Une petite douche matinale

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Découvrez une toute nouvelle histoire sur le blog coquine Lebisou ! Une membre de la communauté, The cute vale, nous livre un récit très érotique !!!

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Récit - Une petite douche matinale

Ce matin, le réveil était en mode « SILENCE ». Je me suis réveillée de moi-même, d’avoir suffisamment dormi. Un petit jus de fruit et je vais direct à la douche. Quitte à être debout, autant être bien réveillée, sinon, je reste à flemmarder tranquillement dans le lit dans une demi-vie qui peut s’apparenter à un demi-sommeil, en clair : la zone. Mais ce n’est pas mal non plus.
Je me retrouve donc sous le jet d’eau chaleureusement tempéré, je suis un peu, comment dirai-je, « frileuse » oui c’est ça, frileuse
On dit que la douche est sensuelle, pour moi c’est le cas. Imaginez cette eau chaude qui ruisselle sur votre corps, qui vous recouvre totalement, qui s’insinue dans les moindres recoins, dans les moindres replis aussi... Qui épouse votre peau comme une deuxième enveloppe de douceur, comme une caresse de mains multiples qui vous effleure toute entière et vous entoure d’une bienveillance extrême.
Vous l’avez compris, j’aime prendre des douches et ce matin j’ai le temps. Donc je m’attarde, je profite, je laisse aller mes mains se promener sur ce terrain qu’elles connaissent par cœur, le gel douche diffuse un doux parfum d’amande et rend encore plus doux le contact de mes mains sur ma peau. Elles glissent sur mes bras et les épaules, elles enveloppent mes seins et effleurent leurs extrémités qui réagissent instantanément. Puis elles partent dans mon dos, reviennent sur les bras, descendent vers le ventre, massage de la petite bouée, descendent un petit peu plus bas, hummmmm, pas si viiite, pas trop viiite, les faire revenir sur le ventre, le dos, les fesses, charnues les fesses.
L’avantage de ce jeu, c’est qu’on envisage assez facilement son issue et je vous assure que ça me met dans de très bonnes conditions.
Je m’adosse tout de suite contre la paroi, je sais que mes jambes, tôt ou tard me feront défaut. Cette fois, je remplace mes mains par la douchette. Mode brouillard sur mes seins, j’aime cette sensation de velours qui enveloppe ma poitrine, ce léger effleurement sur ma gorge qui ne sait apprécier que la douceur pendant les « préliminaires ». Les mamelons sont toujours dressés dans l’attente d’autres attouchements qui arriveront, bientôt, ils le savent.


Mon corps me connait mieux que je ne le connais. Non, je ne lui suis pas inféodée, il ne me commande pas, il sait attendre, il sait comment il doit réagir et arrive toujours à me surprendre dans sa recherche de mon plaisir.
Il a déjà ouvert mes jambes quand j’ai passé la douche en jet concentré, un débit plus direct qui vient s’écraser sur ma toison, qui force, si peu, ma vulve. Mes lèvres ont cédé sans combattre et mon petit bouton si fragile se retrouve éclaboussé, submergé par ce flot qui le masse et le bouscule. Il suffoque, il se noie, il se redresse, veut sortir la tête de l’eau. Je la sens ma perle qui vibre et frissonne au creux de sa coquille de nacre. Et moi, plus haut, je me mords les lèvres. Je suis prise d’une envie folle d’aller secourir mon petit clito, de lui prodiguer un massage qui lui donnerait un rythme encore plus désordonné. Si je pouvais, un bouche-à-bouche, mes lèvres collées à mes lèvres et ma langue qui s’enroulerait autour de lui et lui qui se blottirait dans ma bouche. Non, je rêve, c’est ma main qui assume, c’est mon doigt qui s’enfonce entre ces deux renflements, qui vient frôler, brusquer, heurter le joyau de mon intimité. Mon bourgeon entre en vibration et transmet son tremblement alentour. Mon ventre qui se met à onduler, mes jambes qui flageolent, je le savais.
J’arrête, je ne veux plus la douche, je n’aime plus la douche, je n’aime plus que mes mains qui se perdent sur tout mon corps. Et de toutes façons, je suis suffisamment humide par moi-même.
Ma main droite ne sait plus à quels seins se vouer, à droiiite, à gauuuche ; à gauuuche, à droiiite. Mes doigts attrapent les tétons, les font rouler à en perdre la tête, les pincent, les étirent. L’ère des préliminaires est révolue mes mamelles appellent à la brusquerie de mes gestes et je les pétris et je les malaxe et je retourne à ma chatte où mes doigts vont se perdre au plus profond. Deux puis trois doigts qui vont et viennent à un rythme toujours plus accéléré. Je gémis, je râle. Mon corps frémis, frissonne, je m’affesse oui je me retrouve sur les fesses, les jambes écartées au maximum, les yeux dans le vague, un dernier râle qui n’en finit pas, mes doigts toujours enfoncés dans ma grotte et l’autre main sur mes seins qui les cajole, qui les rassure, qui leur dit que c’est fini et que je ne leur ferai plus jamais mal …
La douche est terminée, je me sèche délicatement, encore toute électrisée par cette jouissance que je me suis donnée.
Je retourne dans ma chambre, je me roule dans la couette, je me rendors.
J’aime ces journées qui n’en finissent pas de commencer.

The cute vale


Les commentaires

Cyra à 12:36, le 13 janvier 2020


Magnifique texte on s y croirait. Bravo et encore !

arthur x à 17:52, le 13 janvier 2020


waouhhh!!!!!!!!!!!!

MrAndromaque à 05:17, le 14 janvier 2020


Joli récit et j'aime cette idée que ton corps t'implore de lui donner du plaisir, c'est beau une femme qui sait mettre des mots sur ses désirs, quelle expérience ça aurait été de t'espionner à te donner du plaisir.... Si l'envie te vient de vouloir partager d'autres récits je suis tout aussi preneur.


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