Comme un tourbillon de mots...

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Un membre de la communauté Lebisou, Bougli25, a joué au jeu "La curiosité est un vilain défaut". Il vous raconte toute sa soirée en détail dans ce récit, Comme un tourbillon de mots qui raisonne dans nos corps.

Cocktail

#epub

Lors d’un cocktail inaugurant une exposition, je la voie, je l’observe, elle glisse doucement d’une pièce à l’autre, un verre à la main, dans sa petite robe noire. Mes yeux sont attirés par elle, elle est magnifique.
Je voudrais tant aller vers elle mais je n’ose pas. Je préfère la contempler. Je ne la connais pas mais elle me fait beaucoup d’effets.
Les regards sont souvent aussi parlant que des mots. Peut-être est-ce la raison de ce qui va suivre !


Elle me regarde aussi, sans doute s’est-elle rendue compte de mon regard appuyé et pleins d’envies. Elle commence même à en jouer ! Un échange sensuel s’installe comme des préliminaires... Il se passe quelque chose c’est certain, le début d’un jeu. Cela devient terriblement excitant.


Ses yeux brillent, son sourire illumine son visage. Elle est troublée, cela se voit. En se dirigeant vers la sortie, elle laisse tomber son carton d’invitation. Sa démarche est voluptueuse et séduisante.
Je reprends mes esprits et fonce ramasser ce qui peut être, je l’espère, un message pour moi. Ma découverte est merveilleuse : son adresse mail et un prénom, Laure. Mon cœur est rempli de joie. Je décide de quitter à mon tour la réception, trop pressé de me retrouver seul pour communiquer avec elle.

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Rencontre virtuelle

#epub

Chez moi, bien installé dans mon canapé, avec un bon verre de Pouilly Fuissé, je me lance et lui poste un premier message.


-    Bonjour Laure c’est moi ! J’ai bien reçu ton message !
-    Quel message ?
-    Ton invitation… tu es vraiment magnifique, très sensuelle, je n’ai vu que toi ce soir lors de ce cocktail.
-    Donne-moi ton prénom
-    JC
-    Tu as vu quoi ? Raconte-moi !
-    Une déesse, avec cette petite robe noire qui laisse apparaitre tes bas. Cela t’allait à ravir. J’ai bien aimé quand tu t’es penché, mes yeux ont plongé dans ton décolleté. Quelle douce provocation quant tu t’es retourné lentement pour que je voie tes fesses à l'air libre sans culotte, prêtes à être prises.
-    Tu me plais pas mal aussi, j’aime les hommes avec une barbe bien taillée, ton style chic et zen, avec ton jean foncé bien taillé et ta chemise légèrement ouverte.
-    Ta poitrine est magnifique ! Et sincèrement, je crois que je ne plongerai pas que mes yeux dans ton décolleté, ma bouche, mes baisers, ma langue sauraient te faire frémir, frissonner. Quand à tes fesses mignonnes, mes mains les rejoindraient bien vite pour une série de caresse qui te mettrait en émoi. Ensuite je pense que l'on sombrerait dans la douce folie de l'amour et de l'union.


-    Tu m'allongerais à même le sol sur le tapis du salon pour que tu puisses me déshabiller.
-    Je descendrai vers ton intimité pour te goûter, te lécher, te dévorer jusqu'à ce que tu me dises d'arrêter, ce que je ne ferais pas forcément...
-    À ce moment là je t'écarterai, je t’enlèverai tes vêtements et te plaquerai en te maintenant les mains au dessus de ta tête. Je te couvrirai alors de tendres bisous sur tout le haut de ton corps. Je passerai ma langue délicatement sur ta peau parfumée et doucement descendrai de plus en plus bas... Mais jusqu'où me laisseras-tu aller JC ?
-    Je pense, belle Laure, que la folie me prendrait et mon corps tout entier à ce moment t'appartiendrait. A cet instant tu jetterais un regard vers moi et je te ferais un petit signe avant de me laisser envahir par toutes les preuves d'amour que tu veux me donner. Ainsi tu descendrais vers mon bâton qui rend fou.


-    Je le caresserai avec mes mains puis avec mes lèvres, ensuite ma langue. Enfin je le mettrai bien au chaud dans ma bouche. La, je commencerai à faire des mouvements circulaire avec ma langue puis je me retirerai lentement et mettrai une petite pression sur ton gland avec mes dents. Je descendrai te lécher le long de ton membre bien dur. Puis je le remettrai au chaud et le ferai rentrer au fond de ma gorge. J'accélèrerai alors le mouvement pour que tu atteignes un plaisir croissant sans atteindre le point de non retour car je veux faire durer le plaisir, encore et encore.
-    Je me délecterai de ce que tu fais et j’essaierai de faire durée ce moment le plus longtemps possible car je sais ce que tu me réserves encore quelques secrets.
Ensuite avant le point de non retour, je te ferai signe d'arrêter et là je t'allongerai sur le dos sur le tapis en écartant tes jambes. Je m'introduirai lentement en toi. Une fois au fond, j'entamerai un long va et viens puissant mais lent. Et toi tu jouirais pour la première fois. Ensuite voyant cela je tenterai une accélération avant de changer de position.


-    Là, je me mettrais à quatre pattes, tu me saisirais par les hanches et tu me prendrais sauvagement comme un étalon en me montrant ta virilité par tes coups de reins. Tu me ferais venir et tu en profiterais pour accélérer et me faire jouir une deuxième fois d’affilé. Malgré mes cris de plaisir, tu continueras, mais je serais obliger d’arrêter ta fougue sans quoi je perdrais connaissance. Tu t’arrêteras enfin et tu contempleras ton œuvre.
-    Tu es ma chose, ma jument, ma Laure et moi j'ai du mal à me contenir, mes bourses me font mal tellement j'ai envie de jouir en toi mais je me dis pas encore, il est trop tôt, tu peux, tu dois encore tenir pour pouvoir lui offrir une ultime jouissance avant la mienne.
Je prends donc mon temps pour contempler mon œuvre, une femme transie par la jouissance. Ha que tu es belle quand tu jouis, que tu es belle tout court.
Là, je décide de te retourner et de t'entreprendre par derrière, mais pas à la sauvage, je te prépare avant. C'est ainsi que mon majeur vient caresser l'orifice de ta petite rose et entre dedans. Tu ressens alors un grand frémissement, ta rose palpite tellement tu aimes cela. Je continue ma progression et après quelques va et vient j’introduis un autre doigt puis un troisième et là je sens que c'est l'extase pour toi. Tu jouis pour une troisième fois.


-    Je te supplie de t'occuper de mes deux orifices en feu... à toi de te débrouiller avec ton sexe bien dur et tes doigts.
-    A ce moment je retire mes doigts et j'approche mon sexe de ta rose déjà ouverte et accueillante.
J'y pose mon dard et commence une lente progression.
Je sais que tu veux que cela aille plus vite mais je fais durer pour notre plus grand plaisir.
Ensuite une fois au fond je commence de long va et vient.
Je passe la main sous ton oreiller et de l'autre je m'occupe de ton minou en feu.
Sous ton oreiller je découvre quelque sextoys et j'en choisi un au touché selon sa taille et sa texture annelée. Je le ramène vers tes lèvres en feu et je commence à l’introduire en même temps que je prends ton très joli petit derrière.
La sensation est fantastique pour tous les deux car seulement une paroi fine sépare mon sexe et le sextoy. Je sens que l'on va venir, car tout palpite en toi ta rosette, ton minou, tu cris, tu te cambres, moi aussi et nous pouvons enfin jouir à l'unisson. Cela dure longtemps avant que nos sens retombent.
Ensuite je me laisse tomber sur le côté et je t'embrasse tendrement. J’ouvre les yeux et dans mon regard tu contemples ma satisfaction et mon plaisir immense qui sans toi n'aurais pas pu être. Je suis comblée et tu le sais. Alors je pose ma tète sur ton torse et me blottis dans tes bras et là je me demande si je rêve....


-    Tu m'as épuisée. Je n'ai plus de force. Donne- moi quelques minutes pour redescendre de mon nuage sur lequel tu m’as envoyé. Mais si tu as faim rien ne t'empêche de prendre un encas que tu déposerais sur ma peau. Regarde dans le frigo ce qu'il y de bon.
-    Je vais au frigo et je rapporte une banane, un kiwi, une bombe de chantilly, mais aussi une bouteille de vin blanc, mon préféré, un Pouilly Fuissé et deux verres ainsi que le pot de nutella. Je poserais le tout sur un petit plateau. Comme tu es allongée sur le dos, je commence à dresser mon assiette sur ton joli corps. Là, je dépose une à une les tranches de banane et kiwi frais. A chaque fois, tu frissonnes. Je commence par ta bouche avec un morceau de kiwi légèrement acidulé.

Tes seins pointent au contact de la banane fraîche. Je descends vers ton ventre en alternant le kiwi et la banane. Puis j'arrive vers ton minou et je le décore de rondelles de kiwi. A ce moment-là, c'est ton petit bouton qui pointe. Le reste c'est pour après ! Là je remonte vers tes lèvres pour commencer mon en cas. Et je me demande si ce sont les fruits ou plutôt toi. Ensuite après un long baiser acidulé je descends.
-    Je me laisse faire en attendant de retrouver la forme.
-    Je rejoins petit à petit le chemin tracé tantôt de kiwis tantôt de bananes. Ce chemin passe par tes tétons saillants, le dessous de ta poitrine, ton petit ventre tout mignon. À chaque fois que je dévore un fruit ton corps tressaille. Puis je descends vers ta grotte, ton jardin secret plus si secret que cela. Et la splendeur, je te sens vibrer, comme un retour à la vie. Il n'y a plus de fruit à déguster ou il ne reste que toi, le meilleur. Alors je nous sers un verre de vin que nous dégustons lentement ensemble.


-    Et la chantilly? Et la nutella?
-    Laisse libre court à ton imagination, Laure.


-    Je pose nos verre de vin et je saisie le pot Nutella. Je plonge mon majeur à l'interieur et le ressort couvert de Nutella doux et tiède. Ce dernier commence à couler doucement et à former un ruban qui s'allonge. Alors je te pousse légèrement sur le torse pour t'allonger sur le dos. Maintenant ce ruban de Nutella est prêt à toucher ta peau et au moment où il va s'étaler, je remonte mon autre main vers ton visage pour te cacher les yeux.

Tu ne voies plus rien. Tu sens le Nutella toucher délicatement ton ventre. A son contact ta peau frémie, tu as même la chair de poule. Je prends mon temps pour tracer des lignes et des courbes sur une grande partie de ton corps. Alors maintenant je te bande les yeux afin d'avoir mes deux mains de libre. Là, je me penche sur toi, tu sens mon souffle effleurer ta peau et tu devines que je me rapproche de plus en plus de ton visage.

Je pose mes lèvres sur les tiennes et je te couvre de tendres baisers. Doucement ma langue descend sur ton cou. Je continue vers ton torse. Ma langue te lèche pour goûter ce nectar de chocolat mélangé à ta peau. Je te lèche doucement. C'est si bon. Je t'embrasse goulument afin que toi aussi tu puisses y gouter en mélangeant nos lèvres et nos langues avec passion. Et je continue à te lécher le torse et ton ventre et je reviens t'embrasser jusqu'a ce qu'il n'y ait plus de Nutella. La chantilly, je la garde pour plus bas. Je te l'appliquerais sur ton sexe. Le contact de la crème chantilly froide sortie du réfrigérateur tu verras c'est simplement grisant surtout quand ma bouche va doucement les engloutir et que ma langue tourne autour de ton sexe pour étaler ce froid qui t'émoustille. J'avale cette chantilly au gout spécial, ce mélange de nos ébats sur ton sexe auquel se rajoute la chantilly...
-    Jusqu'au moment où tu te rends compte que toi aussi tu as réussi à réveiller le soldat endormi. Effectivement le froid de la chantilly et surtout le contact de ta douce langue sur mon corps et sur mon sexe a eu raison de ma virilité. En plus le fait de ne rien voir en rajoute à tout cela. Je suis ta chose et la chantilly que tu rajoutes me fait comme l'effet de petits électrochocs. À ce moment, je me sens t'appartenir. Tu peux faire de moi ce que tu veux.
-    Je te retourne alors sur le ventre en plaçant quelques coussins sous tes abdos de façon à ce que tes fesses bien rondes soient bien révélées. Ainsi je peux me mettre derrière toi et te caresser délicatement. J’allume une bougie de massage et je la renverse avec soin pour laisser couler cette cire juste chaude. Chaque goutte qui touche les rondeurs de ton postérieur te font tressaillir. Maintenant il y en a assez pour que je puisse te masser lentement. Je commence par faire des cercles puis les doigts s’enfoncent dans ta peau pour que tu sentes en toi mon désir de t’avoir rien que pour moi.

Je remonte dans le bas de ton dos puis mes ongles vont mettre à vif ta peau en descendant vers ton entre jambes. J’alterne des mouvements doux et irritants sur ta peau en prenant soin de ne pas dépasser une certaine douleur. Maintenant je passe ma langue chaude sur toutes les parties marquées par mes griffes pour apaiser le feu sur ta peau. Mais aurais-je oublier dans la pénombre ton entre fesse ? Non j’y viens du bout de ma langue...

#epub

Je remonte, en appliquant une certaine pression, de tes bourses vers ton anus. Sous la chaleur de mon souffle et de ma langue je sens bien que tu apprécies. Pense à ce que je vis lorsque tu t’adonnes à la même chose. Tu me laisses faire car tu n’as pas le choix et de toute façon cela te facilite la tâche car tu as trop envie de savoir quels plaisirs je vais pouvoir te donner. Laisse ton imagination prendre le pas sur tes appréhensions. Dis moi ce que tu ressens mon bel amant soumis pour ton plaisir et le mien.


-    Au moment où tu m’as retourné je me suis douté que j'allai découvrir des plaisirs inconnus. J’ai senti que j’allais basculer vers quelque chose de nouveau auquel je ne pourrais plus revenir en arrière. Je suis ton objet, ta chose, et cette sensation nouvelle de cire chaude sur mes fesses a eu un effet extraordinaire sur moi, chaque goutte qui tombait a été un afflux de sang vers mon sexe. Ensuite quand tes mains m’ont caressé, massé, griffé cela m’a grisé. J’ai senti où tu voulais en venir mais sans vraiment le savoir précisément. Quand ta langue a remplacé tes doigts, ta langue douce et ferme à la fois, j’ai ressenti comme des coups d'électricité là où tes ongles ont laissé des traces. Quel plaisir quand ta langue est descendue vers mon orifice, je me suis abandonné, moi ton amant soumis pour que tu me donnes un plaisir inconnu.

Quelle imagination, Laure, dans ta manière de donner du plaisir !


Maintenant ton soumis du moment t'attend pour la suite, fait moi jouir, use de tous tes artifices, donne moi du plaisir, ton plaisir.
-    Laisse toi faire. Fais-moi confiance. Je ne veux que ton plaisir. Je serais aussi délicate que la rosée du matin sur les pétales d'une fleur. Avec douceur, ma langue te caresse de façon circulaire entre tes fesses. Elle se raidie afin de te pénétrer légèrement. Toujours en douceur, afin que ton orifice s'habitue à cette douce chaleur qui rentre en toi, pour que je puisse y mettre mon index.

Je passe tranquillement une phalange et je fais de petits mouvements circulaires pour détendre l'entrée de ta fleur. En quelques instants je sens la pression sur mon doigt diminuer ce qui me permet de m'enfoncer d'avantage. A chaque fois que je progresse je te sens te crisper mais la confiance que tu m’as donnée prend le dessus et tu te décontractes aussitôt. J'ai tout mon temps et c'est là aussi qu'est ce plaisir de la découverte. Maintenant je vais pouvoir mettre aussi mon majeur tellement tu t'es relâché. C'est à peine si j'ai besoin de mettre du lubrifiant.

Tu commences à aimer mes petits mouvements circulaires et mes va et vient délicats. Jamais je ne force le passage, c’est toi qui doucement relâche la pression. Maintenant que tu y as pris goût, je m'enfonce un peu plus jusqu'à trouver ton point P.

Je la sens cette petite boule grosse comme une noisette, et je te la fais découvrir en même temps que moi. Je le sens et toi tu la ressens sûrement pour la première fois. Délicatement je la masse par de tous petits mouvements alternant des ronds, des chatouilles et des pressions plus ou moins longues. Tu sais maintenant où ta prostate se trouve mais tu ne connais pas encore les effets qu'elle va avoir sur toi.

Ne t'inquiètes pas mon beau chevalier, tu vas connaitre une autre façon d'avoir des étoiles plein la tête. Cela fait déjà 5 bonnes minutes que j'ai commencé à jouer avec ton petit cul et je vois bien que tu t'es libéré de tous tes tabous. Ton corps entier frémit sous le dictat de mes doigts. Au fur et à mesure que je sens ton plaisir monter, j'accentue mes mouvements et mes lèvres en profitent pour t'embrasser tendrement. Je sens que ton plaisir est de plus en plus fort, alors pour communier avec toi je pose ma tête sur ton ventre et je te souffle quelques mots pour te libérer et t'encourager.

#epub

Ca y est tu y es presque mon homme, ton corps entier commence à se tendre, tous tes muscles se crispent, ton souffle devient plus court, des sons encore inconnus sortent du plus profond de toi, oui je te sens venir comme toi tu m’as fait venir. Ta tête se redresse, tu te demandes ce qu'il t'arrive et là d'un coup, tu ne fais plus qu'un avec moi. Un orgasme comme jamais tu n'avais eu et auquel tu n’aurais jamais pensé. Je ne bouge plus mes doigts, tu es immobile, complètement relâché, détendu, la tète dans les nuages. Tu ne dis plus un mot car il te faut encore un moment pour retrouver tes esprits.


Doucement je me relève et je viens caler mon corps contre le tien afin de sentir ton souffle chaud. Mes mains caressent tes cheveux, tu ouvres les yeux, ton regard est perdu dans tes pensées.... Que t'arrive t-il ? cette expérience t’as t’elle fait perdre la notion du temps?
Tu tournes doucement la tête, tu me regardes, tes lèvres dessinent alors un sourire radieux. Je me demande si tu n'as pas perdu l'usage de la parole et là un seul mot sort de ta bouche.... .
-    Je tourne doucement la tête et je te regarde mais je ne te vois pas vraiment, tout est flou ! Je sens par contre ta présence, tout l'amour que tu viens de me donner. Effectivement tu m’as fait perdre la notion du temps, un temps court et long à la fois. Car cette jouissance que tu m'as fait découvrir à semblée durer un temps infini. Dans ma tête tout est embrouillé, je ne trouve pas mes mots pour t'exprimer tout mon émoi, tout ce que j'ai ressenti. Le seul mot qui peut sortir de ma bouche c'est merci, merci, merci et encore merci ... mon amour


-    Il est tard, je commence à m’assoupir, Bisous JC
-    Bisous ma Laure


Quel tourbillon sensuel, tous ces mots sont comme des caresses qui raisonnent dans nos corps, notre tête et nous enivrent comme ce bon Pouilly Fuissé !


Bougli25 et Laur14

Ce récit vous a plu ? Pensez à remercier leurs auteurs, Laure14 & Bougli25 !

A votre tour de vivre la même expérience ! Pour cela, il vous suffit de lancer le jeu coquin gratuit "La curiosité est un vilan défaut".
   


JOUER AU JEU


Les commentaires

L@ur à 16:17, le 22 janvier 2019


hummm quel récit mon chéri !! Va falloir venir tout me rconter !

bougli25 à 17:03, le 22 janvier 2019


Pensez à remercier mon amour de l'histoire Laure14 ( Lucile va sûrement corriger)

bougli25 à 08:33, le 27 janvier 2019


Couple 14 c'était un peu le but de le refaire en couple toi et ta tendre, j'espère que le poully fuissé était bien frais mais pas trop

MrAndromaque à 06:28, le 30 janvier 2019


J'adore, je commence à comprendre vous êtes de vrais coquinous, j'ai eu plaisir à lire ce récit, vous nous en conterez d'autres j'espère


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