Irina

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L'auteur J.F.Boudoul nous fait l'honneur de nous transmettre un extrait de son nouveau livre érotique "Irina".

Résumé

Saint-Pétersbourg, ville des nuits blanches... Un jeune Français, amoureux d'une Parisienne dont le père habite Saint-Pétersbourg, décide de la rejoindre en Russie pour tenter de la séduire. Il croisera par hasard Irina, une prostituée de luxe qui aime les hommes soumis et les dresse...

Livre Irina, Evidence Editions.

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Contrat

Vous pouvez réfléchir, Monsieur, si vous voulez ou pas signer ce contrat. Principalement vous devrez me remettre d’autres histoires comme celle que vous avez laissé tomber ce soir de votre poche, et vous payerez moitié.

Voici les autres règles :

  • Vous mettrez humour, poésie et légèreté dans vos mots.
  • Vous ne mentirez pas.
  • Vous serez mon petit chien, et obéirez.
  • Vous ne me poserez pas de questions dessous.

En échange je vous éviterai l’ennui et la vie monotone. Nous ferons l’amour régulièrement, peu import le lieu. Si je veux ajouter quelque chose j’ai droit et je vais vous informer. Briser une règle = punition. J’aime mettre les hommes comme vous au coin et laisser méditer sur leur action. Si vous acceptez, remettez-moi le contrat signé demain. Irina ********************* Monsieur le français.

Ce contrat m’a plu. Les fautes d’orthographes m’ont fait sourire. À cette époque je n’avais pas encore trente ans, j’étais enfant adopté, avais une fille de cinq ans qui me donnait le sourire un week-end sur deux. Un mono-sourcil qui me donnait un regard intense, disait-on, pourtant quand une fille me regardait je n’osais jamais lui parler. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’évoluer. Ma famille était dans l’immobilier à Paris. Elle ne manquait pas d’argent, mais je n’étais pas logé gratuitement. D’ailleurs j’étais fier de ne rien leur demander. Moi je donnais des leçons de piano, j’avais appris que mon père était mort sur un chantier et je n’ai jamais retrouvé ma mère.

Je suis parti en Russie pour y rencontrer des femmes slaves. Comment ai-je rencontré Irina ? Que s’est-il passé par la suite ? Je vais tout raconter.

[…] Varya, Caroline et Sacha ont monté les marches et m’ont accompagné jusqu’à l’entrée de mon hôtel. Un homme en veste noire attendait au comptoir, accompagné d’une fille en collant léopard, débardeur noir et mains magnifiques - peut-être à cause de la manucure qui lui affinait les doigts. Elle me fit un doux sourire, ce qui fit dire à Varya tout bas « bitch ». J'ai souris, fit la bise à Caroline et à Varya, Sacha me donna un dernier conseil, celui de ne jamais porter de chemise à l’envers. Il montra la sienne qui était à l’endroit. ― Sinon, tu te fais casser la gueule. ― Pourquoi ? Il haussa les épaules et me dit « c’est comme ça ». Il me semblait que c’était surtout les pédés qui se faisaient casser la gueule dans ce pays. Je lui ai serré la main, ils sont repartis. Le gars ressemblait à Poutine. Il a monté un escalier qui menait aux chambres de l’étage. La fille n'avait pas de chaussures, elle marchait en collants sur la moquette rouge. Son débardeur en mousseline laissait deviner les dessous qu’elle portait. Son sourire restait en mémoire, à moins que ce ne fût son rouge-à-lèvres. « Bitch ».

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Je ne sais pas si Varya disait vrai, en tous cas ils ont fait beaucoup de bruit la nuit, tandis que j’étais étendu dans mon grand lit. J’ai entendu l’homme crier et jouir. Il m’avait paru beau et mal rasé. Costume, chemise, cravate, je me disais qu’il faisait des affaires. Qui était-il en vrai ? Bien sûr je ne le savais pas, mais voilà ce qui s’est passé. […]

― OUAF, OUAF.

― Oooh, dit-elle d’une voix de rossignol. Allez y Monsieur. Il a voulu baisser sa culotte.

― Attendez, Monsieur. Écoutez bien ou je vais sévir. Prenez le flacon de parfum. Vaporisez-vous en la truffe. Ôtez ma culotte et léchez-moi comme un chien. Quand vous aurez fait cela je vous autoriserai peut-être à m'enfoncer. Elle a posé la joue sur le drap, a relevé un derrière qu’il trouva très joli, a attendu qu’il obéisse. Il a pris le flacon, a fait une vaporisation le plus loin possible de son nez en fermant les yeux, a toussé.

Elle n’est pas restée sans voix, comme si elle attendait maintenant quelque chose de bon et délicieux. Il a ôté maladroitement la culotte : elle a fait une enjambée mais la culotte est restée coincée. Il a tiré fort, l'a arrachée et l'a jetée. Il a mit le nez où il le devait, la langue.

― Est-ce que … ?

― Non. Un « non » ferme. Alors il a continué sa besogne, ennuyé par le parfum qui lui rentrait dans le nez. Il l’a sentie toucher son sexe : ses jeunes pieds.

― Le méritez-vous ?

― DA !

― Continuez de léchez, et mettez de l’huile. Il a mis de l’huile.

― Mettez le doigt s’il vous plaît, dit-elle agacée en frottant douloureusement l’animal dressé avec ses pieds, le sexe du client. Il a obéi. Elle a fait des mouvements d’avant en arrière. Le doigt du client ne bougeait pas, le petit trou tout chaud d’Irina était bien huilé.

― Mettez de la salive s’il vous plaît. Il a craché, a gamahuché le trou de son cul, a mit de la salive, et le doigt. De la salive, et le doigt. Lorsque ce fut assez :

― Monsieur, prenez votre sexe dans vos mains. Elle a tournée la tête.

― L’avez-vous dans vos mains ? Allez-y Monsieur. Derrière elle, le sexe dans la main, il lui a enfoncé le derrière, doucement d’abord. Elle a serré la couverture blanche. Quelle couleur était son vernis ? De la délicatesse il n’y en avait plus.

― Ne soyez pas poli. Lâchez-vous.

― SUUKA, Mala SUUUKA Ça veut dire « Salope, petite salope ».

Elle ne mouillait généralement pas assez à son goût et préférait la sodomie. Moins douloureux pour elle. Ses fesses ont claqué fort et ça lui a fait mal aux reins. Une fois soulagé le client s’est rhabillé. Costume, chemise, cravate. Elle s’est levée, bien nue, a soufflé les bougies. Au début j’ai cru qu’un mec se faisait torturer par la mafia. Le bruit qu’ils ont fait ne m’a pas dérangé plus que cela. Je me sentais une énergie de folie, l’envie de rencontrer toute la Russie, et faire plus ample connaissance avec Varya et Sacha. Lui un étudiant à l’air bienveillant en chemise de bûcheron, une chaîne en argent autour du cou ; elle une blonde au regard de chat et en baskets. Je me suis endormi d’un sommeil profond. […]

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