Entre adultes consentants

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Histoire coquine — entre adultes consentants

 

Deux semaines déjà depuis le fameux repas de famille où Karine et moi avions… comment dire… sympathisé. « N’ayant pas réussi à extirper le numéro de téléphone de sa mère à Daniela, nous en étions restés là, contraints et forcés pour ma part. Aussi en ce dimanche matin ensoleillé, étant seul, je m’étais programmé une journée célibataire. C’est-à-dire… rien. Laisser la journée se passer, profiter, lézarder et… voir. Tout commence par une légère vibration, celle de mon téléphone. Un brin agacé par cette intrusion dans mon programme, je me saisis du coupable et le déverrouille. Je pousse une exclamation peu distinguée devant le contenu du message.

—    Salut c’est Manuela. Tu as des talents de bricolage ? Maman est embêtée grave avec une fuite de gaz !

Je réponds aussitôt, début d’échanges éclairs…

—    Salut. J’ai des notions oui. Mais comment as-tu eu ce numéro ?
—    Je te rappelle que dans le lot de monstres que je garde le mercredi après-midi il y a ton fils. Tu serais étonné de ce qu’il est prêt à donner pour un gâteau supplémentaire !

Le traître ! Celui-là il ne perd rien pour attendre. Dès qu’il finit sa semaine chez sa mère, on parlera tous les deux.

—    OK je comprends mieux. Grave la fuite ?
—    Maman ne peut plus cuisiner et un réparateur le dimanche c’est hors de prix ! Alors ?
 
Je réfléchis rapidement. Soit j’accepte et mon programme tombe à l’eau… mais je revois Karine. Soit je refuse et je passe un dimanche tranquille… mais je ne revois pas Karine.

—    OK je peux passer faire un saut. C’est où ?
—    SUPER ! À tout de suite alors !!!!

Un dernier SMS pour me donner l’adresse, je vérifie le temps pour y aller, à peine quinze minutes. Bon, le temps de rassembler ce dont je pourrais avoir besoin et je me mets en route. Pendant le trajet, avec un brin de nostalgie, je me remémore notre précédente rencontre et, les détails me revenant à l’esprit, une certaine gêne ne tarde pas à se manifester. Du coup, je regrette presque d’avoir gardé mon short. Un pantalon aurait certainement été plus discret. Histoire de me calmer, je passe alors au déroulé de la procédure de divorce… ce qui fût extrêmement efficace. Arrivé à destination j’avais repris une apparence… décente. Je décide de laisser les outils dans la voiture tant que je n’en saurais pas plus et pars sonner à la porte. La voix de Karine retentit presque aussitôt.

—    Les filles !!! Allez ouvrir j’ai les mains occupées !
-
Je souris en l’imaginant s’affairer en cuisine. Une cavalcade, une porte que l’on débarre et la tête de Manuela qui apparait. Sourire en coin, elle me scanne de la tête aux pieds avant d’ouvrir en grand.

—    Maman, c’est pour toi !

Elle me désigne la direction de la cuisine d’un coup de tête.

—    Vas-y, ne la fais pas attendre je crois que c’est chaud là-bas.
Elle remonte à l’étage sans me laisser le temps de répondre. Un bruit de casserole me guide sur le chemin à prendre, je dépasse l’espace salon-salle à manger et marque un temps d’arrêt pour prendre connaissance des lieux. Grande pièce ouverte en « L », la partie salle à manger occupée par un ensemble de tables et chaises que je devine en bois massif, au mur quelques tableaux de paysages de bords de mer me rappellent les origines bretonnes de Karine. La partie salon s’offre aussi de tels tableaux, mais en plus petits. Au milieu un canapé d’angle bordeaux, une table basse et une télé qui ferait presque penser à une salle de cinéma. C’est clair que ce n’est pas la même superficie que chez moi. À côté de celle-là, ma télé fait figure d’écran de téléphone portable. Quelques bruits d’ustensiles et une odeur de cuisson m’arrachent à ma contemplation, je repars et débouche sur la fameuse cuisine. Là, je prends le temps d’admirer le tableau qui s’offre à moi. Me tournant le dos, affairée sur l’îlot central de la cuisine, une jolie brune habillée d’une robe d’été, ceinte d’un tablier, semble se battre avec un rouleau à pâtisserie et une pâte à tarte. Le tablier met en valeur sa taille fine et fait ressortir ses fesses que j’avais pris tant de plaisir à caresser… ses cheveux coulent dans son dos laissant dépasser une épaule délicate qui est un appel aux baisers… la sensation désagréable d’être à nouveau à l’étroit dans mon short m’extrait de ma contemplation.

—    Bonjour Karine.

Elle sursaute et lâche le fameux rouleau. Elle se retourne et me fixe, étonnée.

—    Bonjour… Mais qu’est-ce que tu fais là ?
—    Ben… Manuela… elle m’a appelé pour un…

Je n’arrive pas à finir ma phrase, un peu gêné de son étonnement. Karine, sourire en coin, ne semble pas en tout cas être mal à l’aise.

—    Et moi elle m’a dit qu’elle invitait un copain à déjeuner. Bravo !
—    Déçue que ça ne soit pas le cas ?
—    N… non… surprise c’est tout.

Ses yeux me passent en revue (ça doit être typiquement féminin ça !) rapidement avant de rajouter.

—    Mais ça me va… je préfère que ce soit toi plutôt qu’un ado boutonneux bourré d’hormones.
—    Qu’est-ce qui te fait dire que ce n’est pas mon cas ?
—    Oui, mais toi au moins tu sais te tenir…
—    Tout dépend de la situation… La dernière fois…

Je laisse ma phrase en suspens et je la vois rougir. Je m’approche lentement jusqu’à me retrouver à moins d’un mètre d’elle. Elle semble nerveuse, mais pas inquiète. Ses deux mains couvertes de farine sont posées derrière elle sur le plan de travail, où elle est appuyée. Nos yeux ne se lâchent pas.

—    La dernière fois… non ça ne me dit rien, dit-elle le plus sérieusement du monde.

Sa voix… son regard, pendant une seconde je suis déstabilisé, aurait-elle oublié ? Mais ce sourire et cette langue gourmande qu’elle se passe sur les lèvres… non elle joue. Alors je m’approche encore plus, ne laissant qu’une dizaine de centimètres entre ses lèvres et les miennes…

—    Comment te faire retrouver la mémoire ?
—    Je ne sais pas… un indice peut-être ?

Ses yeux me dévorent littéralement et je me fais violence pour ne rien précipiter. Surtout après une telle invitation. Je me penche un peu plus sur elle, mes yeux rivés aux siens, guettant un éventuel refus, mais rien ne vient. Alors je parcours les derniers centimètres et nos lèvres se rejoignent. Un soupir monte de sa poitrine pendant ce premier baiser, je m’enhardis un peu plus et ma langue franchit la barrière de ses lèvres pour… trouver sa langue qui venait à ma rencontre. S’en suit un baiser enfiévré, je me plaque contre elle et le plan de travail, pose mes mains sur ses hanches et je sens les siennes me saisir la tête pour me maintenir contre elle. Nous nous dévorons mutuellement pendant un long moment, yeux fermés, ne s’octroyant que quelques millisecondes de trêve pour respirer un peu. Ses mains se saisissent alors de mes fesses fermement et les miennes entreprennent de remonter sa robe. Je trouve sa culotte et la descends rapidement, elle finit de s’en débarrasser d’un petit coup de pied. La saisissant alors par la taille je l’aide à monter sur le plan de travail derrière elle. Elle écarte les jambes et j’y trouve tout naturellement ma place. Je m’écarte un peu d’elle, la regardant avec convoitise, ce dont elle ne se privait pas de faire avec moi. A priori nous avions tous deux la même envie. Elle s’affaire auprès de mon short lorsqu’un bruit de pas dans l’escalier nous surprend. En hâte je m’écarte et Karine saute à bas du plan de travail, me retourne pour faire face aux responsables du vacarme… en l’occurrence ses deux filles. Pendant que la plus jeune passe sans nous décrocher un regard, Manuela fait un détour jusqu’à nous. Il y a ce fameux plan de travail entre nous et, craignant qu’elle le contourne, Karine s’évertue à cacher sa culotte (une belle pièce de dentelle rouge !) avec ses pieds. Étonnée, mais un peu amusée, Manuela la regarde se trémousser, sans se douter de ce qu’elle faisait. Encore que…

—    Ça va maman ?
—    Oui, oui… J’ai des fourmis dans les pieds…
—    Tant que ce n’est que là… répondit Manuela avec un clin d’œil. Enfin, Thierry est là si tu as besoin d’aide non ? Tu feras attention Thierry tu as de la farine au coin de l’œil.

Elle fait demi-tour en nous laissant pantois, tout en continuant.

—    Julie nous invite à déjeuner, on vous abandonne ! À ce soir Maman !!!
 
Seul le claquement de la porte retentit… nous… nous étions scotchés ! À présent seuls dans cette maison, mais interrompu dans notre élan passionnel, je me demande comment relancer notre programme, mais Karine me prend de court… Elle me saisit la main et me tire derrière elle à travers le salon, l’escalier jusqu’à une porte dans le couloir de l’étage. Elle l’ouvre, me propulse à l’intérieur avant de me rejoindre et de fermer derrière elle. Là, adossée à la porte, elle me regarde souriante.

—    Enfin seuls !
—    Tu ne crains pas que les filles reviennent…
—    Pas de danger, je pense que Manuela a compris.
—    Alors, on fait quoi ?
—    A ton idée ? De quoi j’ai envie ?

Avec un tel sous-entendu, je n’ai pas envie de prendre des gants. Mais maintenant que nous ne risquions plus d’être interrompus, je prends le temps de la regarder. Son sourire, la douceur de sa peau contrastant avec sa robe blanche, cette façon qu’elle a de pencher la tête en me regardant. Impossible de lui résister. Le chant des sirènes peut aller se rhabiller, il ne fait pas le poids face à une Bretonne aussi désirable ! Je me rapproche un peu plus d’elle. Je veux sentir son odeur. Un mélange de vanille et de cannelle…, une fragrance sucrée qui finit d’éveiller mon appétit… Ma bouche se referme sur son cou pour sentir la douceur de sa peau, mes mains descendent le long de ses bras, lui procurant des frissons. Je me colle contre elle. Elle sent bien l’effet que son corps a sur moi. Elle penche la tête en arrière, lâche un soupir, son souffle s’accélère, je ne tiens plus…

Je me jette à genoux devant elle, pose mes mains derrière ses jambes et entreprends de les faire remonter lentement. Lorsque j’atteins ses fesses, elle se décolle de la porte pour que je puisse continuer mon ascension. Sa petite robe, qui était remontée en même temps que mes mains, me cache toujours le devant de son corps. Je ne cherche pas à la relever plus que cela et c’est à travers ce pan de tissu que ma bouche vient chercher son intimité. Je la trouve facilement, ma langue dessine alors ses contours et trouve rapidement sa fente que j’essaie de téter à travers le tissu. Les mains de Karine se posent sur ma tête et me caressent les cheveux tandis que le goût de son plaisir commence à me parvenir. Elle écarte les jambes pour me faciliter l’accès à son corps, mais bientôt j’en ai assez de ce tissu et l’envie me prend de m’abreuver directement à la source. Mes mains relèvent alors sa robe et ma bouche se pose sur son sexe déjà bien humide, mélange de ma salive et de son plaisir. Ma langue n’a aucune peine à se frayer un chemin entre ses lèvres intimes pour aller débusquer son petit bouton pourtant bien caché. Karine soupire à chacun de mes assauts et ses mains cherchent à me donner son propre rythme. Je respecte son choix et s’en suit un ballet lent où je passe de son clitoris à l’entrée de sa grotte et vice-versa…
Finalement elle se cambre dans un orgasme tandis que ses doigts se crispent dans mes cheveux. Elle reste ainsi un court moment avant de me tirer vers le haut, me forçant à me redresser et de m’embrasser à pleine bouche. Je suis complètement électrisé. La femme que j’avais eue entre mes bras lors du repas de famille avait cédé place à une véritable tigresse, ce qui n’était pas pour me déplaire. Peut-être était-ce parce qu’elle était chez elle, sur ton territoire… devais-je alors me considérer en tant que proie ? Qu’importe. Si je dois être mangé au final, que ce soit après un corps à corps inoubliable. Je décide donc de la laisser faire. Parfois un peu de soumission peut être excitant. Savoir se laisser faire, guider, tout en confiance… et là j’étais partant.

Je la laisse me repousser vers le lit. Chemin faisant elle me débarrasse de mon T-shirt. Son sourire gourmand ne quitte pas ses lèvres sensuelles. Voulant faire de même avec mon short, elle m’arrête d’un geste. Acculé au bord du lit je tombe en arrière. Devant moi, lentement, Karine fait glisser l’une après l’autre les bretelles de sa robe qui se retrouve à ses pieds. Elle est maintenant entièrement nue, dans une grâce superbe qui me laisse bouche bée. J’ai devant moi l’apparition d’une femme dans toute sa splendeur. Karine sourit devant mon air subjugué et, d’une démarche féline, entreprend de ramper sur moi. Au fur et à mesure de sa progression, ses seins viennent effleurer ma peau, déclenchant chez moi des vagues de frissons. Elle progresse sans me quitter des yeux et moi, comme hypnotisé, je reste paralysé. Arrivée à ma hauteur elle commence à se frotter contre mon short dans lequel je suis un peu (beaucoup !) à l’étroit. Mon membre érigé depuis trop longtemps ne demande qu’à être libéré, mais Ma Belle en a décidé autrement, semble-t-il. Elle joue avec au travers du tissu, le malmène, le fait rouler contre sa fente entre ses cuisses… elle me met au supplice. Elle se redresse suffisamment pour que je me saisisse de ses seins. Tandis que je les malaxe doucement, mes pouces viennent effleurer les pointes érigées. Elle soupire et se frotte davantage contre moi avant de repartir vers le bas, parcourant mon torse de petits baisers. Elle délivre enfin mon sexe qui se dresse tel un porte-étendard, fier et content de se retrouver à l’air libre. S’en saisissant elle fait coulisser sa main de bas en haut assez fermement et je me cambre sous les sensations ressenties. Sa manœuvre fait apparaitre au bout de mon gland une succession de gouttes que Karine s’empresse de lécher, m’arrachant un gémissement de plaisir. Elle s’acharne sur cette partie sensible et je halète de plus en plus en réponse à ses coups de langue experts. La pression et les mouvements de sa main autour de moi, tout cela réuni, je suis sur le point d’exploser. Elle doit le sentir, car elle accélère ses mouvements et dans un râle je m’abandonne dans sa bouche à une jouissance terrible dans de longues saccades qui me laissent comme vidé de toute force. Karine, en experte, n’en perd pas une goutte et, même après coup, continue, plus doucement, à s’occuper de moi par des petits coups de langue.

Finalement, elle remonte au niveau de mon visage et, redressant la tête, je l’embrasse, retrouvant dans sa bouche le goût de mon corps. Un regain d’excitation reprend possession de moi et, glissant une main entre nous, je vais explorer cet endroit sensible situé entre ses jambes. Elle écarte suffisamment les cuisses pour me permettre d’accéder à son sexe que je caresse lentement. Elle ruisselle presque. Je la pénètre alors d’un doigt, sans aucun effort tant l’endroit est humide. Un deuxième doigt rejoint le premier et je décris des petits cercles en elle, lui arrachant de petits grognements. Puis je change de tactique et commence à déplier et replier mes doigts, frottant la partie sensible de sa grotte intime. La paume de ma main appuie sur son clitoris en même temps, lui prodiguant un massage très spécial. Elle se met bientôt à gémir et à m’embrasser sauvagement, cherchant à mordiller mon oreille au passage. D’une main elle se saisit de mon sexe qui avait retrouvé toute sa vigueur et me branle de façon assidue, calquant son rythme sur le mien. Elle abandonne ma bouche et s’écarte légèrement pour me fixer droit dans les yeux. Elle semble comme possédée, sa main me serre de plus en plus et je sens que je suis sur le point de craquer. Abandonnant l’intérieur de son corps, je me concentre alors sur son petit bouton de plaisir accélérant encore la cadence. Elle ouvre la bouche comme pour crier, mais aucun son ne sort. Soudain elle me lâche et cherche à échapper à mon emprise.

—    Non pas comme ça… fais-moi jouir avec ta queue… prends-moi !
 
J’hésite sur la position à prendre, mais elle prend alors les devants. Ouvrant le tiroir de la table de chevet elle en sort un petit emballage d’aluminium qu’elle déchire rapidement. Avec une dextérité exemplaire, elle garnit alors mon membre d’une protection adéquate et me chevauche sans attendre. Me doutant que nous sommes plus que prêts tous deux, je m’enfonce en elle sans peine jusqu’à la garde, la possédant totalement. Elle pousse un petit cri lorsque j’atteins le fond de son corps. Je crains de lui avoir fait mal et tente de me retirer, mais elle pose ses deux mains sur ma poitrine.

—    Non c’est bon… continue… encore…
 
Un peu réticent au début, je fais deux ou trois allers-retours puis, devant le sourire qui se dessine sur son visage, j’augmente alors la mesure et l’intensité de mes mouvements, la pilonnant littéralement. À chaque fois que j’atteins le fond, je sens ses ongles s’incruster davantage dans ma chair, m’excitant encore plus. Je pose mes mains sur ses fesses ; les saisissant fermement, je m’en sers pour la soulever et la faire retomber sur moi. Je suis en feu et je me doute que Karine ne doit pas être en meilleur état. À présent elle a les yeux fermés, la tête en arrière et le dos cambré, elle se laisse faire, entièrement à ma merci. Pris d’une audace subite, je la pénètre sournoisement par-derrière d’un doigt lubrifié par un passage entre ses lèvres intimes. Sous ce nouvel assaut elle pousse un cri et lâche un « oui… encore… » et ondule encore plus. Je m’enhardis alors et un deuxième doigt rejoint le premier. Elle se déchaine contre moi, je la sens se resserrer autour de mon membre, se contracter autour de mes doigts en elle. Cette façon de s’abandonner complètement, cette sensation d’emprise sur elle, de la posséder ainsi des deux côtés, tout ceci me porte au bord de l’explosion et, dans un rugissement et un dernier coup de reins, je la pénètre une dernière fois, me figeant au plus profond d’elle où je répands ma semence en tremblant. Karine n’est pas en reste et, dans la seconde qui suit, lâche un cri qui n’a rien à envier au mien, me lacère la poitrine de ses ongles avant de s’abattre sur moi, me mordant sauvagement à l’épaule. Mon corps devenu hyper sensible s’arque sous cet assaut et je retombe les bras en croix, abandonnant et libérant le corps de Karine de mon emprise.

J’ai chaud, Karine se laisse retomber sur moi, et colle son corps luisant au mien. Je l’enlace de mes bras et, cherchant sa bouche, je l’embrasse délicatement, l’imaginant dans le même état que moi. Elle répond à mon baiser avec la même douceur, je la sens trembler, réminiscences de l’orgasme qui vient de la dévaster. Je suis mort et elle aussi, unis dans une petite mort symbiotique, synchronisée et partagée. Nous restons ainsi un long moment, cherchant à récupérer des forces, avant de rouler sur le côté et de nous séparer, mais de quelques centimètres seulement. Je caresse sa joue délicatement, elle ouvre les yeux et me sourit. Elle passe sa main dans mes cheveux et dérive dans mon dos avant de s’arrêter en bas de celui-ci. Un instant je crains qu’elle ne soit de nouveau d’attaque, mais non. Épuisé, mais heureux je savoure ce moment. Et puis tout à coup je me rappelle le pourquoi de ma visite. Je me redresse un peu inquiet.

—    Au fait… et ta fuite de gaz ?
—    Quelle fuite de gaz ?
 
Nous échangeons un regard interrogateur avant de comprendre qu’une fois de plus nous nous étions fait avoir comme deux bleus. Et c’est d’une même voix que nous nous exclamons.

—    Manuela !

FIN

Avec la collaboration de Chooups et Bichette pour les corrections.


Les commentaires

Vince3469 à 15:59, le 28 mai 2020


Encore un magnifique récit qui donne envi de jouer au plombier ! ^^

Mac Gyver à 19:59, le 28 mai 2020


Ah ben, des fuites pareils, je veux bien aller donner un coup de main... Texte très sympa à lire ;)

Simcamille à 20:13, le 28 mai 2020


Magnifiquement bien écrit. Une très jolie suite du 1er épisode. C'est comme un script de film : on imagine aisément les différentes scènes. Bravo.

Sonate à 01:57, le 30 mai 2020


WoW ! Vous avez un talent fou ! Merci pour ce beau récit!

arthur x à 18:35, le 16 juin 2020


waouh !!!!!!!!!


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