Une surprise dans la chambre d'hôtel

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gUIM, membre Lebisou, a souhaité partager avec vous une nouvelle érotique.

Fin de journée

« Vendredi soir.

Après une journée de travail dans des bureaux presque déserts, Alice se réjouissait de rentrer chez elle se délasser. Une boisson fraiche et un bon bouquin sur sa terrasse voilà une idée qui la réjouissait. Elle sort du bâtiment et commence à marcher pour rentrer chez elle. La fin de journée était magnifique et l’ambiance de la rue lui plaisait pendant les vacances.

Comme à son bureau tout y est plus calme et détendu. N’être pas épuisé à la fin d’une journée de boulot c’est déjà des vacances. Et puis les enfants sont chez ses beaux — parents… Des vacances avant l’heure en somme ! Elle se surprend à ne pas percevoir la petite pointe de tristesse en pensant à ces trois petits amours, elle en a presque honte. Mais le souvenir des soirées en amoureux avec son homme lui allume une boule de chaleur entre son nombril et son pubis. Elle connait bien cette sensation, celle qui petit à petit fait grandir le désir et propage à travers tout son corps une énergie érotique qui la surprend à chaque fois.

Elle passe devant le square vide et sourit à la vue de deux amoureux qui s’embrassent à pleins poumons sur un banc public. La jeune fille lui tourne le dos. Elle a la beauté mate des filles du sud. Son débardeur et son jean taille basse lui font entrevoir la naissance d’un string de dentelle noir qui cache en partie un tatouage élégant, comme une dentelle de peau. Elle se surprend à désirer voir ce motif en entier, sans entraves, juste la peau mate et nue de la jeune fille et son tatouage. Un camion passe et lui bouche la vue, la tirant de sa rêverie.

D’habitude elle passe tout le trajet à repenser aux problèmes stressants auxquels elle doit faire face en tant que DRH. Le kilomètre qui la sépare de son appartement, c’est un peu son sas de décompression. Mais là, le soleil, les vacances, la ville au ralenti, tout cela la berce et la détend… Une sonnerie se fait entendre. Elle n’a jamais su reconnaitre le son de son propre portable et passe son temps à regarder son smartphone pour vérifier si c’est le sien qui a sonné. Un message d’Antoine, son mari, son amoureux depuis 15 ans, le père de ses enfants. Les dernières soirées furent si chaudes, sexuelles, animales, qu’à chaque texto elle frémit comme une midinette.

[RENTRES VITE]

Son cœur s’accélère, elle a envie de lui, de sa bouche, de son corps. Elle a envie de retrouver le goût de sa peau, de sa queue… À cette pensée, en plein soleil, elle sent la brise passer entre ses cuisses, elle se sent humide… Elle entre chez elle, la porte est fermée. Quelle déception, Antoine n’est pas là. Elle enlève ses sandales, pose son sac. Elle trouve la pièce de vie dans la pénombre. 2 chandeliers allumés sont posés sur la table basse. Ils encadrent un paquet en papier de soie rouge. Un mot est posé dessus. Alice souri : Quel romantique cet Antoine ! Elle le connait si bien. Elle avait plutôt envie de quelque chose de plus sauvage à cette heure. Quelque chose de plus direct… « Bon, allons-y pour un repas aux chandelles ». Elle ouvre la petite enveloppe, et le petit souffle d’air que cela induit lui apporte l’odeur de son parfum.

Alice, ce soir tu es à moi, je sais ce que tu penses : encore un plan romantique de ton cher Mari… Détrompe-toi. Ce soir c’est ton amant qui mène le jeu. Si tu acceptes de me suivre et de me faire confiance, tu n’auras de prise sur rien cette nuit. Si tu refuses, je ne t’en voudrais pas et ne te jugerai pas. Si tu acceptes, je te promets que tu t’en souviendras longtemps. Envoie-moi un SMS pour me faire part de ta décision. Et n’ouvre pas le paquet avant. Je t’aime.

« Alors ça ! » Son cœur se mit à battre plus fort ! Son Antoine ? Lui faire un plan comme ça ? Il avait toujours été un bon amant avec juste ce qu’il faut de perversion pour la faire partir comme une folle, mais là c’était nouveau, inconnu, un peu angoissant. Mais super excitant. « Tu n’auras de prise sur rien cette nuit ». Cette phrase lui revint comme un coup de fouet dans son esprit et dans son bas ventre. Il fallait bien qu’elle se rende à l’évidence : elle mouillait. Elle, la femme de pouvoir, la femme libre et fière, elle mouillait de se sentir manipulée. Elle prit peur, mais le désir, l’excitation et surtout la confiance qu’elle avait en son mari lui firent sauter le pas :

[OK mon chéri, ce soir je suis à toi.]

[Ouvre le paquet]

Elle fait glisser le papier de soie et découvre une petite boite noire, un bandeau de soie noir et une pile de vêtements fins.

[Va prendre une douche]

Les textos tombaient, de façon rapide, autoritaires ; ce qui n’était pas son habitude. Gentil et attentionné, Antoine avait l’habitude de signer ses messages avec tendresse. C’était nouveau et troublant, terriblement masculin en fin de compte.

[Il y a un rasoir sur le lavabo. Rase-toi intégralement.]

Alice passait régulièrement chez l’esthéticienne pour une épilation du maillot voire des fois quand elle voulait l’exciter elle se faisait épiler « ticket de métro », mais là il lui demandait quelque chose qu’elle n’avait jamais envisagé. C’était osé, cochon et ça l’électrisa quand sous la douche, les sensations mêlées d’eau chaude sur sa peau, le rasoir tranchant, transformant son pubis en une zone douce et veloutée la firent chavirer. Sans vraiment y penser, sa main descend et 2 doigts caressent son bouton appuyant de plus en plus fort.

[Dépêche-toi]

La sonnerie du smartphone la ramena à la réalité. Nue, elle se dirige vers la table basse et étale la tenue qu’Antoine a prévue. Une robe noire, très courte, en dentelle sur les flancs de haut en bas, avec un joli décolleté. « Elle dû lui couter une fortune ! » Un soutien-gorge ouvragé finement parfaitement à sa taille « C’est dingue moi-même je ne connais pas ma taille de soutif ». Des bas, «des bas… évidemment. Il m’a toujours dit que le porte-jarretelle l’excitait » Un porte-jarretelle noir hyper sexy, « pffff comment ça se met ce truc » « le salaud… Pas de string ni de culotte »

[Je suis prête]

[Ouvre la boite et utilise ce qu’il y a dedans]

Pub

Boules de Geisha

En ouvrant la petite boite, elle vit 2 boules de geisha en inox reliées entre elles par un cordon noir. Elle savait ce que c’était, mais n’avait jamais essayé. Beaucoup de copines et de collègues en portaient et ça l’avait toujours intéressée. Elle les inséra, l’une après l’autre. Elle sent le métal froid entrer en elle facilement vu son état de chaleur intérieure. Elle a tout d’abord peur de les perdre, mais en contractant les muscles de son périnée elle sent le plaisir monter. « Oufff… Je ne risque pas de les perdre… »

[Ça y est mon amour, tu es fou]

[Tu ne te doutes pas à quel point]

[18 rue Alméria, chambre 253, n’oublies pas le bandeau]

Elle prend son trench, ses escarpins noirs, et sort le cœur battant en commandant un taxi. Elle se sent belle et vulgaire à la fois, en passant devant une vitrine elle se regarde dans un miroir. Elle se redécouvre, 40 ans, silhouette féminine avec de jolies courbes, son visage légèrement maquillé lui renvoie une image plutôt flatteuse. Ses escarpins rehaussent le galbe ses seins plutôt menus, mais terriblement sensibles. Le fait d’être habillé comme ça lui permet d’être pour une fois honnête avec elle-même. Oui, c’est une femme mûre et séduisante, terriblement érotique à cet instant.

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Dans le taxi elle eut la sensation d’être reluquée sans cesse par le chauffeur, lui-même un peu intimidé par cette femme hyper sexy. L’adresse indiquée était l’Hôtel Mallard, un établissement 4* plutôt moderne et très classe. En parcourant les quelques mètres qui la séparaient de l’accueil, elle avait l’impression de faire quelque chose d’interdit, d’adultère. Un rendez-vous dans un hôtel, habillé comme… oui elle se dit qu’elle était habillée comme une pute. Une pute de luxe peut être, mais une pute quand même. Et de se savoir sans culotte avec une robe si courte ! Elle ne se reconnaissait pas, mais elle aimait ça. À chaque pas elle sentait les douces vibrations de ses boules de geisha se diffuser dans toute la zone pelvienne. Elle tressaillit. Un groom vint lui enlever son manteau et l’accompagna vers la réception. Les trois hommes installés dans des fauteuils du salon attenant la suivirent du regard. Arrivée devant la chambre elle frappa doucement à la porte. Son smartphone vibra.

[Mets le bandeau sur tes yeux. À tout moment, si tu ne le sens pas dis « rouge » et tout s’arrête]

Alice s’exécute le cœur battant, puis elle entend la porte s’ouvrir, une main lui prend la sienne et la guide. La porte se ferme, la main la lâche. Elle reste là. Le souffle court. Enfin elle entend les pas d’Antoine, il l’admire, profite de ce qu’il voit. Elle se sent à sa merci et ça la rend folle. Il s’approche et lui lie les mains dans le dos. Doucement des caresses partent de ses mollets et remontent par ses hanches jusqu’à son cou. Les mains se baladent sur les courbes délicates de ses seins. Ses aréoles se durcissent. Les caressent sont à la limite des chatouilles. Irrésistiblement bonnes, elles déclenchent des séries de frissons incontrôlables.

Puis les mains se glissent sous l’étoffe fine de la robe et d’un geste lui enlève. Alice coule, elle sent la chaleur envahir son sexe. L’atmosphère est trop érotique, il faut qu’on la fouille qu’on la prenne avant qu’elle n’explose. Mais non. Les mains ne font qu’éviter ce qu’elle veut avec trop d’ardeur. La frustration fait monter son désir comme jamais. Lentement guidée elle est allongée sur un lit et lentement les mains et la langue trace un sillon vers sa chatte gourmande détrempée. Des doigts agiles tirent doucement la ficelle noire. L’une après l’autre, les deux sphères métalliques passent la porte de son vagin. Elle est surprise de la chaleur accumulée par le métal contre la peau de ses cuisses. Un filet de cyprine s’écoule le long de son sillon.

Privée de sa vue les sensations sont décuplées. La langue repart à l’assaut et commence à fouiller autour des grandes lèvres, puis des petites lèvres en évitant soigneusement l’endroit où elle aimerait se toucher.

« Lèche-moi le clitoris mon amour »

« Tout à l’heure »

Alice se raidit, affolée. La voix d’Antoine venait de l’autre bout de la pièce. Les mains et la langue de quelqu’un d’autre étaient en train de la faire jouir comme jamais. Avant qu’elle n’ait pu dire « Rouge » la langue si habile bondit sur son clitoris pendant que 2 doigts la pénétraient. Instantanément elle jouit en gémissant. Puis tout s’enchaina :

  • Les mains d’Antoine lui enlevant son bandeau
  • et la découverte de cette jolie brune à la peau mate et à poitrine parfaite qui lui dévorait la chatte comme une tigresse en la regardant droit dans les yeux.

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Antoine debout juste à côté ne quittait pas Alice des yeux. Le renflement de son pantalon ne cachait qu’à peine son excitation. Mais c’est son regard qui la fit jouir encore une fois. Il lui enleva son lien et Alice se jeta sur la ceinture de son mari se mis à genoux et libéra son membre congestionné de son boxer. Elle le suça comme jamais, avec gourmandise et envie. Soudain une autre bouche vint rejoindre la sienne le long de son sexe. C’était hard. Oui c’est bien le mot, mais aussi tellement bon. Alice eut l’impression que tous les tabous tombaient avec la confiance qu’elle avait en Antoine.

Trop excité Antoine se retira et allongea Alice à même le sol. Il fallait qu’il la prenne maintenant. Elle sentit son gland contre sa vulve qui trempée. Sa queue tressaillait d’impatience et puis enfin la délivrance. Il la prit fort et loin, elle sentait sa queue épaisse frotter contre les parois de son vagin qui se resserrait autour de lui. Puis elle sentit sa partenaire se positionner au-dessus de son visage. Putain comme ça l’excitait. Elle vit sa belle chatte se rapprocher lentement de sa bouche. Alice attrapa les cuisses de sa complice et plongea la bouche dans son sexe. Quel délice et quelle finesse. Pas étonnant qu’Antoine lui ai toujours dit qu’il adorait ça.

La jolie brune se cambrait et gémissait, entre deux coups de reins elle voyait ses jolis seins se balancer. Alice se laissa aller et murmura « Faites ce que vous voulez de moi » toutes ces sensations mêlées lui firent perdre la notion du temps jusqu’à ce qu’un orgasme ravageur se déclenche. Elle eut l’impression de ne plus être que plaisir, en dehors de son corps, mais aussi qu’animalité et pureté en même temps.

Ils passèrent la nuit à explorer leurs corps et leurs fantasmes. Antoine ayant peur que de la jalousie ne s’installe n’avait pas touché Célia la jolie brune. Alice de plus en plus coquine le pris par la bite, et caressa le clitoris de Célia avec son gland Célia mordit l’oreiller. Elle se déhanchait pour qu’il la pénètre.

« Tu es sûre ? » dit Antoine

« Vas-y mon amour fait la jouir comme elle m’a fait jouir »

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Alice se recula et admira le spectacle de son homme, avec une autre, la pointe de jalousie qu’elle ressentit fut vite éteinte quand il planta ses yeux dans les siens. Dieu qu’il était beau, dieu qu’elle était belle. Célia lui fit signe de s’approcher, elle lui lécha de nouveau la chatte entre deux halètements puis se cambra en hurlant de plaisir. Alice prit Antoine en bouche. Elle avait envie de ne pas le lâcher. Il essayait de se contrôler. Elle voulait son sexe, elle voulait être cochonne, elle voulait être salope. Elle alternait coup de langue rapide et succions appuyées tout en lui caressant les couilles. Elle passa une main sur ses fesses et caressa son anus puis revins sur ses couilles en le branlant de son autre main.

 

Ce fut trop pour Antoine qui rendit les armes et explosa à longs traits sur ses seins. Un verre de champagne à la main, la nuit fut longue, entre éclats de rire et gémissements, mais une porte dans la tête d’Alice venait d’être ouverte. L’amour et la confiance qu’elle éprouvait pour son homme en étaient renforcés. Elle se rendait compte qu’elle n’avait rien à envier aux femmes les plus sexy et qu’au font d’elle ça la rendait plus forte.

«La prochaine fois mon Antoine va devoir assurer ! »

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FIN

Un grand merci à ce super auteur amateur. Cette nouvelle érotique est terriblement excitante, vous ne trouvez pas ?


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