, elle remonte à nouveau, jusqu’au gland. Tes lèvres s’entrouvrent et le prennent en bouche. Je grogne de plaisir. Sentir ma queue entre les lèvres, dans ta bouche, est divin. Tu vas et viens dessus, tes lèvres serrant parfois un peu plus leur étreinte. Mes bras restés ballants jusque là, mes mains désormais enserrent ta tête, délicatement, pour te guider sur le rythme qui me donne le plus de sensations. Tu te laisses guider. Parfois, j’interromps ton mouvement, lorsque ma queue est au plus profond de ta gorge. Puis je te laisse reprendre à ta guise.

De temps à autre, ton regard croise le mien, toujours aussi coquin. Lorsque tu fais des pauses dans ton va et vient pour que ta langue le goûte à nouveau sur toutes sa longueur, tu me souris. Tu vois le plaisir que tu me procures, et cela semble te réjouir.


Je t’attrapes par les poignets pour t’aider à te relever. Je t’embrasse, passionnément.

Je te regarde droit dans les yeux, et te dit: « c’est très très agréable, Mademoiselle C., mais maintenant, c’est mon tour ». Tu ne dis rien mais acquiesce de la tête, ton ravissant sourire s’étirant un peu plus.


Mes mains trouvent le système d’attache de ta jupe. Je le dénoue, descend la fermeture à glissière, mais je maintiens ta jupe en place. Et au lieu de la laisser glisser le long de tes jambes, j’accompagne sa descente, doucement, m’accroupissant jusqu’à me retrouver à mon tour à genoux devant toi, ton sexe à hauteur de mes yeux. Totalement épilé, je vois la fente qui descend jusqu’entre tes jambes.

Posant mes mains sur tes hanches, je te fais faire un demi-tour sur toi-même. Ce qui m’amène désormais à pouvoir contempler tes fesses, rebondies, attirantes. Je les caresse un moment, puis te fais à nouveau pivoter. Je te regarde. Tu souris. Mais sembles attendre quelque chose. Ne te torturant pas plus longtemps, je viens déposer de doux baiser juste à la jointure de la cuisse au corps.je les fais se rapprocher de ta fente, embrasse sa naissance. Ma langue la parcourt, tout doucement, du bout de ma langue. Je te sens frémir.

Je me redresse. D’un geste j’ouvre le lit. Je te fais allonger sur les draps. Nous sommes désormais totalement nus tous les deux. Chaque parcelle de notre peau en contact avec celle de l’autre,

Tu es allongée, sur le dos, je viens t’embrasser, fougueusement. Ma Cain caresse un de tes seins. La tienne semble chercher mon sexe, mais je me dérobe. « À mon tour, j’ai dit », avec un sourire coquin. Ma bouche reprends son parcours. À nouveau, je m’attarde sur ta poitrine, l’embrassant, la caressant, martyrisant, très délicatement, tes tétons dressés et gonflés de désir. Je poursuis ma descente, ponctuée tout le long de baisers doux.


Me voici à nouveau au niveau de ton aine. De mes mains, je caresse doucement l’intérieur de tes cuisses, si douces, ce qui a pour effet de te faire les écarter. Ma bouche prend le relais sur ta cuisse gauche. Depuis le creux du genou, je remonte, doucement, jusqu’à être devant ton sexe, désormais offert à mes baisers, tes jambes grandes écartées.

Du bout de la langue, je le parcours, de bas en haut. Ses lèvres s’ouvrent comme une fleur qui éclorait. Ma langue l’explore, mes baisers englobent tes lèvres. Je sens un petit bouton durcir, ma langue s’y attarde, je le presse entre mes lèvres, je le suçote. Je sens ta respiration s’accélérer, ton ventre est parfois saisi de spasmes, je regarde ton visage mais tu as fermé les yeux, tout aux sensations que je te procure.

Quand je vois que ta respiration devient de plus en plus saccadée, j’augmente la pression de mes caresses, de mes baisers, je les accélère. Et la, soudainement, tu es prise d’une série de contractions, tu cries de plaisir, tu te cambres, électrisée par les vagues de jouissance qui te traversent...



A suivre...?


Les commentaires

gala à 15:03, le 12 novembre 2020


Quelques minutes d'un passé fabuleux qui effleure.. Vous m'avez transportée.. Etonamment et avec puissance... A cette première rencontre à l'aéroport... Très jolie plume... Merci.. Et n'oubliez pas la suite...

James H à 20:57, le 12 novembre 2020


Merci Beaucoup ! (Sourire rougissant)

James H à 23:26, le 12 novembre 2020


Merci

MrAndromaque à 06:09, le 13 novembre 2020


Superbement écrit, je reste suspendu en attendant la suite...

MissVictoire à 17:49, le 15 novembre 2020


Très belle histoire hâte de lire la suite

doudou1982 à 17:51, le 15 novembre 2020


Hâte de lire la suite

manager46 à 13:59, le 21 novembre 2020


cela fait rêver !

Simcamille à 12:27, le 22 novembre 2020


Tres jolie écriture. On est transporté dans cette histoire. En attente de la suite...

L@ur à 07:31, le 27 novembre 2020


wahouuuuuu j'adore

James H à 18:17, le 29 novembre 2020


Merci à toutes et tous pour vos commentaires bienveillants.

James H à 18:18, le 29 novembre 2020


Du coup, la suite ne devrait pas tarder (en attente de validation par notre chère Lucile)

James H à 23:50, le 27 décembre 2020


La suite est disponible sous le titre « week-end de formation »...

Pitou1979 à 04:02, le 26 janvier 2021


Très bien écrit, je vais surement lire la suite dès demain.

Matin Coquin à 22:17, le 18 août 2021


C'est très bien écrit on s'y croirait


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