Opale et Délices

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Découvrez cette histoire très hot écrite par Doucoquindou, membre de la communauté Lebisou.

Séverine

#epub

Des cheveux châtains ondulés, jusqu’aux épaules, une silhouette fine, des seins légers mais ronds, des hanches chaleureuses, un sourire ravageur, un léger maquillage pour des yeux approfondis au mascara… C’est Elle Séverine, petite brune de 25 ans. On la surnomme la « bourreau des cœurs ». Cette fille que l’on croit être une employée respectueuse, une responsable de magasin, n’en est rien. Elle qui fait chavirer la tête des malheureux hommes qui osent la regarder.


Demandez à Vincent, ce client régulier de la boutique. Un jour, alors qu’il achète un dvd pour adulte et que ce dernier ne fonctionne pas, il revint au magasin faire un échange « standard ». Il se présente à la caisse et demande à la vendeuse de lui faire un retour. Ticket de caisse en main, il veut juste un autre dvd, ne demandant même pas le remboursement de son argent. « Séverine est demandée en caisse 1 s’il te plaît », fit la caissière. La dénommée vêtue d’une mini jupe noire, un chemisier blanc serré et ouvert en haut, cheveux lâches et lunettes sur le nez, perchée sur ses hauts talons noirs, arrive et demande ce qui se passe.

« Monsieur veut échanger son dvd qui ne fonctionne pas. »

«Faîtes moi voir votre ticket monsieur ». Sans même dire bonjour, elle prit le ticket des mains de Vincent, sans le regarder.


-   « Les 8 jours sont passés Monsieur, je suis désolé, ce n’est pas possible. »
-   Oui, je sais, dit le client. Mais, à un jour prêt, vous pourriez faire une petite exception...
-   Le magasin n’est pas à moi, je ne peux rien pour vous. Il était préférable de venir plus tôt.
-   C’est que je travaille jusque tard Madame, et je ne pouvais me libérer avant.
-   Et quand comptiez vous regarder ce dvd si vous dîtes travailler jusque tard ?
-   Le dimanche. Pourquoi êtes vous si méprisante ? Je suis un client régulier, qui fait vivre votre magasin. C’est comme cela que l’on traite ses clients ?
-   Le règlement c’est le règlement. Il n’y a pas d’exception qui tienne. Ni même pour un client comme vous… régulier, fit-elle d’un ton hautain.
-   Si c’est ainsi, je vous ferais de la pub moi !, rétorqua Vincent. Donnez moi une solution, alors !
-   Suivez moi dans mon bureau, et arrêtez de crier ainsi, vous allez faire fuir les clients ! grommela t-elle irritée.

Un geste commercial

Le client suivi la responsable vers son bureau au fond du magasin.

« Entrez donc, asseyez-vous nous allons discuter. »

Elle referma la porte derrière elle. Elle passa derrière Vincent, en posant sa main sur son épaule.

« Alors Monsieur monte sur ses grands chevaux, car son dvd de cul ne marche pas. Il veut un autre dvd à la place. Mais qui me dit que vous n’avez pas fait une copie pour les revendre à vos amis pervers ? ».

Elle lui parlait de façon à le faire culpabiliser d’avoir acheter ce genre de dvd. Elle s’approcha de sa tête, lui murmurait à l’oreille:

« Et ta queue ? Elle marche bien ? Tu aimes te l’astiquer le dimanche devant un bon porno ? »

Ne répondant pas aux questions, Vincent ne pouvait rien dire ni rien faire devant de tels propos. La main de cette femme parcouru le torse du client, à travers son t-shirt, pour descendre jusqu’à son bermuda. Elle pinça l’entrejambe de ce dernier, remontant vers son sexe. Elle léchait son oreille tout en faisant tourner le bout de sa langue à l’entrée. D’une main ferme, elle saisit le sexe de Vincent à travers le tissu épais du linge. 

 
-   « Mais que faîtes vous donc ? », demanda-t-il.
-    La direction ne peut rien faire pour vous, mais moi je vous fais un geste commercial… »
-    Mais, je…
-    Chut ! Tu veux du cul dans un film ? Tu l’aura pour de vrai….

Séverine fit descendre la fermeture éclaire du bermuda du client et y glissa sa main à l’intérieur. Elle déboutonna ensuite le bouton et caressait le sexe de l’homme qui commençait à durcir. Elle lui massait les couilles à travers le tissus.

« Lèves ton cul pour que je te pompes ! », ordonna-t-elle. Il s’exécuta. Elle fit descendre aux chevilles de Vincent le linge qui cachait ce sexe turgescent. Il avait une queue rasée, des couilles pleines et lourdes. Elle goba une à une pour en finir avec les deux en bouche. Elle lécha le gland rougi et donnait des petits coups de langue sur le bout. Un filet du liquide séminal restait collé à sa langue. Elle passa un doigt afin de le récolter. De haut en bas et de bas en haut, elle astiquait cette bite dressée. Vincent poussait des petits soubresauts de plaisir. Il se crispait sur sa chaise. Il profitait pour faufiler sa main sous le chemisier transparent de cette garce qui le suçait le pieux comme une déchaînée. Il reçu une clac sur la main.

« Tu ne me touches pas ! Otes tes sales mains, tu vas froisser ma tenue ! J’ai une entreprise à représenter moi ! ».

Séverine décalottait le sexe de Vincent et l’englouti à pleine bouche. Elle aspirait le gland, le suçonnait. Elle paraissait comme une folle sur ce morceau de chair garnie de veines saillantes. Elle branlait le type, qui avait de plus en plus de mal à se contenir.

« Tu aimes ça j’espère mon salop, hein ? Tu aimes regarder les filles pomper des queues, et des mecs les fourrer ? Tu es à la place de l’acteur aujourd’hui. Allez prends bien ton pied ! ».

Elle masturbait avec de plus en plus de vigueur cette bite raidie qui ne tardait pas à exploser. Les couilles de Vincent s’entrechoquaient sous la violence de la branlette. Séverine les tirait vers le bas en les empoignant fermement. Elle pris ensuite la tige de chair à deux mains pour l’engloutir au fond de sa gorge et l’agiter avec sa bouche. « Je ne vais pas tenir longtemps ! », disait Vincent. De plus belle, la jeune femme accélérait les mouvements, en tirant sa langue posée sous le gland rouge vif du client.

« Viens me montrer que le client est roi ! »

Tout en grimaçant de plaisir, l’homme se déversa à grands jets de sperme dans la gorge de Séverine. Elle avalait chaque saccades de semence sans rechigner. Elle ne cessa pas de branler le type, pompant jusque la dernière goutte. Elle lècha les gouttes restantes sur le gland en lançant :

« humm, je vois pourquoi tu voulais un porno. Tes couilles demandaient à être vidées mon salop. »

Elle se releva, redressa sa jupe qui était remontée, se recoiffa. Le client, après s’être remis de ses émotions, se rhabilla. Tout à coup une employée entra dans le bureau sans frapper :


-    Séverine, on te demande en caisse 2.
-    J’arrive, dit-elle en tournant le dos à son client. Euh, Michelle, fais un retour pour le dvd du Monsieur s’il te plaît. Sois il prend un qui fonctionne ou il choisit un autre. Au revoir Monsieur.
-    Au revoir et merci Madame.
-    Mademoiselle, je vous prie, répliqua t-elle.
-    Pardon, mademoiselle, répondit le client encore abasourdi.

Séverine sortit du bureau en laissant Vincent en compagnie de l’employée. Elle alla se rafraîchir la gorge et l’haleine après une telle pompe.

Le stagiaire

Le magasin ferme ses portes, la nuit tombe, il pleut des cordes. La jeune responsable se déchausse et court à sa voiture, pieds nus. Elle est trempée et mouille tout l’intérieur de la voiture. Elle s’essuie à la vas vite. Son chemisier laisse apercevoir ses seins qui pointent sous le froid. Alors qu’elle est prête à démarrer, Benjamin, jeune stagiaire vient toquer à sa fenêtre :


-    Dis Séverine, tu pourrais pas me déposer chez moi s’il te plaît ? Il pleut et je suis à pieds.
-    Allez montes vite !
-    C’est gentil à toi, merci.
-    Si on ne s’entraide pas ou rend service entre collègue, qui le fera ? Sourit-elle d’un air coquin. Tiens, essuies-toi avec ça, dit-elle en lui tendant sa serviette.
-    Merci répondit Ben, comme elle avait l’habitude de l’appeler. Humm, ton parfum est resté sur la serviette.
-    Il te plaît ?
-    Beaucoup…

Elle démarre enfin la voiture et s’en allèrent chez eux. Enfin, pas tout à fait..

Pendant le trajet, Benjamin ne cessait de regarder du coin de l’œil sa ravissante conductrice. Il faut dire qu’elle
était très attirante en temps normal, mais encore plus avec les cheveux mouillées, ses seins pointant sous le tissu blanc de son chemisier et ses cuisses fraîchement humides et ruisselantes. Benjamin a un début d’érection. Il pose sa sacoche sur ses genoux en espérant cacher la bosse qui s'y forme.

-    Tu vas faire à manger en rentrant ? demande Séverine.
-    Oh, je ne sais pas, je ferais des nouilles…
-    Ça te dirais de prendre à manger au Mac Do ?
-    Oui ? Pourquoi pas tiens ! Ça  changera des pâtes, nouilles, pains que je me coltine tous les soirs….
-    Allons y alors !

Arrivés au Mc Drive, ils font leur choix et passe rapidement à la caisse, vu qu’il n’y a pas grand monde sous cette pluie.

-    C’est pour moi, dit Benjamin.
-    Ha non ! Laisses tomber, c’est moi qui ai proposé, donc c’est moi qui paie.
-    Ça ne marche pas comme ça ! Tu est gentille, tu m’emmène au Mac Do, tu me raccompagnes chez moi, je te dois bien cela. N’insiste pas ! Et ne fais pas ta tête de mule, compris ?
-    Ok ok, je capitule, tu as gagné. Mais la prochaine fois c’est moi.

Benjamin sort sa carte pour régler le caissier. Il se penche par-dessus de Séverine pour remettre sa carte au dernier. Il faillit glisser. Il réussi à se retenir de tomber en posant sa main sur la cuisse de la jeune femme.


-    Oups ! Désolé.
-    Ce n’est pas grave, murmura t-elle, comme si qu’elle ne voulait pas que le caissier entende le son de sa voix suave, comme si que ces paroles étaient une invitation réservée à Ben.

Ils partirent en direction de la maison de Benjamin. La pluie a redoublé d’intensité. La visibilité est mauvaise. Arrivés devant l’appartement de son collègue, celui-ci propose à Séverine de rentrer manger avec lui en attendant que la pluie se calme. Elle accepte.

Les deux amis bravent une dernière fois la pluie pour rentrer dans l’immeuble. Arrivé à l’intérieur de l’appartement, Benjamin enlève sa veste et court chercher des serviettes dans la salle de bains afin que son hôte puisse se sécher. Elle tremblote tout en s’essuyant les cheveux, le visage et les jambes.


-    La salle de bains est au fond du couloir, il y a des vêtements propres sur l’étagère. C’est à ma copine, mais elle n’est pas là en ce moment. Fais comme chez toi.
-    Oui, je veux bien. Mais tu es sûre qu’elle ne t’en voudra pas, qu’une autre mette ses habits ?
-    Non, elle n’est pas jalouse. Je lui ai déjà parlé de toi et elle sait que l’on est ami…
-    Si tu le dis. Dans ce cas…

Ben dispose le repas sur la petite table à manger et attend que Séverine arrive pour commencer
à manger. Cette dernière débarque dans la cuisine avec les vêtements de sa copine. Elle est nue sous le linge. Ses seins n’ont cessé de pointer. Etait-ce à cause du froid ? Ils s’assoient  et commencent à manger, à discuter de la journée, jusqu’à arriver à des choses plus personnelles, ... plus intimes. Ben apprend à sa collègue qu’il est un peu délaissé par sa copine en ce moment, peut être à cause de son travail, ou des déplacements fréquents qu’elle fait. C’est une déléguée pharmaceutique, qui a souvent des rendez vous en dehors de la ville et du coup elle dort à l’hôtel parfois pour deux voir trois jours.


-    Et toi ? Parles moi un peu plus de toi ? Tu as un copain ?
-    Moi… Non, personne ne partage mon cœur en ce moment. Je ne tiens pas non plus à m’attacher à quelqu’un… Ce n’est pas dans mes projets, répliqua Séverine.
-    Ha, je comprends. C’est la peur d’être déçue.
-    Peut être… Enfin bon. Je me plais ainsi.

Le repas s’achève. La pluie n’a pas cessée. Les deux amis se partagent une bouteille de vin, dans le canapé du petit salon ; se confient l’un à l’autre, et confidences sur confidences, ils finissent par se rapprocher, à tel point qu’ils laissent leurs sentiments prendre le dessus. Séverine arrache un baiser à Benjamin. Celui-ci ne s’y oppose pas, au contraire, il lui rend avec fougue, il lui prend le visage à pleines mains, leurs langues s’entrechoquent. Leurs souffles chauds et bruyants sont étouffés par la pluie qui s’acharne sur le toit de l’appartement. Les caresses de Ben descendent jusqu’aux hanches de Séverine pour ensuite remonter vers ses seins. Il empoigne ces derniers avec vigueur, les enserre et les embrasse. Il gobe les mamelons, titille du bout de sa langue les tétons raides. La jeune femme ne reste pas de marbre, elle glisse sa main sous le t-shirt de Ben, parcourt son torse à la fois avec ses doigts et sa bouche pulpeuse, aux lèvres rougies par le désir incandescent.

Le short de Benjamin renferme un sexe durci par l’émotion intense qui se dégage de la pièce depuis les minutes passées. Ils s’échangent de longs et vigoureux baisers. Séverine décide de passer aux choses sérieuses, elle descend vers l’entrejambe de son collègue, baisse le chandail qui emprisonne ce pieux de chair qui ne demande qu’à être sucé.

Elle arrache le vêtement pour le laisser s’échoué sur les chevilles de l’homme. Elle réserve le même sort au caleçon. Maintenant nu dans le canapé, Ben se laisse faire. Il a abandonné les lèvres de Séverine depuis peu. Cette dernière prend le pénis d’une main à la fois douce et ferme. De ses ongles, elle chatouille la hampe dressée, jouant à monter et descendre. A chaque passage, c’est un délice pour Ben. Le gland rouge et découvert (Ben est circoncis) luit sous l’effet érotique de la scène, une goutte de liquide séminal dégouline le long de son sexe tendu. La jeune femme se précipite alors pour la cueillir du bout de sa langue toute chaude. Elle se délecte de ce début de nectar. Le paquet de Ben est imposant. Il a une queue charnue de près de 17 cm et des couilles bien lourdes et grosses qui pendent sous la chaleur de leurs corps.


-    Humm, qui aurait dit que tu avais une si belle queue.. Elle est folle ta copine de ne pas y prêter attention ... Mais ce soir c’est moi qui y a droit et je ne vais pas m’en priver… Crois moi.
 
Séverine engloutie ce membre qui lui remplie pleinement la bouche. Ses lèvres, malgré la grosseur de l’engin réussirent à se rejoindre. Elle le lèche de haut en bas et de bas en haut, en descendant aux couilles, qu’elle laissent tomber lourdement après les avoir gobé à leur tour une à une. Elle les malaxe, tire dessus. Ben s’est allongé pour prendre son pied. Il est aux anges, c’est la première fois qu’il ressent cette sensation de bien être. Il ferme les yeux, écoute la pluie qui couvre ses gémissements. La jeune femme commence maintenant des mouvements masturbatoires. Tout d’abord avec sa bouche puis avec ses mains, lorsque celle-ci se fatigue. Les noix de Ben se cognent l’une contre l’autre ; il pousse des râles de plaisir. La salive coule le long du membre.

Tout en pompant le maître de maison, Séverine se doigte la chatte. Elle a commencé par caresser ses lèvres, puis introduit son index à l’intérieur de sa cavité chaude. Vint ensuite un second doigt qui pénètre cette grotte devenue humide ruissellant déjà de sa liqueur. Elle se leve, cessant de branler l’homme, se dénude et tourne le dos à ce dernier.

En deux temps trois mouvement, le temps de se redresser, Ben est déjà à l’intérieur de cette jeune femme. Elle s’est empalée sur le gros mandrin de son collègue qu’elle côtoie depuis seulement 1 mois. La bite de celui-ci glisse comme un couteau dans une motte de beurre. Il faut dire que Séverine mouille bien plus qu’il n’en faut. Sa cyprine coule le long de ses cuisses.


Elle sautille pour se pénétrer elle-même, les jambes de Benjamin quittent le sol tellement les mouvements sont importants. La collègue se débarrasse de son haut de pyjama, pour laisser libre ses seins. Le jeune homme, serre à tour de rôle la poitrine et les hanches de sa cavalière, montée en position d’Andromaque, sur sa queue. Il la tire vers lui pour des pénétrations plus profondes. Les crépitements des deux corps qui s’entrechoquent se font entendre.


-    Humm oui, vas y, fourres moi la chatte ! J’adore ta grosse bite !

Sous les ordres de la responsable, Benjamin lui ramone la moule. Les lèvres de son sexe s’ouvrent et se referment tout en laissant s’échapper des filets de mouille. Elle chevauche son étalon en lui empoignant les couilles qui tapent contre son clitoris. Elle passe ses mains dans ses cheveux tellement les coups de burins
sont bons.

Séverine se releve pour faire face à Ben. Elle s’assit sur cette queue turgescente, maculé de liqueur des deux corps en ébullition. La sueur perle sur leurs visages. D’une traite, sans ménagement, Séverine s’empale. Elle donne à son tour des coups de reins, prenant appui sur les épaules et frottant sa minette sur le pubis de son amant.

Les lèvres charnues du sexe de cette femme gonflent au fur et à mesure des mouvements. Leur désir grandit, ile ne pensent plus à rien. Il n’y a plus de notions de collègue, ni de responsable, ni de mari et femme ; on aurait dit deux célibataires qui fusionnent pour la première fois après un long moment sans sexe. Des mots crus sortent de la bouche de Séverine :


-    Tu aimes ça ? Baises moi, bien. Fourres ta responsable !
-    Oui ! Tu me fais fantasmer depuis le premier jour que je t’ai vu…

Après des étreintes de plus en plus chauds, Séverine se relève à nouveau pour prendre place sur le canapé souillé de leurs sueurs. Elle se mit à quatre pattes sur le fauteuil, la croupe tournée vers Benjamin. Elle veut qu’il la prenne en levrette.


-    Viens me buriner par derrière mon cochon ! Je sais que tu en crève d’envie ! Bourres moi l’arrière train comme tu le fais avec ta copine. Sois sauvage avec moi !

Ben pris sa queue et la plaça à l’entrée du sexe béant de Séverine. D’un coup sec, sans crier garde, il lui enfila son gros pieux tout gluant de cyprine. Elle poussa un gémissement mêlant à la fois douleur et satisfaction. Elle se faisait culbuter par derrière et tous deux aimaient cela. Ben empoigna ses seins de sa main gauche, les malaxa, les écrasa. De sa main droite, il lui claqua les fesses ; d’abord amicalement, puis avec la montée du désir, le cul de Séverine devenait de plus en plus rouge, sous les coups.


-    Tu aimes ça ? Tu aimes les fessées j’espère !
-    Oui oui ! J’aime me faire fouettais le cul ! Vas-y fais de moi ta chienne ! Je mérite une bonne fessée !
-    Tiens prends ça !, fit Ben en frappant ce cul qui s’offrait à lui, tout en ne cessant pas de fourrer sa grosse bite dans la chatte humide de sa maîtresse d’un soir.

Séverine s’empare tant bien que mal des couilles du jeune homme, d’une main en se tenant en équilibre de l’autre. Elle les malaxe, tire dessus. Ce qui a le don d’exciter encore plus Benjamin. Il a du mal à se contenir, il ne vas pas tarder à craquer, la jeune amante aussi. Les vas et viens se font de plus en plus rapides et fougueux. Les coups de bites font claquer le dessous des cuisses de Séverine : « smack smack… ».

Les boules de l’homme frappent fort le périnée de la jeune femme. Le visage de Ben est devenu rouge à force de se contenir, les veines de son front ressortent, il grimaçe, il ne tarde plus, la délivrance est proche. Quelques coups de burins et c’est l’explosion imminente….


-    Je crois que je ne vais plus tenir longtemps !
-    Vas y encore quelques coups dans ma chatte et je vais jouir ! Retiens toi encore !

Benjamin tentait de se retenir, il pilonnait dans un dernier effort sa responsable.

-    Ho oui ! Oui ! Oui ! Je jouis ! s’écrie la jeune femme. Dans un râle de plaisir, son sexe se contracte autour de la queue de l’homme.
-    Moi aussi, je vais venir ! Mon dieu, ça monte ! A ces mots, Séverine sortit du canapé pour se mettre à genoux devant Ben qui se déchargea de toute sa semence sur son visage, ses seins, ses cheveux. Des jets longs et épais de sperme giclaient du pénis de l’homme, pour arroser cette brune torride. Le nectar dégouline jusqu’aux hanches, sur les cuisses de la jeune femme.
-    Hummm… Et ben dis donc ! Tu décharge toujours autant ? Ou ça faisait longtemps que tu n'as pas baisé ? En tout cas, chapeau ! Belle bite, un beau paquet bien garni, une belle montée de la sauce.. Excellent !
-    Merci, dit-il du coin des lèvres.

Les deux amants restèrent l’un contre l’autre un moment avant de partir à la salle de bains.
Dehors, la pluie a cessé. Séverine décide alors de rentrer chez elle. Elle laisse son étalon.


-    A Mardi, lui dit-elle.
-    Oui, bon week end. Rentres bien, à Mardi.

Tout au long du trajet, Séverine repensait à cette expérience qu’elle venait de vivre. S’était-elle attachée à cet homme ? Aussi vite que cela ? Non, pas Elle. Ce n’est pas dans sa nature…

Arrivé chez elle, la jeune femme se dévêtit et alla se coucher, épuisée par ces moment d’étreintes torrides et endiablés qu’elle venait de passer et qu’elle ne regrettait pas le moins du monde. Elle s’endormit, nue, seule dans son grand lit.

Une nouvelle rencontre

Le lendemain, levé de bonne heure pour faire son jogging du week end, tenue de circonstance. Leggins et débardeur, la voilà courant le long du parc boisé. Ecouteurs aux oreilles, foulées sur foulées, elle façonne son corps svelte. Elle croise d’autres personnes comme elle, femmes, hommes, seuls ou en couple. La tête perdue dans ses pensées, elle ne voit pas le type faisant des exercices devant elle. Elle le percute, et manquait de tomber si celui-ci ne l’avait pas retenu par les hanches.


-    « Attention madame ! Vous alliez vous faire mal, dit-il en souriant.
-    Ho, je suis désolée. Merci de m’avoir rattrapé à temps.
-    Je vous ai vu venir au loin, vous sembliez être ailleurs. Et comment ne pas remarquer une si belle sportive, fit-il d’un ton aguicheur. Il faut dire que l’inconnu était bel homme, d’une taille fine mais aux muscles tressés. Crane rasé et brillant sous le soleil et la sueur. Il avait un leggin’s lui collant au corps et un débardeur qui faisait ressortir on torse bombé et ses abdos se dessinaient également.
-    Je vous remercie du compliment, rougit Séverine. Bon, je vous laisse et désolée encore de vous avoir bousculé…
-    C’est moi qui suis désolé pour vous.
-    Ha ? Et pourquoi donc ?
-    Hé bien, vous m’avez bousculé, vous alliez vous torde la cheville, même peut être casser le
poignet, et voir pire, vous blesser au visage, ce serait dommage de martyrisé une si belle bouille telle la vôtre…. Donc pour me remercier, acceptez donc mon invitation à diner…
-    Ma parole, vous êtes cru vous ! Vous ne mâchez pas vos mots ! Pour un plan drague, il y a mieux !
-    Vous me devez bien cela.
-    Ha bon ? Hé ben j’aurais préférer embrasser le sol plutôt que de vous « devoir » quelque chose en retour de votre secours. Vous vous prenez pour mon héros ma parole… disait-elle sur un ton ironique et un peu méprisant.
-    Ha, laissez tomber. Passez votre chemin. C’était juste courtois de ma part.

Séverine remit ses écouteurs et tourna le dos à l’homme, sautillait sur place comme pour se préparer à courir au top départ.


-    Ce soir, 19h00 au Bleu Angel, ne soyez pas en retard.
-    Quoi ?, répondit l’homme. Ha ha ha, rigolait-il. Oui, j’y serais… euh… C’est quoi votre nom ?

Sans même lui répondre, Séverine détala, foulées par-dessus foulées, en souriant de façon mesquine. Elle courut pendant encore une dizaine de minutes puis rentra chez elle. Elle se doucha et partie en ville s’acheter des vêtements pour son rendez vous de ce soir. Elle passait la grande partie de sa journée hors de chez elle entre les boutiques, l’esthéticienne et le coiffeur.


Il est 14h00 lorsqu’elle décide de faire un petit somme pour se reposer afin d’être de bonne compagnie pour la soirée avec cet inconnu.

18H00, elle commence à se préparer. Elle se pomponne, telle une jeune fille qui va à son premier rendez vous amoureux. En soutien gorge, string et collants, elle se contemple dans le miroir, comme pour chasser le moindre petit défaut. Elle enfile sa longue robe rouge achetée le matin même, puis chausse ses talons aiguilles noirs.

18h45, derniers préparatifs, maquillage au point, rouge à lèvre d’un rose discret, son mascara fait ressortir la profondeur de ses yeux.

19h15, elle arrive et cherche des yeux l’homme qui l’avait invité. Elle ne le trouve pas, se retourne sur elle-même ; puis soudain, lorsqu’elle s’apprêtait à partir, en se tournant les talons, elle le voit, assis à une table dans un coin du restaurant. Il lui fait signe d’un sourire.


-    Vous aviez cru à un lapin ?, rigolait-il.
-    Non, mais bon, on sait jamais. Il y a des gens qui vous draguent en pleine rue, vous sortent tout un tas de baratin, essaient de vous impressionner et au final se dégonfle.
-    Moi, je ne suis pas de cette sorte. Galamment, il se lève et tire la chaise pour que son invitée s’assoie.
-    Merci, fit-elle.

Le serveur arrive et prend leurs commandes.


-    Que puis-je vous servir ?
-    Votre meilleur vin s’il vous plaît.
-    Nous avons un Cune Imperial Gran Reserva, un excellent vin à la fois intense, propre, équilibré et élégant de par sa robe.
-    Il nous conviendra, dit l’inconnu.
-    En entrée ?
-    Pour moi pas d’entrée, répondit Séverine.
-    Ha ? fit l’homme intrigué.
-    Oui, je surveille ma ligne, le soir c’est très léger.
-    D’accord. Hé bien, choisissez un plat chaud dans ce cas.
-    Humm, je vais gouter à votre magret de canard accompagné de sa sauce aux champignons et sa salade s’il vous plaît.
-    Et moi, je prendrais le pavé d’autruche accompagné de frites je vous prie.
-    Comme vous voudrez. Je prépare votre commande.

En attendant que leurs plats arrivent, les deux hôtes entament une discussion sur ce qui s’est passé le matin. Séverine charriait l’homme à cause de sa façon de l’aborder. L’ambiance était détendue et bonne enfant.


-    Vous ne m’avez toujours pas dit votre nom.
-    Je vous dirais le mien si je savais le vôtre. Et je ne vous connais pas ; parlez moi de vous.
-    Vous alors ! Je me prénomme Frantz. Je suis bâtonnier à la cours de justice de Saint Pierre. J’ai 30 ans, célibataire endurci. Je vis seul dans ma maison au Tampon.
-    Comment ça se fait qu’un homme comme vous, ayant beaucoup d’argent et qui plus est, n’est pas si vilain garçon, soyez seul ? Vous êtes difficile à vivre ?, se moquait gentiment Séverine.
-    Non je ne pense pas, mais je n’ai jamais cherché à rencontrer des femmes. Mon travail prend de mon temps, c’est pour cela, que je m’évade en faisant du sport, quand j’en ai l’occasion… Et vous ? On parle de moi depuis tout à l’heure, mais je ne connais de vous que vos hanches, si je puis me permettre…
-    C’est la seule partie de moi qui vous a marqué ?
-    Non.
-    Je suis responsable caisse coffre à Agora Epicéa.
-    Ha oui, je connais, il m’arrive de passer boire un café, me détendre après une affaire au tribunal.
-    Tiens ? Je ne vous ai pourtant jamais vu.
-    Je suis discret. En quoi consiste votre rôle de responsable caisse ?
-    Je gère les caissières, je m’occupe de leur planning. Pour le coffre, je comptabilise les ventes journalières. Je fais le lien entre la hiérarchie, les managers et les employés.
-    Vous êtes un peu une GRH….
-    Oui si on peut dire…
-    Vos employés, si on peut le dire ainsi, doivent vous craindre, avec votre caractère bien trempé. Vous les gérer d’une main de fer.
-    N’exagérons rien.
-    Comment dois-je vous appeler ?
-    Ha ! Où ai-je la tête. Séverine, je m’en excuse.
-    Séverine… J’aime bien ce prénom. Il est à la fois tendre et dure.
-    Vous êtes poète ou quoi ?
-    Non. Je voulais dire qu’il est tendre, car « Sève », comme la sève des arbres, sa couleur fait penser au miel qui est doux.
-    Et pourquoi il est dure ?
-    Dure, car sa sonorité finale en « ine », est roque, aigüe. C’est pour ça que ce prénom je le trouve beau, car il est à la fois ange et démon.
-    Ben dis donc je n’avais pas vu tout ça dans mon prénom. Mais j’en suis flattée.

Le serveur arrive avec le vin.
-    Portons un toast !
-    A quoi ?
-    A notre « rencontre incongrue »
-    Ça me plaît bien, fit –elle d’un sourire ravageur.
-    J’ai omis de vous dire que vous êtes sublime dans votre robe rouge. La lumière du restaurant fait ressortir encore plus la profondeur de vos yeux, et votre mascara, une vraie merveille…
-    C’est gentil à vous. Vous êtes pas mal non plus.
-    Tchin !
-    Tchin !

Arrive le repas.
-    Magret de canard à sa sauce champignon et Pavé d’autruche. Bon appétit Monsieur Dame.
-    Merci, répondit Frantz.
-    Merci. Et bon appétit à vous Frantz…
-    Je vous remercie. Et pareillement.

La soirée en tête à tête se déroule bien. Le dîner est bon, le vin excellent, nos convives se régalent, discutent, se découvrent, et les liens se tissent, des points communs se font savoir. Frantz aime faire rire Séverine. Elle est transportée ailleurs quand son bel inconnu lui parle de ses voyages qu’il a fait avant de devenir bâtonnier. Paris, Londres, les Iles Canaris, l’Australie. Elle aimerait tant voyager. En racontant les péripéties qu’il lui est arrivé, Frantz fait tellement rigoler Séverine, que celle-ci glissait sur sa chaise. Le tissu de sa robe ne lui aidait pas non plus à rester assise convenablement. En s’arrangeant, elle heurte les jambes de Frantz avec ses pieds.


-    Ho, pardon, dit-il avant de rigoler.
-    Non, c’est moi, je vous ai cogné.
-    Oui, c’est vrai, mais je ne peux m’empêcher de dire « pardon », ou « désolé », même quand ce n’est pas de ma faute..
   
Le serveur vient voir si tout se passe bien. Ils avaient fini de manger. Celui-ci leur propose un dessert. Ils se partageront finalement une coupe glacée que le garçon ne tarde pas à ramener.
-    Vas y, sers toi, dit Frantz. Honneur aux dames !
-    Demoiselle s’il te plaît !
-    Ha pardon ! Demoiselle !, plaisantait-il.

Séverine aimait qu’on l’appelle ainsi, elle cherchait toujours à se faire considérer comme une
jeune femme, surtout quand on ne la connaissait pas… En mangeant, Séverine laissait par mégarde une tâche de glace sur le coin de sa lèvre. Frantz le remarquait. Il essuya de son index.
-    Attends, tu en as sur le recoin de la bouche.
-    Merci.   

En passant son doigt sur sa bouche, il y eu comme une étincelle dans leurs yeux, un coup de
massue. L’homme profite alors d’être sur la même longueur d’ondes et caresse la joue de la jeune femme, qui se laisse faire un moment, puis pose subitement sa main sur celle de l’homme, comme pour l’enlever. Mais non, elle enserre la main dans la sienne et lui sourit. Avaient-ils compris tous les deux la même chose ? Frantz quitte la table pour allez régler l’addition. Séverine attend son retour à l’entrée du restaurant.
   
Ils marchent le long de la plage. Il fait bon, la brise est douce. Ils se tiennent maintenant la main. Ce ne sont plus les deux inconnus du matin. Dans un coin sans lumière, ils s’embrassèrent fougueusement. Leurs lèvres s’aspiraient mutuellement. La bouche de Frantz engloutissait celle de la femme. On aurait dit, qu’il n’avait pas depuis très longtemps, posé sa bouche sur celle d’une femme. Il lui serrait le visage dans ses mains larges et rassurantes à la fois. Il caressait le coup de Séverine, descendit vers les hanches, pour finir sous la robe de la jeune femme, par la fente du tissu. Il passa les mains derrière, sentait du bout des doigts le string à dentelles et les collants. Séverine, le souffle saccadé, chaud et haletant, frémissait de désir. Elle avait la soie des bras qui s’irisait à chaque baiser. Elle ne restait pas de marbre, elle passe sa main à travers la chemise de l’homme, sentait les abdos saillants, le torse dur aux tétons fins. Elle faisait glisser sa main sur le braguette de Frantz. Une bosse s’était déjà former. Elle défit le zip, pour masser la bite du mec à travers le caleçon devenu serré. Il bandait dur.


-    J’ai envie de toi. On va chez moi ?, demandait Frantz
-    Moi aussi, j’ai envie. Mais je n’ai pas le courage d’attendre. Allons dans la voiture.

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Dans la voiture de Frantz

Ils retournèrent à tout hâte à leur voiture respective et allèrent se garer sur un parking désert où
personne ne fréquentait les lieux le soir. Un endroit calme et à l’abri des regards. A peine le moteur coupé, Frantz fit signe à Séverine de rentrer dans sa voiture, une Audi Q5, noire aux vitre teintées plus spacieuse que la sienne. Ils s’installèrent sur la banquette arrière.

Ils s’embrassèrent avec une fougue plus différente que celle d’il y a cinq minutes. Oui, celle-ci était plus puissante, plus forte, plus torride. Ils arrachèrent les vêtements de l’un et l’autre. Frantz se retour en moins de deux, nu comme un verre. Séverine était encore en string, mais plus pour longtemps. Frantz la fit s’assoir, lui écarta les jambes tout en ne quittant pas ses lèvres. Leurs étreintes étaient de plus de plus endiablées. « Clic clic clic » et de plus en plus rapides se faisaient entendre. La pluie faisait son arrivée. Selon avait don d’exciter Séverine. Frantz descendit vers l’entrejambe pour délivrer le sexe humide de la jeune femme. Surprise, elle ne portait plus de string depuis bien avant de rentrer dans l’auto.

Le membre turgescent de son partenaire prenait alors de plus en plus de volume. Séverine était ahurie par cette bite. Elle n’était pas épaisse comme celui de Benjamin, ni moyen comme le client du magasin. Non, la sienne était fine, mais très longue. Elle faisait dans les 22cm, pour un diamètre de 3.5cm. Ses couilles étaient moins imposantes que les autre hommes qu’elle avait connu, mais et étaient collées près de son corps. L’homme fit assoir la jeune femme, se plaça devant elle, il mit son gland à l’entrée de son minou. Il l’embrasse en lui prenant la tête dans la main droite. D’un coup sec, sans crier garde, il s’enfonça à l’intérieur d’elle. Elle eu un soubresaut, mais il lui retenait grâce à s amain gauche posée sur les hanche de la belle.

Elle lui tenait aussi par les hanches. Frantz sortit et rentra à nouveau, aussi violent. Cela ne semblait pas déplaire à Séverine, qui se mordillait les lèvres, et poussait des cris de plaisir :

« Humm oui ! Tu fais ton salop ! Baises moi bien avec ta bite ! »

« Oui, je vais te la mettre au fond. »

A ces mots, Frantz entrait en elle de plus en plus, centimètre après centimètre, il pilonnait cette chatte. Il ne manque plus beaucoup de chair pour que leurs corps entrent en contact.

Séverine grimace, ferme les yeux, mord de plus en plus ses lèvres. Elle transfère sa douleur sur Frantz en lui égratignant le dos. Elle saignerait presque l’homme à force d’enfoncer ses griffes dans ses épaules. Voilà que Frantz est collé à elle, il est au fond, sa longue queue a transpercer la belle.

« Ho mon salop ! Tu ne ménage pas mon antre ! Tu ma laboure comme une cheminée ! Mais j’aime ! »

Signes d’encouragement, il redoublait d’effort, tenant d’une main les cuisses levées au plafond de la voiture,
l’amant ramonait à grands coups la jeune femme. Elle hurlait, bougeait dans tous les sens, sans doute que la pénétration était trop profonde, mais elle s’en fichait, elle prenait son pied, comme jamais. Elle s’agrippait au siège de la Audi, aux épaules de Frantz, elle ne tenait plus en place ; on dirait qu’elle cherchait à s’évader.

« Tu m’as provoqué ce matin, tu m’as allumé avec ta façon d’habiller et à table aussi, tu me faisais du pied! Prend ça maintenant  dans ta chatte salope ! Tu aimes mon pieu ? Tu baises toujours dès le premier rendez vous ? »

« Seulement avec toi ! », rétorqua-t-elle.

Frantz balançait sa queue avec fureur, il cognait grave dans le fond de cette caverne qui lui aspirait la chair. Sportive, Séverine avait un périnée bien musclé, qui pouvait enserrer le sexe des hommes, pour de belles sensations de la part des deux parties. Elle se faisait buriner. Séverine criait elle de plus en plus fort, elle suait de plus en plus, les cheveux étaient ébouriffés, le maquillage était parti, le mascara coulait de ses yeux, son rouge à lèvre, gâché. Elle ne tardait pas à jouir :


-    «  Baises moi fort, je vais pas tarder à jouir !
-    Oui, moi aussi, je ne tiendrais plus longtemps.
-    Vas y ! Oui ! Cogne ta bite au fond de mon être ! Oui ! Comme ça ! Oui oui ! Ho, je viens ! Oui, je joouuiiiis ! Ha ! C’est bon mon dieu !

A ces mots, Frantz se retira tout de suite après un long et épais jet de sperme s’écrasa sur le visage de Séverine. Elle reçu les autres sur le visage et les seins. La semence de l’homme ruisselait jusque son ventre tellement qu’il s’est vidé sur elle. Le sexe de Frantz goutte, Séverine récupéra avec ses doigts, les gouttes qui s’échappaient et les porta à sa bouche...


-    C’est la première fois que je jouis de la sorte. Je crois que j’ai eu un orgasme vaginal. Il faut dire que ta grande bite y était pour quelque chose ! C’est le plus long membre qui m’a buriné !
-    Je prends cela comme un compliment…

Ils s’essuyaient avec une serviette et une bouteille d’eau qui se trouvaient dans la voiture. Habillés, ils s’échangent des derniers baisers avec de se laisser pour la nuit.

-    A demain peut être au parc ?
-    Peut être…., répondit Séverine.

La pluie se calmait et ils rentrèrent chacun chez eux. Séverine pris sa douche, et alla se coucher nue comme tous les soirs. Avant de s’endormir, elle repensa à sa soirée et souriait toute seule. Exténuée, elle rejoint les bras de Morphée.

Le lendemain matin, la jeune femme repense à son amant d’un soir. Allait-elle le retrouver ce matin au parc ? Avait-elle envie de le revoir ? Elle ne savait pas. L’idée même de se remémorer les coups de bite qu’elle avait reçu, elle commençait à s’exciter toute seule. Elle débuta des caresses sur son sexe humidifié. Elle tripotait ses lèvres. Elle enfonçait son index qui en ressortait couvert de liqueur féminine. Elle mit maintenant son majeur, mais en voulait plus. Sans quitter sa chatte, elle ouvrit le tiroir de sa commode, de sa main libre, cherche du bout des doigts, fouille et ressort enfin un gode. Elle rangeait ses joujoux près de son lit. Elle le mit en marche. Il vibrait d’abord à vitesse basse pour monter en intensité. Elle le faisait passer sur ses lèvres, il glissait parfaitement.


Elle se pénétra d’un coup sec, comme l’avait fait Frantz. Elle introduisait le vibro entier en elle. Il lui titillait le clito et le vagin. Elle gémissait, mordillait les lèvres, se cambrait, froissait les draps de son lit en les chiffonnant. Elle jouit rapidement. Elle eu un soubresaut violent, ses yeux se révulsèrent, marque que c’était très bon. Elle resta un moment immobile pour reprendre ses esprits. Elle leva ensuite pour se faire couler un bain, et rester allonger dans la baignoire.
   
Elle n’alla pas courir ce matin, elle resta chez elle. Ne sortit pas non plus. Elle fit juste une séance de vélo d’appartement. Elle tenait à sa ligne. Sa journée du dimanche se termina.

Clara   

Le Lundi, c’était la journée de repos. Pour ne pas sombrer dans l’ennui, elle alla faire un tour dans un bar en bas de chez elle, retrouver une amie. Au Dream’s bar, la fréquentation était majoritairement des personnes homosexuelles, ou à tendances bisexuelles. Séverine aimait ce genre d’ambiance. Elle se faisait des fois offrir des verres de champagne, et d’autres draguer. Mais elle n’avait jamais succomber, elle entrait toujours dans le jeu de la personne en face, mais ensuite elle montrait qu’elle n’était pas intéressée. Mais bon, il arrive parfois que la tentation est trop grande…

-    Hey ! Salut Sève, dit une belle fille aux cheveux blonds lâchés sur les épaules. Elle avait un beau corps, le même qui faisait chavirer la tête des hommes. Une poitrine généreuse, un profond 90C, des yeux d’un bleu intense, un sourire angélique. Ses jambes paraissaient interminables. A côté d’elle Séverine lui arrivait aux épaules. Elle avait un beau cul, bien ferme, moulé dans un jean taille basse qui laissait apparaître son piercing au nombril, et son tatouage sur la hanche droite, sa date de naissance en chiffre romain.
-    Ça va Clara ?
-    Très bien et toi ? Tu es en quête de proie ?, souria-t-elle.
-    Non, lança Séverine... 
-    Tu as passé un bon week end ? Le boulot, toujours cool ?
-    Oui. J’ai passé un merveilleux week end. Surtout Samedi…
-    Samedi ? Ha ça m’intéresse ! Qu’est ce qui te rends si joyeuse… Alors, racontes moi tout, dis moi ce qui se passe dans ta petite tête.

Séverine hésitait à raconter, puis se lança :
-    Alors, Samedi j’ai rencontré un mec en faisant mon jogging. J’ai failli le renversé en courant, j’avais la tête ailleurs... Il m’a rattrapé avant que je ne tombe. Ensuite, on a discuté, et il m’a invité. Il est bâtonnier, a une belle voiture, une maison à lui seul. On a passé une bonne soirée, on s’est rapproché. Puis…
-    Puis… ?
-    On a été pris d’un élan de désir, on s’est retrouvé sur un parking et on a baisé dans sa voiture. Et c’était bon, j’ai aimé, je recommencerais même…
-    Hé ben dis donc toi ! Tu es une petite cochonne toi ! Dès le premier soir !
-    Hey ! Mais je t’en pose des questions ?
-    Rhoo, je te charrie.
-    J’espère bien.
-    Alors tu comptes le revoir ?
-    Je ne sais pas. Je risque de le croiser, puisqu’il fait son jogging au même parc que moi. Mais si je recroise, on risque de se jeter une fois de plus dessus et ne plus se contrôler…
-    Racontes moi un peu les détails. J’ai envie de savoir…
-    Mais c’est perso ! Non mais !, rigolait Séverine avant de raconter. Comme je t’ai dit, il m’a invité, on a diné, on s’est rapproché, on se sentait bien. Après une balade sur le sable, on s’est embrassé et c’est là que tout à commencé. Il y avait comme une vague de chaleur qui est montée en nous, et nous n’avons pas pu nous contrôlé. Nous sommes partis sur un parking et dans sa voiture, il m’a prise….
-    Alors son engin… riait Clara, qui était très portée sur le sexe.
-    Il avait une jolie queue, fine mais longue. Des couilles ordinaires, sui ne pendaient pas beaucoup. En tout cas, j’ai jouis comme une petite salope. Et lui s’est vidé les baloches sur mon ventre, mon visage et mes seins. Il a déchargé une bonne quantité !
-    Humm à t’entendre, je m’excites moi-même…
-    Et toi ? Comment se passe avec ton Jules ?
-    Ho, on n’est plus ensemble depuis un mois bientôt. Je l’ai largué. Il me voulait que pour lui, il était jaloux, ne voulait pas que je sortes sans lui. Pfff, je m’en fiche, je préfère ma liberté.
-    Tu as raison… Tu as fait d’autres rencontres depuis ?
-    Non, je suis en jachère comme on dit... Mais faut que j’y remédie à ça…, riait Clara.
-    Tu finiras par trouver quelqu’un de bien.

Les deux femmes discutaient longuement. Elles aimaient parler sexe. Il faut dire que c’était le principal sujet de conversation qu’elles entretenaient lorsqu’elles se voyaient. Clara avait travaillé dans un love store, elle avait toute une collection de sextoys en tout genre. Elle invita Séverine à prendre une verre chez elle et lui montrer par la même occasion les nouveautés.

Les demoiselles marchèrent jusqu’à la maison de Clara. Arrivé sur les lieux, elles croisent le locataire de palier de Clara. Un jeune black, la trentaine, d’environs 1,85m, crane rasé, des muscles saillants, un corps d’athlète digne d’un Usain Bolt. Il était toujours habillé élégamment. Il était comptable dans une société d’informatique. Clara flashait sur lui.
-    Bonjour Clara, fit-il d’un voix suave.
-    Salut Matt.
-    Houou, c’est qui ce bel étalon ?, lança discrètement Séverine.
-    Hihi…Chut ! Tu es folle ? C’est Matt, mon voisin de palier.
-    Et ben voilà celui qui va mettre fin à ta jachère ! Hahaha…
-    C’est mort il a une copine! Tu parles si j’en avais l’occase, je lui sauterais dessus. En plus tu as vu comment il est foutu le mec ? Il doit en avoir une belle grosse queue de cheval ! Surtout que l’on dit que les blacks sont biens montés… Je m’empalerais bien sur son grand manche.

Les deux jeunes femmes entrent enfin dans l’appartement de Clara, qui va sans attendre chercher les joujoux qu’elle vend.
-    Alors celui-ci c’est un rabbit. Il masse l’intérieur du vagin et la petite tête sur le côté c’est pour ton clito. Je l’ai testé et crois moi, c’est whaou comme sensation…
-    Il a l’air pas mal en effet, en plus on dirait qu’il y a plusieurs modes de vibrations et en plus elles sont intenses !
-    Regarde celui-ci, c’est un peu hight tech, tu as une boule que tu mets dans ton sexe et à distance, ton mec il peut le faire vibrer. C’est très discret, tu peux y aller au travail avec.. C’est marrant.
-    Ça donne des idées ça… En pleine réunion ennuyeuse, vibrer... hummm.
-    Et là celui-ci, c’est mon préféré. Je te dis pas pourquoi, souriait-elle. Je te présente black dick. Un beau spécimen, 20cm, diamètre de 5.5cm, il vibre, oscille, le corps se rétracte pour imiter les pénétrations ! C’est mon bébé !
   
Clara exposait fièrement son gode réaliste black, devant les yeux exorbités et à la fois brillant d’envie de Séverine. Elle avait secrètement envie de l’essayer celui-ci. Au fur et à mesure que Clara montrait ses jouets, l’autre jeune femme était prise d’un désir, son ventre gargouillait, il frémissait de l’intérieur. Elle ne tenait pas en place, sans cesse en train de bouger, d’arranger son linge, de tourner les doigts dans les cheveux. Clara faisait exprès, elle l’avait remarqué. Elle s’arrêta de parler soudainement, ce qui a surpris Séverine.


-    Tu es toute chose hein ? Ca t’a excité tout sa ?
-    Oui, quand même, rougissait-elle. Non, mais je suis ne train de me faire un film dans ma tête, c’est dingue, tu vas me prendre pour une folle.
-    Ha ? Et il raconte quoi ce film ? Une vendeuse de sextoys, faisant une expo de ses produits, devant une amie et elles finissent par les tester…

Sans finir sa phrase, Clara assise en face de Séverine, se jeta sur elle, elle le plaque sur le lit, elle l’embrassa à pleine bouche. La dernière ne se débattit pas. Elle se laissa faire. Clara remonta la jupe de sa copine, elle descendit vers son sexe qui était bien mouillé. Elle écarta son boxer pour commencer un cunni. Allongée sur le lit, Séverine appréciait les caresses buccales de la jeune femme. Elle tenait fermement la tête de celle-ci, pour la diriger vers son clitoris. Elle appuyait le visage de Clara contre elle. Ses jambes encerclent cette dernière.


-    Hummm Clara, oui, tu sais y faire. Tu suce bien les chattes toi. Lèches moi bien.
-    Ho que oui, je vais te brouter comme on t’a jamais dévoré la minette. Fermes les yeux et laisses toi guider vers ton plaisir.

Clara faisait onduler sa langue sur les lèvres intimes de son amie. Elle donnait de temps à autre des petits coups de langue, elle enfonçait un peu au passage. Séverine cambrait du bassin, elle était agitait. Arrivé à son clito, celle qui se faisait sucé poussait de grands râles de plaisir, elle gémissait fort. Elle se retenait par crainte que les voisins ne l’entendent. Elle mit ses deux mains sur sa bouche pour étouffer les petits cris qu’elle poussait.

-    Tu n’as pas besoin de te retenir, mets toi à l’aise. On s’en fout des voisins, ils travaillent tous en ce moment. Et tu crois que je me retenais quand je me fais labourer sauvagement ?

Séverine se mordillait la lèvre. Elle hurlait :


-    Humm oui, encore ! Vas y c’est bon, ça monte, ça monte, je vais venir, continues comme ça !
Mange ! Mange ma chatte !

Voyant que son amie n’allait pas tardé à exploser, Clara prit son Big Dick, sans que cette dernière ne puisse le voir. Se calquant sur les soubresauts que Séverine donnait avant de jouir, Clara pénétrait celle-ci avec le gode, d’un coup sec. Elle cria violemment, douleur d’un tel écartement de sa chatte mêlée à un plaisir intense et nouveau, Séverine se laissa envahir dans un orgasme immense. Elle tremblait, les jambes bougeaient, la soie de ses bras s’irissaient. Son visage était devenu tout rouge.

-    Hé bien dis donc ! Tu reviens de loin on dirait, hein ?
-    Oh, oui, lâcha-t-elle dans un soupir.
-    Tu a aimé j’espère !
-    Le mot est trop faible…
-    Tiens, je te l’offre, disait Clara en lui tendant le gode qu’elle venait de lécher avec de donner à sa copine.
-    Tu es sérieuse ?
-    Oui, prends le. Tu penseras à moi quand tu te doigtera avec.
-    Merci.
-    Maintenant que tu a joui, c’est à mon tour maintenant, annonça Clara.

Elle se leva du lit et partit chercher une autre boîte. Encore d’autres jouets ? Quels modèles maintenant ? Elle en sortit un gode ceinture noire, avec un pénis veiné au bout d’environs une quinzaine de centimètres.
   
-    Enfiles ça, tu vas me fourrer. Tu te souviens ? C’est la jachère pour moi. Tu feras l’homme avec ça. Baises moi bien, ok ?

Séverine regarda Clara étrangement, ne disant rien. Elle était abasourdie par ces propos. Hésitante, elle enfila le gode ceinture.

-    Ça te va comme un gant !

Clara se mit à quatre pattes sur le lit, offrant sa croupe à son amie. Elle s’était caressée pendant qu’elle suçait
Séverine. Sa cyprine coulait le long de ses lèvres sui ressortaient légèrement de son sexe. Elle était brûlante de désir, le fait de se faire pénétrer par une fille, l’idée qu’elle avait préparé son coup, l’excitait davantage. Séverine se plaça derrière sa copine, elle était un peu maladroite avec cet objet qui lui était totalement inconnu.
Elle le mit à l’entrée du minou de Clara.


-    Vas y, tu peux y aller. Bourres moi la chatte !

Sous les ordres de Clara, elle entra dans l’intimité de celle-ci. Elle pénétrait cette chatte dégoulinante de mouille centimètre après centimètre. Elle faisait des vas et viens légers, puis plus profond lorsqu’elle sentait une maîtrise de l’objet. Elle était excitée aussi du fait de fourrer une chatte et se faire comme si elle avait une bite. Elle donnait de grand coup de reins, elle tenait fermement le cul de Clara, lui titillant au passage la rondelle. Elle humectait ses doigts de sa propre salive pour lubrifier le petit trou de sa copine. Elle introduisait en même temps qu’elle pénétrait Clara, son index dans le cul de cette dernière. L’enculée appréciait et en redemandait.


-    Humm, tu agit comme un vrai homme avec ta bite en plastique !
-    J’adore ! Oui ! C’est tout sexe pour moi ça !
-    Prend bien ton pied à me culbuter !

Séverine redoublait d’intensité, ses coups de bite étaient de plus en plus forts, les seins se Clara balançaient d’avant en arrière, elle tentait de les tenir d’un main lorsqu’elle a prit appui sur le lit en s’allongeant, le cul toujours vers le plafond. Sa mouille maculait le gode. Séverine pouvait quant à elle sentir la sienne ruisseler sur ses cuisses.

-    Oui ! Encore un  peu et je jouis ! Donnes ! Donne tout ce que tu as ! C’est bon ma sale enculeuse ! Bourres moi ! Oui ! Casses moi la chatte !

Clara jouit alors violemment et fort. Elle explosa en tous le sens du terme. A la grande surprise de Séverine, sa copine éjacula. Elle avait déjà entendu parlé d’éjaculation féminine, mais là c’était las première fois qu’elle le voit pour de vrai et surtout que c’est elle qui a fait monter la liqueur à un point qu’elle gicle en geyser. Clara ne pouvait plus se tenir dans la position qu’elle était tellement que cet jouissance l’a épuisé. Elle est tombée à la renverse sur le lit, le cul pointant vers Séverine. Elle arrosait cette dernière de ses jets de fluide corporel. Elle tremblait beaucoup, elle révulsait, agitait les membres. Elle s’écroula sur le ventre et resta immobile un moment, le temps de reprendre sa respiration. Séverine était surprise par le fait que sa copine était une femme fontaine. C’était la première fois qu’elle voyait ça.

-    Whaou c’était formidable. Merci Sève !

Elle embrassa sa copine pour la remercier. Cette dernière lui confia qu’elle était tellement excitée qu’elle a jouit aussi en même temps qu’elle. Les deux jeunes femmes se dirigèrent vers la salle de bains pour se rincer.

Séverine restait un moment avec son amie à discuter de relations, de sexe, des aventures d’un soir qu’elles avaient eu. Elle reparti ensuite chez elle, emportant son cadeau. Avant de sortir de la maison, Clara lui offrit un dernier baiser. Et mit un petit bout de papier dans son sac et lui fit promettre de l’ouvrir une fois seulement qu’elle sera chez elle.


-    Rentre bien mon bel étalon, dit Clara en rigolant de sa propre bêtise.
-    Oui, ma suceuse de chatte !, rétorqua Sève.

En sortant de l’appartement de Clara, la porte de l’ascenseur s’ouvrit. Le voisin de palier de sa copine en sortait. « Bonsoir », lui fit-il. « Bonsoir », répondit Séverine, sourire aux lèvres. Il lui rendit un sourire et un clin d’œil. Il se dirigea vers sa port d’entrée. Elle rentra dans l’ascenseur. Le voisin se retourna sur elle avant de rentrer dans son appartement. Il lui sourit à nouveau avant de fermer la porte. Séverine inclina la tête, comme pour dire « oui »….

Arrivée chez elle, il est déjà 19h00, elle reprit une douche avant de monter dans son lit. Elle admirait son cadeau. Elle souriait toute seule. Elle le rangea dans le tiroir. Elle s’endormi en repensant à ce beau voisin qu’elle a vu chez son amie.

6h30, le réveil sonne, il faut se lever pour aller au travail après un week end riche en émotions et expériences. Séverine saute hors du lit et file se préparer avant de prendre son petit déjeuner. Assis au comptoir du bar de sa maison, elle repense au papier que Clara avait glissé dans son sac. Elle fouille et le retrouve. Il était plié en 4. Elle ouvre et lit ce qui était écrit dessus. Elle était obligée d’en rigoler. « Tu es folle ma petite Clara ! », se disait-elle. Elle rangea le bout de papier dans son sac et partit au travail.
   

La semaine passait lentement, il n’y avait pas beaucoup de clients. Rien de spécial n’est arrivé. Toujours le même quotidien.

Il est Samedi, encore une deux heures de boulot et Séverine était en congé, pour une semaine. Elle avait hâte d’y être. Elle n’avait encore rien programmé, mais elle ne comptais pas rester chez elle.

Il est 17h00, encore une heure à tenir. On entend alors appeler la responsable caisse au rayon librairie. Au téléphone elle demande au manager rayon ce qu’il se passe. Apparemment un client, aurait commandé un livre depuis 2 semaines et il n’est toujours pas arriver. Une fois de plus, Séverine doit faire preuve de patience envers le responsable de ce rayon et trouver une solution pour le client. Elle arrange sa jupe et son chemisier, pour être un peu plus présentable et sort de son bureau.

Elle marche dans le couloir menant au rayon. Au loin, le manager et le client l’attendent. Elle regarde d’où elle est afin de voir si c’est le même client que la dernière fois. Non, ce n’est pas lui.
-    Bonjour Monsieur. Quel est le souci ?
-    Bonjour Madame. J’ai commandé un livre il y a déjà deux semaines, on m’avait dit qu’on appellerait pour le récupérer. Hier quelqu’un d’ici m’a contacté pour me dire que le bouquin était là. Je me déplace exprès pour le prendre et on me dit qu’un autre client vient de l’acheter. C’est quoi ça ? Vous vendez deux fois le même produit ?
-    Julien ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Depuis quand on met les livres commander en rayon ? Tu sais bien qu’il y a une place réservée dans le stock pour ceux là…, dit-elle d’un ton autoritaire. Derrière ses lunettes, ses yeux ravageurs donnaient une tonalité érotique, accompagnés de sa tenue sexy et ses talons hauts perchés.
-    Oui, je sais mais je viens de rentrer de deux semaines de congés et je ne sais pas qui a fait cette erreur. rétorqua-t-il.
-    Oui. Enfin, le problème n’est pas résolu.
-    Monsieur, J’ai deux solutions, soit nous vous faisons un avoir et vous prenez un autre livre à la place ou un autre produit. Ou sinon je commande moi-même le livre en urgence et d’ici Mardi je vous assure qu’il sera dans ce magasin.
-    Je ne veux pas d’autre livre, c’est celui-ci que je voulais.
-    Ok, je commande le livre pour vous alors.
-    Oui, on n’est plus à deux jours près maintenant…
-    Je fais le nécessaire. Venez avec moi au comptoir je vous prie.

Le client suivait Séverine. Il profitait pour mater son petit cul serré dans sa jupe qui manquait de remonter à chaque pas qu’elle faisait. Elle était sans cesse en train de la tirer vers le bas, car le haut de ses collants se voyait.

-    Donnez moi s’il vous plaît le nom du livre.
-    « Déshabillez vous », de Sylvie OULETTE.

A entendre le titre du livre, Séverine cessa un instant de taper sur son clavier. Elle arrangea ses lunettes qui tombaient sur son nez. Elle sourit du coin.

-    Voilà, c’est commander. Je vous appellerais personnellement pour venir le chercher. Le
numéro n’a pas changé ? J’ai un 0692 17 36 24.
-    Toujours le même. Je vous remercie. Au revoir.
-    Au revoir Monsieur.

Le voisin black

Pendant que la responsable était en train de parler avec le client, elle le fixait. Elle cherchait, où elle avait bien pu voir ce visage. L’homme était beau mâle, un black, à la peau mate. Il était assez bien foutu, un t-shirt moulant près du corps, un pantalon en lin blanc. Il était habillé décontract. Il ne laissa pas indifférente notre jeune femme. Séverine eu d’un coup un mini sursaut : « Mais oui… C’est lui. Je me disais bien que je l’avais déjà vu. Un si beau spécimen ça ne s’oublie pas comme ça. C’est Lui… Le fameux voisin de palier de Clara. ». Séverine souriait toute seule. Elle était tellement sous le charme du mec, qu’elle en oubliait qu’elle était en congé Mardi, jour où elle devait prévenir le client pour le livre. Elle demanda alors à Julien de l’appeler même si elle est en congé, lorsque le livre était au magasin. Elle ferait le nécessaire pour prévenir celui-ci.
18h00, le magasin ferme ses portes. Tout le monde se bise et se souhaite bon week end. Séverine passe boire un verre au Dream’s Bar avant de rentrer chez elle. Assise seule au comptoir, elle bavarde avec le serveur qui lui connait bien depuis le temps qu’elle vient ici.


-    « Bonsoir, un Mojito s’il te plaît Steeve.
-    Yo Matthex, comment vas –tu aujourd’hui ?
-    Ça va ça va.. Merci et toi même.
-    Au top, il y a du beau monde, comme un peu chaque soir… Les habitués, quelques nouveaux clients.
-    Ha ouais.. C’est cool ça.

A entendre le prénom de « Matthew », Séverine ne saisi pas tout de suite. Elle resta un moment
inerte, puis au son de la voix de l’homme, qui ne lui était pas si inconnue, elle se tourne discrètement pour voir qui c’était. Faisant semblant de pencher sa tête pour passer la main dans ses cheveux, elle mit un visage sur le prénom  de son voisin. C’est là qu’elle croisa le regarde de l’homme. Il faisait certes sombre dans le bar, la lumière était tamisée, mais elle pu distinguer nettement de visage et même identifier la personne. Ils se fixèrent un moment puis il fit le premier à parler.


-    « Ho tiens donc ! C’est vous., dit-il d’un sourire.
-    Comme quoi le monde est petit. On fréquente le même bar on dirait…
-    On dirait bien que oui. Je voulais vous dire merci pour le geste que vous avez fait tout à l’heure au magasin…
-    C’est mon devoir de satisfaire les clients. (Oui, Séverine savait satisfaire ses clients, et comme il le faut…). Alors comme ça vous lisez les romans érotiques ?
-    Oui, j’aime bien m’en inspirer. Ça me fait voyager, j’aime bien les scénarios, lorsqu’ils sont bien écrit, croyez moi, votre esprit est transporté, même transcendé, je dirais... Vous lisez aussi ce genre de livre ?
-    Il m’arrive quelquefois, mais rarement. Justement, là je viens de terminer le premier tome de « Cinquante Nuances de Grey ». J’avoue qu’il ma fait travailler l’esprit, si vous voyez ce que je veux dire…
-    Oui, oui, j’ai lu les trois tomes et je vous recommande de tout lire, ça en vaut la peine !
-    J’y compte bien. Toutes mes amies me le conseillent aussi.
-    Je peux vous le prêter si vous voulez. A charge de revanche.
-    Ho, je veux pas vous embêter.
-    Je l’emprunterais au travail.
-    Non, bien au contraire, ça ne m’embête pas du tout. »

Au fil de la conversation, les deux étaient devenus moins étrangers. Ils discutaient de tout et de
rien. La soirée touche à sa fin, Séverine est exténuée, elle s’excuse au près de son compagnon de buvette. Elle décide de rentrer.


-    Bon je vous laisse. Bonne soirée. A mardi, pour le livre.
-    Ha oui, j’allais l’oublier ! Oui, et au plaisir de la discussion.
-    Pareil.


La jeune femme prit son lit après une douche bien méritée, elle s’évanoui dans les bras de
Morphée.
   
Durant son sommeil, elle revoyait cet homme, ce Matthew. Il faut dire qu’il ne lui avait pas laissé indifférente. Elle rêvait qu’ils se sont retrouvés dans l’ascenseur menant à l’appartement de Clara. La machine tombe en panne, ils sont coincés dans cinq mètres carrés de murs. Ils commencent à se regarder, elle est plaquée contre la paroi froide de l’ascenseur. Il lui couvre de baisers dans le cou, caresse son corps qui commence à bouillir. Ils se mordent les lèvres, arrachent des baisers à l’autre. Le beau black glisse sa main sous sa jupe et fouille sa petite culotte. Elle est toute trempée. Et là il se met à genou devant elle, écarte le tissu de son sous vêtement et lui suce la chatte, la jambe posée sur l’épaule du type. Elle ne tarde pas à jouir sous les coups de langue de l’homme. Dès qu’elle eu atteint l’extase, il se relève et l’ascenseur se remit en route. Il l’embrassa à pleine bouche avant que les portes ne s’ouvrent. Il quitte le bloc de métal en la laissant seule, se remettre de ses émotions.

A son réveil, Séverine, est toute retournée. Elle descend la main vers son bas ventre qui était chaud, arrivé jusqu’à sa chatte. Elle avait mouillé les draps, sa cyprine avait laissé des traces sur ses cuisses. Elle se leva et se dirigea vers la douche. Elle resta allongée dans sa baignoire à se rappeler de sa rencontre, de son rêve, elle s’excitait elle-même. Son teint devint rouge. Elle était toute chose. Elle se mit à se caresser sous l’eau, jusqu’à se pénétrer de deux doigts. Elle se fit jouir.

Elle a décidé ce dimanche encore de trainer chez elle. Elle n’avait pas envie de sortir. Elle voulait juste regarder la télé et ne rien faire d’autre. Le téléphone sonne. C’est Clara. Elle décide de rentrer visite à son amie.
14h00, Clara débarque devant l’appartement de Séverine. Elle avait ramené des petits gâteaux qu’elle avait fait le matin même. Les deux commères, s’engagèrent comme d’habitude dans les conversations futiles, elles débattaient sur tout et rien à la fois, jusqu’à arriver sur leur sujet favori, le sexe !
-    Alors ?, demanda Clara.
-    Alors quoi ?
-    Tu l’as appelé ?
-    Ha ! Ma fille tu es folle toi !
-    Hi hi, rigolait Clara. Il est pas à ton gout c’est ça ?
-    Non, au contraire. Tu sais quoi ? Il est venu au magasin samedi avant la fermeture. Je l’ai ensuite recroisé au Dream’s Bar. On a discuté et je suis rentrée.
-    Seule ? Questionna Clara.
-    Oui petite cochonne !
-    Mais, il était avec moi le soir ?
-    Ha ?? Humm allez ! Donne mois le croustillant.
-    On s’est embrassé….
-    Et …. ?
-    Et bien……il m’a fait un cunni…….
-    Hououou…. Après après ? Allez dis tout !
-    E après, ben…. j’ai joui en moins de 5 minutes !
-    Whaouou ! L’expert quoi ! Faut dire que je voyais dans tes yeux, une étincelle qui brillait quand tu l’as vu devant chez moi…


Séverine éclata de rire : « Mais je blague ! C’était un rêve sale perverse ! ». « Ho ! Petite salope ! Tu m’a fait commencer à mouiller avec tes bêtises et tu me dis que c’était qu’un rêve ! »


Les deux femmes discutèrent longtemps. Les heures passaient. Clara laisse Séverine.

La semaine recommence, mais la belle est en congé. Elle reçoit un appel. « Tiens ? Le magasin », se disait-elle à elle-même.
-    « Allo ?
-    Oui bonjour Séverine, désolée de te déranger, c’est juste pour te dire que on vient juste de recevoir le livre de M. PEREZ, tu te rappelle, tu devais l’appeler en personne pour lui dire que le livre était là.
-    Oui je me souviens. Je vais passer le récupérer cette après midi, mets le de coté. Merci.
-    Ok. A toute !
-    Bye.

16H30, Séverine se prépara et part chercher le livre.
-    Salut les filles.
-    Salut toi ! Tu fais quoi ici ? Je suis venue récupérer un livre, pour un client, M. PEREZ…
-    Ha oui, Julien à donner à Anne.
-    Merci, je vais aller la voir.
-    Coucou Anne. Tu as mon livre ?
-    Oui, tiens il est là.
-    Merci. A plus et bon courage !
-    Ha ha ! Petite veinarde, tu as de la chance tu es congés !
-    Et bien mérités ! Ciao !
-    Bye ! Profites bien !

Séverine sort du magasin et appelle son client. Il ne répond pas. Un instant après, son téléphone sonne :
-    « Allo ? Bonjour, j’ai eu un appel de vous.
-    Oui bonjour, c’est Mlle GONTHIER de AGORA Epicéa, je voulais vous dire que votre livre est avec moi. Vous voulez le prendre aujourd’hui même ?
-    Je suis encore au boulot. Je fini à 18h00. Si vous voulez, nous pouvons nous voir  au Dream’s Bar. Si ça ne vous embête pas bien sûr !
-    Oui, ça me va. A toute à l’heure alors.

Séverine était impatiente de le revoir. Elle était envahie d’une sensation étrange, qu’elle-même
ne pouvais expliquer. Certes l’homme était beau, il avait un sourire ravageur et surtout elle a rêvé de lui, et c’était très chaud son songe… Bizarre cette soudaine attirance. 18H10, elle arrive au bar. Elle l’attend au comptoir. Il arrive enfin.


-    Bonsoir, désolé de l’attente.
-    Ne vous inquiétez pas. Bonsoir. Je venais d’arriver à peine 5 minutes.
-    Alors vous avez enfin mon livre ! C’est chouette, depuis le temps que je le voulais…
-    Oui, le voici.

La jeune femme tendit un sac papier à l’homme, qui en saisi le contenu. Il lui agrippa le bout des
doigts au passage.


-    Oups ! Pardon. Merci pour le livre.
-    Ce n’est pas grave.
-    Allez, laissez moi vous offrir un verre.
-    Je ne peux accepter.
-    Non, ça me fait plaisir. En plus vous êtes venue déposer le livre, alors que j’aurais bien pu passer au magasin. Et cela est gentil de votre part… Après une dure journée de boulot, vous avez encore la fois de faire des détours pour ramener un livre à un client.
-    Non détrompez vous, souriait Séverine. Je suis en congé.
-    Ha en plus ! Mais pourquoi donc, vous dérangez vous… ?
-    Je passais dans le coin et ma collègue m’a appelé pour me dire que votre livre était là. Et je ne fais pas de détour, car j’habite juste au dessus du bar.
-    Okay. Acceptez mon verre quand même…
-    Bon si vous insistez.

Ils burent un verre, puis deux ; ils conversaient sur les livres, les films. Ils avaient beaucoup de points en commun. Intriguée, par le genre de lecture (érotique) que pouvait apprécier un homme, qui plus est, un homme d’affaire comme lui (on apprend au fil de la conversation que Matthew était VRP dans une multinationale). En fait, il aimait les livres érotico- pornographiques. Il s’amusait à fantasmer sur ses clientes séduisantes, des fois des femmes d’affaires, après avoir lu. Il s’imaginait des scénarios avec elles. Séverine était amusée de l’apprendre et à la fois excitée. Elle serrait sa main entre ses cuisses, et jouait avec son aube d’oreille. Ses tétons commençaient à pointer derrière son haut. Elle lui confiait qu’elle avait eu des picotements dans le bas ventre lorsqu’elle lisait « Cinquante Nuances de Grey ». Elle était devenue folle de l’histoire. Matthew répliqua à son tour :


-    Vous savez, vous allez peut être me trouver bizarre, peut être que vous allez fuir, mais… Au fil de la lecture, les passages, les scènes, notamment les moments de sexe, de contraintes sexuelles, j’ai à un moment donné, eu l’impression que le livre reflétait une partie de moi-même. Une partie obscure, que je n’ose pas dévoiler, par crainte, par honte ? Je ne sais pas..
La pupille de Séverine se dilatait en écoutant ses propose. « Ha oui ? Je pense qu’il y a un certain nombre d’hommes qui peuvent la place du fameux M. GREY, mais nous n’en savons rien...
-    Oui, je pense aussi. Enfin, j’espère que je ne vous ai pas effrayé et que vous ne me regarderez pas comme un pervers narcissique…
-    Non rassurez vous !

Il se fit tard, l’homme décide alors de rentrer chez lui. « Bon, je vais vous laisser. Demain j’ai une dure journée. Laissez moi votre numéro de téléphone, je vous appellerais pour vous prêter le tome n°2

.
-    Oui, il est déjà tard et votre femme doit s’impatienter !
-    Ma femme ?
-    Oui, ou votre amie, votre compagne, si vous n’êtes pas marié..
-    Ha ha ha, rigolait le type. Non je vis seul. Je n’ai pas d’attaches, pas de femme, je suis comme
l’oiseau, libre. Mon métier, mes déplacements ne me permettent pas d’aimer et faire durer l’amour. Mais bon que voulez vous.
-    Je ne savais pas. C’est mon amie qui me l’a dit. Clara, elle est votre voisine de palier. Ça reste entre nous, mais elle a un petit faible pour vous. Mais elle croit que vous êtes pris par la jeune femme qu’elle voit chez vous des fois.
-    Alicia ? Non, ce n’est pas ma compagne. Elle est comme qui dirait, un casse routine. Elle me rend visite quand je lui demande.
-    Quand vous lui demandez ?, surprise Séverine.
-    Oui, vous savez, des fois, je me sens seul, j’ai besoin d’une présence féminine… Un homme ça reste un homme… C’est physique, et dans la nature de l’homme.

Séverine rougissait et se mordillait le coin des lèvres. Elle était à la fois stupéfaite par les mots qu’elle venait d’entendre et aussi, attiré par le jeu que menait cet individu. Elle trouvait en cette idée, en ces faits, un autre refrain à sa sexualité.
-    Oui, si vous le dites. Je vous note mon numéro de téléphone sur ce dessous de verre.
-    A bientôt. Je vous appelle.
-    Bonne soirée. Ha ! On discute, on discute mais, je ne vais pas vous appeler Mlle GONTHIER tout le temps.
-    Séverine, appelez moi Séverine.
-    Bonne nuit Séverine…

La jeune femme rentre chez elle, un peu bouleversé (dans le bon sens du terme ici là). Elle repensait à ses mots « un casse routine », « c’est physique ». Elle aurait aimé être au moins une fois à la place des cette femme ; sentir et toucher ce corps musclé, rien de comparable aux autres hommes qu’elle avait connu. Il était différent. Par quoi, et pourquoi, elle ne savait pas. Du moins pas encore.

Le mercredi ensuite, en plein footing, Séverine reçoit un texto : « Bonjour, c’est Matthew PEREZ. Ce soir si vous voulez que l’on se voit au Dream’s Bar, je vous donnerais le livre. ». Elle accepta l’invitation par un retour de texto « Oui, j’y serais ; ».
   
Le soir venu, ils se retrouvèrent dans le bar. Matt était comme d’habitude habillé élégamment. Il portait une chemise blanche longue manche, une veste et un pantalon gris, des chaussures noires. Séverine le trouva encore plus séduisant que d’accoutumée. Ce soir là, ils décident de casser la croute ensemble. Ils ont mangé et bu. L’ambiance était bonne. Il est l’heure de rentrer. En gentleman, Matthew accompagne la jeune femme. Sur le palier de sa porte, l’homme qui jusqu’à maintenant, se trouvait derrière elle, la prit par le bras, la retourna et la plaqua contre le mur. Il lui saisit le visage, avant de lui volet un baiser. Elle ne tente même pas de résister ; au contraire, elle le lui rend de plus bel. Leurs lèvres se collent l’une contre l’autre. Leurs langues font connaissance.

Dans un élan, Séverine pousse la porte de son appartement. Elle tire l’homme vers l’intérieur. Ils arrivent sur le canapé du salon. Séverine s’y laisse tomber dedans, en entrainant dans la chute le bel homme. Leurs lèvres ne s’étaient jamais quittées. Ils s’embrassent avec fougue. Matt est allongé sur elle, il lui soulève son haut, avant de s’attaquer à son pantalon. Elle s’affaire quant à elle sur la chemise de l’homme. Boutons par boutons, elle dénude le haut du corps de son amant. Elle caressait son torse bombé, ses abdos en cotes de chocolat qu’elle croquera plus tard… Il est à genoux devant elle, tente de tirer le fichu pantalon qui serrait les fesses exquises de la jeune belle. Il réussit enfin. Elle est désormais en sous vêtements. Matt remonte embrasser le cou de Séverine qui comment à émettre des gémissements. Son corps transitait de désir. Elle était submerger par une vague de chaleur, qui lui remontait à la tête, au vue de son teint rouge, et ses cheveux ébouriffes à force de se les caresser, sous l’excitation.
   
Matthew descend maintenant vers son ventre, et arrive à l’entrejambe de la femme. Elle écarte les cuisses, il profite pour lui retirer son string rouge tâché et humide à cause de sa mouille.


Il lui arrache le morceau de tissu qui emprisonnait le fruit désiré. Elle souleva les fesses en tirant la tête ver son sexe béant et chaud. La langue épaisse de l’homme faisait le tour de cette chair. Il s’attarde sur les lèvres intimes de la femme et suce ensuite son clitoris, qui était sorti de son nid. Il était gonflé. Matt le titillait du bout de sa langue. Séverine poussait des râles plaisir, elle gémissait fortement. Sa respiration était saccadée. Elle haletait. Elle grimaçait tellement que c’est bon. Elle se cambre, donne des petits coups de rein, comme sil qu’elle voulait se pénétrer elle-même avec la langue de cet homme.


-    Humm oui ! Vas y ! Tu a un excellent coup de langue ! J’adore ! Tu vas me faire jouir ! Oui, je veux jouir sous tes coups de langue ! C’est bon, ça monte ! Oui ça vient !

Matt releva la tête, enfin il arracha sa tête tenue fermement par sa traitresse et lança un : « non pas tout de
suite ! Pas comme ça ! ». L’excitation de la jeune femme chuta. Il se mit debout devant elle. Prit sa main et la guida vers son sexe devenu tout dure, qui se cachait encore sous le pantalon gris. Séverine compris alors.

Elle descend la fermeture éclair. Elle caresse la queue turgescente de l’homme. Son boxer blanc déformé, par la bosse que formait cette bite qui gonflait, rejoint aussitôt le pantalon. La belle verge noire, au gland recouvert d’une peau douce, montait crescendo vers le nombril de l’homme. Il ne bandait pas encore à 100% et pourtant, sa queue tapait déjà bien dans les 16 cm. Le membre se décalottait tout seul sous l’effet de l’excitation et atteint sa taille « de croisière ». Le sexe de l’homme était bien veiné. Les couilles de Matt pendaient divinement. Ni trop, ni pas assez, juste comme Séverine les aime. D’ailleurs, elle les prit en main, les soupèses pour constater qu’elles sont bien lourdes (et bien juteuses). Elle tirait vers le bas, les malaxait. Elle englouti maintenant le bout de la bite de Matthew. Le gland mauve vif était lui aussi épais, il brillait, et luisait avec la salive de la belle. Séverine engloutit tant bien que mal le membre bandé au fonde de sa gorge. Elle manque de s’étouffer tellement que celui-ci était imposant. Elle s’acharne sur ce morceau de chair. Matt donnait des coups dans sa gorge. Elle commence alors une branlette, d’abord douce et lente, puis rapide et violente. Les couilles de l’amant s’entre choquent, elles cognent dans le poignet de la jeune femme. Elle les tient d’une main, pour stopper leur mouvement.


-    Vas y Mlle GONTHIER, pompe bien ma grosse queue ! Je vos qu’elle te plaît  hein ? Oui ?, c’est bien, branle moi la tige. Tu a un excellent coup de poignet toi ! On dirait que tu y connais un rayon sur la branle ! Tu as faim de ma queue ! Je t’ai vu l’autre fois, chez ta copine, comment u m’as maté. Au bar, aussi, tu croyais que je n’avais pas remarqué quand tu jouais avec tes cheveux… Tu est venue déposer un livre pour un client, c’est rare qu’une employée fasse cela… Sauf si elle chercher quelque chose.
   
Durant ce monologue, Séverine n’a jamais cessé de pomper la bite du mec. Elle le masturbait ardemment, elle enfonçait au fond de sa gorge ce gros bâton. Elle se caressait aussi la chatte, qui mouillait abondamment. Elle introduisit d’abord son index, puis son majeur vint rejoindre ce dernier. Elle se branlait la moule tout en astiquant son amant. Matt prit la tête de Séverine, et la tira d’un coup sec vers son pubis et maintenait cette posture durant de longues secondes, avant de libérer la femme qui toussa.

Il la prit par les hanches pour l’aider à se relever. Elle s’exécuta. Il lui fait signe de se mettre à quatre pattes dans le fauteuil. Elle lui offre maintenant sa croupe dégoulinante de liqueur. Elle allait se faire pénétrer en levrette. Matthew plaça sa bite raidie à bloc devant l’entrée de cette grotte. Il frottait le bout, comme pour désolidariser les lèvres. Puis il s’enfonça centimètre après centimètre à l’intérieur de la femme, qui poussa alors des cris de douleur, causée par la largeur de cette queue.


-    Ho ! Doucement ! Ta bite est large ! Fais gaffe !
-    Tu l’as cherché salope ! Prends la ! Accueilles la maintenant qu’elle est ici.

Coups sur coups, l’homme pilonnait la moule qui s’ouvrait et refermait sous les coups de burin. La mouille de Séverine restait collée sur le pieu noir. A chaque coup de canon, on aurait dit que son sexe raclait la cyprine de la tendre. Elle hurlait de plaisir :


-    Ha ! Ca va un peu mieux. Allez, ma chatte est prête à la mitraillette ! Bourres la moi plus vite !
-    Tiens prends ça sale pute !
-   
Il lui claqua les fesses, elle gémissait de bonheur, elle râlait, voulait jouir. Elle se faisait buriner violemment. Matt décide alors de changer de position. Il prend la place de la jeune femme. Il est assis sur le canapé. La queue toujours dressée et maculé de mouille. Séverine vint s’empaler sur cet édredon. Il lui tenait les seins, elle prenait appui sur les cuisses de Matt. Il l’aidait à se faire fourrer en lui tenant les hanches, il tirait quelquefois plus fort qu’elle donnait, ce qui avait effet d’une pénétration plus profonde.


-    Ho mon salop ! Tu me fais des coups traites !
-    Je sais que tu en rêvais !

La belle était transportée au loin, elle quittait Terre, elle n’allait plus tarder à jouir. Ils s’adonnaient à cette position jusqu’à ce que Séverine n’explose :


-    Hummm oui ! J’arrive ! Encore un peu !
-    Haaa haaa, tiens ! Prends ça et ça !!
-    Hououo ouuuuiii… Je jouis !
-    Moi aussi, j’arrive, je vais jouir ! Lèves ton cul ! Oui, je balance la purée ! Avales mon foutre !!!!

Séverine se leva tant bien que mal, à peine remise de son orgasme puissant. Tremblante, elle tient deux secondes sur debout avant de s’écrouler devant Matthew qui se branle la queue devant le visage de la femme, qui tire la langue en le regardant dans les yeux ; ce qui accéléra la montée de la sauce. L’homme jouit à grands coups de jets de sperme, qui s’étalaient sur le doux visage de la femme. La semence se déverse sur sa langue, coulant sur ses seins. Elle prit en tout plus de sept saccades de liqueur épaisse. Elle s’en délecta une partie du bout de ses doigts, avec un sourire coquin au coin de l’œil.
   
Elle se relève et embrasse son gicleur à pleine bouche et lui offre une partie de son propre jus. Ils se dirigent ensuite vers la salle de bains. Après un bain, les deux amants se rhabillent, Séverine enfile juste une petite culotte. Matt se dirige vers la porte et laisse la belle jeune femme seule, une fois de plus….

Epuisée mais comblée, elle s’endort.

Le lendemain, Séverine, rattrape son footing perdu ces derniers temps. Débardeur rose, leggin’s gris et basket aux pieds, écouteurs aux oreilles, elle enjambe de belles foulées. La tête remplie des souvenirs de ces jours passés, ses rencontres qu’elle a fait. Celles d’un soir ? ou Celles d’un début ? Elle ne savait pas apporter une réponse satisfaisante… Mais bon, elle n’était pas en manque de plaisir, bien au contraire. Après 1h30 de course, des gouttes de pluies d’invitent inopinément, ce qui lui oblige de rentrer. Elle s’allonge dans un bain chaud. Dehors, il pleut de plus en plus fort… Elle jette un coup d’œil à travers la vitre, le ciel est gris, cela a tendance à l’exciter.


Elle quitte sa baignoire, s’habille d’un manteau léger, lui arrivant jusqu’aux genoux, lui couvrant à peine les fesses rebondies. Elle porte un petit boxer à dentelle. Elle consulte son téléphone : aucun message. Elle repense à nouveau au beau Matthew PEREZ. Elle sourit toute seule. Elle aimerait tant le revoir, sentir son parfum, ses muscles, caresser son torse bombé, être dans ses bras rassurants et…. lui faire l’amour. Une sonnerie se fait entendre. Tiens ? Quand on parle du loup ? Non, c’est Clara qui prend de ses nouvelles. Elle lui textote, en lui racontant ce qui s’est passé avec le beau voisin de palier. Sa copine se dit qu’elle a de la chance d’avoir pu gouter à cet homme. Elle aurait bien aimé être à la place de Séverine. Elle lui aurait, elle aussi bien aimé goûter à son « nectar de black », comme elle a l’appelle…. En lui contant son aventure, Séverine sent des papillons dans son ventre, une chaleur lui envahi le bas du corps. La pluie dehors, ne fait rien pour calmer cette ardente envie qui submerge en elle. Les gouttes de pluies s’écrasent de plus en plus fortement sur le toit de l’appartement… Elle mouille déjà.


Pour se calmer, elle décide de faire un petit somme. A son réveil, en regardant l’heure sur son mobile, elle découvre « 2 nouveaux messages non lus ». C’est encore cette petite folle de Clara…. Elle ne le lit pas tout de suite. Aussitôt qu’elle décide de le faire, un nouveau bip se fait entendre. « Tu fais quoi demain ? », lui avait écrit Clara. Second message « Bonjour Mlle GONTHIER. Comment allez vous en ce temps si gris, et si froid dehors ? J’attends de vous revoir…. #Matt# ». Troisième sms, c’est encore lui « Pas de réponse ? Vous devez être occupée. Tant pis. »

Le sourire aux lèvres, elle lui répond : « Bonjour. Désolée, je dormais. Je vais bien et je pense à vous. J’ai passé un moment agréable en votre compagnie. ». Message envoyé. Quelques minutes plus tard, retour de l’homme : « Moi aussi j’ai apprécié être aux côtés d’une belle jeune femme telle que vous. J’ai envie de vous…. revoir. ». Séverine, excitée comme une puce : « Moi aussi, j’aimerais encore poser mes lèvres sur les vôtres, sentir votre parfum, sentir vos mains sur mes hanches. J’adore quand un homme jouie dans mes cheveux, comme vous l’avez fait. » Message envoyé. « Oups ! Pardon, erreur de frappe… Je suis confuse, je voulais écrire ‘’joue’’… Désolée ». « Non, j’ai compris… Ou peut être était sans le savoir un lapsus révélateur… ».

Les deux amants s’échangèrent des sextos enflammés. Ils jouaient comme à un jeu de séduction érotique. Ils se cherchaient et chauffaient mutuellement.
La journée se termine sur ces notes sensuelles.
On est déjà Vendredi. Séverine sort se changer les idées. Elle déjeune avec Clara et lui raconte une fois de plus les détails croustillants. « Hummm, arrêtes donc, tu me fais mouillée…. », lui rétorquais Clara amusée et excitée.

En rentrant chez elle, Séverine découvre un paquet devant sa porte. Une boite noire sertie d’un ruban de soie rouge, une étiquette avec son prénom dessus. Etonnée et agréablement surprise, elle prend la boite et va vite l’ouvrir pour voir son contenu. Elle découvre alors une longue robe noire, fendue sur le côté. En dessous, une autre boite, en métal cette fois ci. Elle d’empresse de la déboucher. Et là, sourire élargie et yeux pétillants, elle tombe sur une petite tenue sexy noire. Se trouve aussi, à l’intérieur de la boite, une enveloppe dorée, muni d’une petite carte, avec juste une phrase : « Chez moi demain soir, 19h30. Mattew P. ». Séverine enthousiaste, a hâte de le revoir. Elle hume l’enveloppe, qui était aspergée du parfum de l’homme.

Le samedi soir arrive enfin. Il est 18h00 quand la belle commence à se préparer, elle se pomponne, comme d’habitude, maquillage léger sur les joues, son regard s’approfondi avec son eyeliner et mascara. Elle est vêtue de sa robe longue, qui cache ses beaux sous vêtements offerts… Elle avait pour l’occasion, le matin même acheté des chaussures hautes, noires à liserais blanc sur les bords. Elle est divinement belle et terriblement sexy. Une beauté qui faisait se retourner tous les hommes de sa résidence.

Matthew

Il est 19h25 lorsqu’elle sonne à la porte de Matthew. Il débarque, tenue de circonstance, chemise à longue manche d’un beau bleu et pantalon noir, chaussures en cuire tout juste cirées. Il avait encore son tablier à sa taille. Il fait entrer son invitée. Séverine dévisage un moment son hôte. Elle semble intriguée, peut être il l’impressionnait tellement, par sa carrure, qui lui semblait être une peu plus imposante, qu’ordinaire… Le sachant sportif, elle se rangea à cette idée.


-    Bonsoir. Tu es très charmante.
-    Merci, vous êtes pas mal non plus Monsieur et votre parfum est nouveau, l’interrogea t-elle
-    Tu as le flair. Oui, c’est Terre d’Hermès. Aller, vas y entre, je t’en prie belle demoiselle.

Sourire aux lèvres, Séverine est accompagnée dans le salon, où elle s’installe, le temps qu’il finisse de cuire le repas. Ils discutent à travers le passe plat qui les sépare. Ils veulent savoir ce que l’autre à fait durant les jours passés.

Le dîner prêt, ils passent à table. En gentleman, serviette blanche sur l’avant bras, Matt sert, en jouant au mieux son rôle de serviteur, du vin à la belle. Amusée, elle s’y prête au jeu. Ils dinent autour d’une bougie qui éclaire à peine leur visage, l’atmosphère est érogène. Au menu, pavé de kangourou sauce champignon accompagnée de sa salade. Le repas terminé, ils s’installent devant la cheminée, assis sur une peau d’ours qui ornait le centre du salon..

Ils se rapprochent, l’un contre l’autre. Une ambiance sensuelle se dégage peu à peu.  Le feu crépite, les yeux de Séverine brillent, sa pupille se dilate quand Matthew lui arrache un baiser. Elle le lui rend bien. Il la fait s’allonger à même le sol. Il est désormais sur elle, lui couvrant de caresses, elle ouvre les jambes pour laisser place à l’homme. Il lui prend les cheveux, les renifle, son souffle chaud réchauffe les oreilles de la jeune femme. Elle transit de plaisir. Ils sont pris d’un élan de fougue. La température grimpe. Des gémissements se font entendre de la part des deux corps. Leur respiration est saccadée. Ils se relèvent après une série d’étreintes. L’hôte porte alors la belle dans sa chambre. Ils se jettent l’un sur l’autre, les vêtements son arrachés, Matt est en boxer quand Séverine s’est retrouvée en petite tenue qu’elle arbore finement. Matthew était encore plus sous le charme.

Son érection lui a trahi. Son sexe poussait le tissu. Séverine caresse alors cette bosse. Une nouvelle fois de plus, elle semble s’arrêter, un instant perplexe. Le pénis de l’homme était encore plus épais que la première fois, qu’elle l’avait touché… Elle se dit que l’alcool était en train de lui tourner la tête, elle était sur un nuage, qu’il ne fallait pas qu’elle perde le nord, pour la suite… Elle prit ensuite les dessus. Elle le poussa sur le lit, il tomba en arrière. Elle se mit sur lui, son regard coquin rendait fou son amant, elle le couvrait de bisous, dans le cou, sur le torse, arrachant sauvagement ses lèvres avec ses dents. Il eu un petit soubresaut, sous la mini douleur infligée. Elle tournait sa langue dans son oreille, il devenait fou. Séverine descendit alors vers l’objet de leur désir. Elle posa sa bouche sur le pénis de l’homme à travers son DIM. Elle releva le fessier musclé de l’homme, pour le mettre à nu. La verge de celui-ci bondit littéralement. Elle se dressait fièrement au garde à vous.
   
La belle la regardait un moment, admirait cette belle colonne de chair, toute chaude et qui commençait déjà à faire perler son miel. Elle décalotte le gland mauve gonflé…. Elle le porte à la sa bouche,  sans jouer, elle enfonça d’une traite cette tige dans sa gorge. Elle malaxe les couilles de son amant. Elle fait tourner sa langue sur le bout qui tremblait sous l’effet d’excitation. Elle le regarde droit dans les yeux ; elle sait ce à quoi un homme ne peut résister. Son regard de petite pompeuse de queue joue à merveille son rôle. Il est obligé de fermer les siens pour ne pas perdre le contrôle. Séverine branle le sexe raide, le gland luit avec la salive. Elle astique amoureusement ce gros pieu.


-    Humm oui, tu le fais bien ! Pompes moi bien la queue !
Encouragée, Séverine redouble l’intensité de sa branlette, mixant masturbations buccales et manuelles, la voilà prête à faire jouir son partenaire. Les boules lourdes de celui-ci se cognaient l’une contre l’autre, elles valsaient de haut en bas.
-    Je veux tu viennes dans ma bouche, donnes moi ton nectar ! J’ai envie de le gouter encore ! Il m’a manqué !
-    Oui, je vais me vider dans ta petite gueule de suceuse !


Les yeux révulsés de l’homme, montraient bien à quel point cette fille savait sucer comme il fallait. N’y tenant plus, sentant sa semence monter, Matthew se laisse déverser dans la cavité chaude de Séverine. Elle accueille chaque saccade de foutre dans sa bouche. Elle n’a pas cessé de le branler, bien au contraire, elle maintient le rythme effréné. Le bas ventre de l’homme se cambre, sous les spasmes éjaculatoires. Elle pince ses lèvres autour du gros gland comme pour tirer les dernières gouttes. Elle aspire une dernière fois, pour ne rien perdre de ce jus. Elle avale toute sa gorgée de liqueur épaisse, en fixant son amant dans les yeux. Un sourire de dévergondée se dessine sur le visage de Séverine, qui s’essuie le coin des lèvres. Elle partage la goutte de sperme recueillie du bout de son index avec son juteur.

Matthew se relève et embrasse la jeune femme, le gout du sperme se fait sentir. Il lui fait allonger à son tour sur le lit. Il est sur elle, ses mains parcourent tout son corps, s’attardant sur sa féminité et maintenant sur son intimité. Le sexe de Séverine avait déjà depuis tout à l’heure laissé échapper sa cyprine. Il était brûlant. Le bas de sa tenue était entaché de ce précieux liquide. C’est autour des lèvres de l’homme de jouer, d’entrer en scène, de titiller les tétons, de faire le tour des mamelons de la femme. Sa bouche gobait ses seins. Elle se laissait faire. Comme il tardait trop à son goût pour aller vers le fruit de la passion, elle prit la tête de celui-ci et la dirigea droit à son pubis. L’homme écarta alors la dentelle du boxer. Il pose alors sa langue sur les lèvres inférieures de la belle. Il commence un mouvement circulaire, puis donne des petits coups sur les petites lèvres qui s’étaient déjà ouvertes. Il mordille le clitoris de Séverine. Il s’était précipité, sur son sexe, l dévorant littéralement, sans ménagement, contrairement à ce qu’il lui avait fait lors de leur première rencontre.. On dirait qu’une folie s’était emparée de l’homme. Elle se cambre de plaisir, ondule ses hanches. Le bout de chair humide de Matthew fait virer au blanc les yeux de cette dernière. Elle se tord dans tous les sens, elle devient folle :


-    Pousses ! Vas y pousses !! C’est bon ! Fourres ta langue là dedans mon salop ! Suces ma chatte !

Après quelques violents coups de langue, Matt délaisse le sexe de la jeune femme de sa langue. Il se met entre les cuisses de la belle. Elle lui en veut d’avoir arrêté. La main du type se pose sur le minou de la belle. Il lui transperce l’intimité d’un doigt, le faisant tourner à l’intérieur. Il introduit ensuite un second, plus profond. Séverine se contracte. Maintenant, à genoux devant elle, il soulève ses jambes, écarte à nouveau la dentelle, prend son pieu à nouveau raide et épais, à pleine main. Place devant l’antre de la femme. Il s’y enfonce d’un coup sec.


-    « Ouille ! Salop ! Tu me fourres comme ça !
-    Oui, je vais te baiser ma chienne !
-    Pistonnes moi bien alors ! Oui, baise ma chatte comme tu l’a fais la dernière fois ! Elle ne demande que ça !

Le bel étalon s’englouti entier dans le corps de la femme, il lui burinait la moule, ses lèvres inférieures, entraient et sortaient, sous les coups de burin. Le pénis de l’amant était gonflé à bloc, les veines saillantes ressortaient, on aurait dit qu’elles allaient exploser tellement qu’il était excité. Il fourrait la fille ardemment. Elle criait, hurlait de douleur mêlée à dur plaisir, à accueillir ce membre large ; elle chiffonnait les draps. Les clapotis de la bite de l’homme cognant dans cette caverne, se faisaient de plus en plus entendre. Le drap blanc du lit était trempé de la sueur des deux corps.

Ils changent de position, l’homme se place alors en levrette, Séverine s’agrippe à la barre du lit. Elle se tient tant bien que mal. Son amant ne ménage pas sa seconde bouche. Il la ramone profondément, en serrant ses seins d’une main et de l’autre, tirant sa tête en arrière en empoignant ses cheveux.
-    Dis moi que tu aimes ça ! Dis, le ! Non cries le ! Comment tu aimes, hein ?
-    J’en suis folle ! Ton gros mandrin me fait transir, je suis accro ! Tu baises bien !

Elle avait du mal à répondre tellement qu’il tapait fort dans sa petite chatte.

La température montait, le sexe de Matt frottait contre la dentelle du  boxer, ce qui avait pour conséquence une simulation, et sensation encore plus excitante. Il n’allait plus tenir longtemps à ce rythme. Il écarquillait les yeux, il luttait pour ne pas craquer tout de suite. Il se cramponnait au cul de Séverine, en serrant fermement son fessier. Elle avait la chatte en feu, elle brûlait, poussait de hauts gémissements. Elle non pus n’allait plus tarder à jouir, en voyant les mimiques qu’elle faisait ; elle suppliait l’homme de la labourer encore, encore et encore plus vite. Il s’exécuta, lui aussi voulait enfin jouir. Dans un dernier élan, Matt lance sa grosse pine dans la moule rouge de la jeune femme. Elle manqua de se vautrer sur le matelas se rattrapant de justesse. Ils s’écroulèrent tous les deux en même temps, dans un orgasme profond et intense. Séverine eu les larmes aux yeux. Les couilles de Matt se collèrent à son corps tandis que sa bite se contractait pour expulser tout son foutre. Il perdit toutes ses forces, il s’étala, en prenant soin de rester emboiter en elle pour se vider les couilles à grands coups de spasmes éjaculatoires....

Quelques instants après, ils reprirent leur esprit. Ils de redressent. Le sexe de Matt est toujours bandé. Il se retire en elle, une belle coulée de sperme chaud et gluant, s’écoule du sexe béant de Séverine. Le jus se répand sur les draps, un filet blanchâtre reste suspendu à sa chatte.
-    Whaouou ! C’était formidable. Comment fais tu pour gicler autant ? Tu m’as inondé la gorge tout à l’heure et là tu m’as rempli la moule…
-    C’est toi, ton cul et tes bouches qui m’excitent. Ça aide bien non ?

Ils s’allongèrent l’un contre l’autre, avant de prendre la direction de la salle de bains. Séverine est invitée à rester dormir chez Matt, vu l’heure qu’il est. Elle accepte. Pour la première fois, elle découche de chez elle.
Ils finissent alors par s’endormir dans les bras de l’un et l’autre.
   
Au petit matin, à son réveil, la belle est toute seule dans le lit. Il n’y a personne dans la maison. Matthew est sorti. Il lui a laissé un mot « C’était une soirée formidable. Merci. #Matthew# ». Avec ce papier, les clefs de l’appartement. Elle prit ses affaires et s’en alla chez elle, prenant soin de fermer la porte à clef les déposer chez sa copine Clara.

Séverine passa son dimanche, chez elle, seule, à se remémorer sa soirée. Elle avait à nouveau des papillons dans le ventre, à force d’y penser… Elle se revoyait dans sa robe, sa tenue sexy, faisant l’amour et avoir en retour, grâce à un bel étalon. Une sensation étrange s’empara de son esprit. Elle avait connu certes des partenaires d’un soir, mais lui, c’était différent. Elle semblait tout à coup s’attacher, à Lui… Elle le texta pour lui remercier de la soirée. Elle attendue alors longtemps pour avoir une réponse. Rien. Pas même d’accusé de réception du sms. Sa dernière journée de repos se termine alors… Demain il faut reprendre le travail. Elle aurait tant aimé rester encore chez elle, retrouver son bel homme black… Ce soir là, elle se coucha un peu attristée.

Le Lundi arriva à grande vitesse. Elle reprit son petit train train quotidien, un peu de joie de revoir ses collègues. Elle avait du travail à rattraper. Il lui arrive alors de penser, au fond d’elle à cet homme, qui lui manque… Elle décide alors de lui envoyer un autre texto, mais là encore, pas de réponse. Le soir, elle décide de l’appeler. Le téléphone sonne comme un numéro non attribué. Elle est éprise d’une profonde tristesse. Elle se demande  où est-ce qu’il peut bien être, pourquoi, il ne donne pas de nouvelles…  Elle s’endort alors en serrant son oreiller contre elle, comme pour se rappeler la seule fois qu’elle s’est endormie aux bras de celle qui l’a fait l’amour, et jouir.

La semaine se passa toujours sans nouvelles de Matthew. Elle interrogea alors Clara pour savoir si elle ne l’aurait pas vu, même s’il était très discret. Cette dernière non plus ne l’a pas aperçu depuis une semaine. Elle essai de résonner Séverine ne lui disant qu’il est VRP et qu’il est sûrement en déplacement. Elle est consciente de cela, mais n’accepte pas l’idée qu’il est parti sans dire un mot.
   
Il est Vendredi soir, le téléphone de Séverine vibre. Elle se précipite alors pour voir. Un texto ! C’est Clara : « Salut ma belle. J’espère que tu vas mieux. Tu ne devineras jamais ce qui m’est arrivé ! Je peux t’appeler pour que l’on discute ? ». Séverine accepta l’appel :
-    Salut Sève ! Comment vas-tu ma puce ?
-    Salut. Ça peut aller mieux merci. Et toi ?
-    Ho tu n’imagines même pas, ce qui m’arrive. C’est une sacré surprise, mais qui à la fois m’excite et me fait peur…
-    Quoi donc ?
-    Tout à l’heure en rentrant, je trouve devant ma porte un sac en papier blanc. Je l’ouvre et à l’intérieur, une petite pochette en carton noir marquée OBSESSIVE dessus.
-    Il y a quoi dedans ?
-    Une tenue d’écolière et un long manteau rouge. C’est fou ! Qui c’est qui aurait pu déposer ça ?

Abasourdie de la nouvelle Séverine reste un moment sans rien dire.
Elle se rappela alors la surprise que son beau Matt, lui avait fait…

-    Il y a quoi d’autre ?
-    Une carte Le Palm Hotel, avec écrit au dos, à la main « Chambre n°68. Demain 20h00 ».
-    Tu vas faire quoi ?
-    Je ne sais pas. Je penses y aller. Ça doit être un admirateur secret, disait Clara, sûre d’elle. Elle n’avait nullement peur de ce genre de situation…
-    Fais attention à toi !
-    T’inquiètes pas ma puce…
-    Bon je te laisses Clara, je me sens un peu fatiguée. Je te rappellerais demain.
-    Ok, pas de soucis ! Bisous ma belle.
-    Bonne soirée.

Malgré une nuit un peu agitée, Séverine finit par trouver le sommeil.


Son réveil sonne, il est 7h00. Pour se remonter le moral, elle va faire son footing, histoire d’oublier un peu… Elle continue sa course dans les escaliers de son immeuble. Arrivée devant son paillasson de porte, elle fit à son tour une étrange découverte. Encore une boite. Elle est subjuguée. Elle ôte ses écouteurs, regarde autour d’elle. Prend ses clefs la boîte et entre vite dans l’appartement. Elle débouche à toute hâte afin de voir ce qu’elle contient. La boîte est semblable à celle qu’avait décrit Clara la veille. A l’intérieur de la sienne, une tenue d’écolière également. Elle prend vite son téléphone pour prévenir son amie. Le téléphone sonne :


-    Décroche ! Décroche !
-    Allo ?
-    Bonjour Clara, c’est moi. J’en ai reçu une aussi !
-    Quoi ? Une boîte ? Y’a quoi dedans ?
-    Une tenue d’écolière et un manteau noir….
-    Qui est-ce que ça peut bien être ?
-    Attends. Il y a une carte aussi ; Le Palm Hotel… Au dos : « Chambre n°69, ce soir 20h00 »…
-    Tu comptes y aller ?
-    Dis moi, c’est là bas aussi que tu doit y aller, non ? On pourrait y aller ensemble.
-    Oui, tu as raison. C’est un peu plus rassurant d’être à deux…
-    Bon, je passe te prendre vers 19h00, je me préparerais chez toi. On partira un peu à l’avance, peut être on pourra découvrir l’auteur de ces paquets…
-    Oui ça marche. A ce soir.

Séverine attendait avec impatience la soirée. L’idée de rencontrer quelqu’un, un inconnu, qui lui offre à elle et sa copine des tenues sexy, l’émoustille.

Les deux jeunes femmes se préparent. Elles sont sublimes dans leur tenue affriolante. Séverine décide d’un commun accord, d’inverser les manteaux, pour tromper la ou les personnes qui les attend(ent).

Elles arrivent au Palm Hotel. Clara va la première à la réservation de l’hôtel, pour confirmer son rendez. Le réceptionniste lui confie le passe de la chambre. Elle est devant la porte, le cœur battant la chamade. Elle introduit la carte, pénètre dans la chambre et découvre alors stupéfaite, un homme à la peau mâte, assis, tournant le dos à la porte. Il était vêtu d’un pantalon en lin blanc, d’un léger t-shirt près du corps. Il avait une belle musculature. Il se retourne. Clara reste ébahie. Il lui sourit. Elle hésite un moment et lui lance un :


-    C’est toi ? Matthew ?
-    Non, je ne suis pas Matthew….
-    Mais…  Si ! Qu’est ce que cela signifie ?
-    Je suis Jason, le jumeau de Matthew, ton voisin de palier, sur qui tu fantasme…

A peine a-t-elle pu finir sa phrase, que l’homme se dirige vers elle. Il lui prend dans ses bras,l’embrasse tendrement. Il lui fait s’assoir et lui offre une coupe de champagne et du chocolat.

-    Montres moi maintenant tes attributs, Clara… Tournes toi un peu que je t’examine…

Clara s’exécuta. Elle se dévoile, tourne sur elle-même.


-    Laisses ton manteau tomber maintenant. Je veux voir les dessous…, demande Jason.

La jeune femme détache alors la ceinture, et le manteau noir tombe à ses chevilles. Elle est magnifique dans sa tenue d’écolière. Jason est ravi, il a le sourire aux yeux et une bouche qui s’apprête à dévorer le corps fin de cette Clara.
   
De son côté, Séverine entre dans l’hôtel. Elle demande son pass et si dirige vers sa chambre. Le tract est en elle. Elle prend son courage à deux mains, insère le sésame. La porte s’ouvre… Elle entre timidement dans la pièce. Et là, même découverte que pour sa copine, un homme de dos, est assis à table. Un bouquet de roses rouges est posé sur la table, ainsi qu’une bouteille de champagne, et du chocolat. Cet inconnu est de la même corpulence que son Matt, qui ne lui avait plus donné de nouvelles. Elle est prise d’un sursaut. Elle a les yeux qui commencent à briller. Le type se retourne et lui sourit. Elle court vers lui et tente de lui gifler, pour le mal qu’il lui a fait en ne répondant pas à ses textos, ni appels. Il réussi à ralentir la main de la femme. Il détournece geste pour l’embrasser avec fougue.

La colère de Séverine s’évanouit aussi vite qu’elle avait commencé…


-    Tu as reçu le paquet que je t’ai déposé ?
-    Oui, répondit la femme.
-    Montre moi un peu se qui se cache là-dessous… Le manteau noir ne te plaisait pas ?
-    Si, mais une amie a reçu un coli. On a fait l’échange. Et ce qui m’intrigue, c’est qu’elle est à
côté… Avec qui, je ne le sais…
-    Ha bon ? faisait semblant d’ignorer Matthew. Laisses moi voir ton beau petit corps dans la
tenue.

Séverine fit elle aussi tomber le chandail à ses pieds. Elle se tourne sur elle-même, faisant dos un instant à Matt. « Tu es sublime », lui dit-il.

Il s’approcha et se jeta sur ses lèvres. Elle le prit dans ses bras, leurs langues s’entrechoquèrent. Ils se retrouvèrent sur le lit, comme deux amants qui ne se sont pas vus depuis des lustres. Matthew prit cependant soin de ne pas déshabiller tout de suite la femme. Elle était allongée sur le lit, il lui couvrait de baisers, sa langue parcourait son corps en passant par-dessous du petit gilet noir. Il tripotait ses seins ronds, et mis en valeur dans ce soutien gorge push up, spécialement acheté pour l’occasion.


Matt glisse sa main sous la jupette de l’écolière. Sa petite culotte commence à être chaude et trempée.


Dans la pièce d’à côté, les deux adultes s’embrassent avec la même fougue. Le beau Jason faisait autant d’effet à Clara, que si c’était Matthew, vu que les deux hommes se ressemblaient en tout point à deux gouttes d’eau. Assis sur le lit, le couple échange de longs et passionnés baisers. Ils se cherchent, se caressent, Jason a déjà détaché le soutif de la jeune femme, sans pour autant la dénuder. Clara glisse sa main dans le pantalon de son amant, elle caresse le sexe en début de turgescence de ce dernier.

Après un moment d’étreintes, Jason se lève. Il se dirige vers la porte qui semble être celle du placard. Dans la pièce à côté, c’est le même scénario. Matthew laisse la belle Séverine et se dirige vers une porte semblable. Il toque deux coups. La porte s’ouvre et apparait alors Jason, avec en arrière plan Clara qui s’était assise sur le lit.

Les deux hommes s’écartent du passage pour que les deux femmes se voient. Séverine fut d’abord choquée de voir un copier coller de Matt, debout de l’autre côté de la pièce. Puis elle se rappela un instant, leur dernier ébat… Ahuries, elles rougissent et finissent par sourire, en pensant à la suite possible des évènements.

Matthew invite l’autre couple à entrer dans leur chambre. Clara observe sa copine. Les deux hommes sont cote à cote et lancent en même temps un :


-    Alors les filles, avez-vous été sages ?
-    Avez-vous fait vos devoirs ?, demande Jason, le professeur de SVT...

Les filles se fixent et répondent mutuellement un « Non Messieurs les professeurs. ».


« Allons nous êtres punies pour cela ? », demande Clara, l’allumeuse effrontée.
-    Je crains que oui, rétorque Matthew.
-    Et sévèrement, je rajouterais, dit Jason.

Les deux hommes prirent chacun une chaise et s’assirent l’un en face de l’autre, laissant un espace entre eux.

-    Votre punition, mes jeunes filles. Vous allez nous pomper le pieu. Cela pour vous faire pardonner. Ce sera la première partie de votre punition, déclare Jason.

Séverine et Clara obéirent alors à leurs professeurs. Elles se mirent à genoux devant leur instituteur et amant respectif. Elles ont chacune les gestes synchros. Elles commencent par défaire le pantalon des hommes, caressent le sexe turgescent des types. Le boxer serré par la queue raide est vite à la cheville des hommes. Séverine est la première à enfoncer le pénis de son beau Matt dans sa bouche. Quant à Clara, elle était un peu impressionnée par la grosseur de cette verge qui était brandie devant elle. Elle le décalotta, fit rouler sa langue sur le bout, cueille un filet de liqueur de la pointe de sa langue. Elle fini par engloutir ce pieu entier dans sa gorge.

Les voilà en train de pomper les deux hommes, qui se font face et se regardent, satisfaits de leurs trouvailles.
   
-    Caressez vous en même temps que vous nous sucez.
-    Oui, faites vous plaisir aussi, il n’y pas de quoi être triste, surtout quand on pompe une queue. On est sévère, mais pas égoïstes…, fit Jason.

Les filles branlaient à la fois la bite de leur amant et se doigtaient.

-    Maintenant, embrassez vous, partagez votre cyprine. Toi Clara, enfonce tes doigts dans la bouche de ta copine !, ordonna Jason. Séverine, même chose pour toi. Allons ! Allons !

Les deux femmes, s’offrir leur mouille. Elles finir par en rajouter une couche à ce spectacle. Elles s’embrassèrent à pleine bouche, leurs langues s’emmêlèrent profondément. Les deux élèves se caressent. Leurs mains découvrent le corps chaud de l’autre. Elle se masturbe la chatte mutuellement. Elles s’en donnent à cœur joie. Contemplant le spectacle, les deux hommes s’auto-caressent, ils se masturbent à la vue de voir deux bombes se rouler des pelles et se doigter le minou. Les amants s’astiquent la pine, puis stoppe un moment avant que l’un d’eux ne dise :

#epub


-    Maintenant, nous allons passer aux choses sérieuses.
-    Oui, empalez-vous sur nos queues ! D’ailleurs c’est votre deuxième punition, annonce Jason.

Les filles choisissent alors la position d’Andromaque. Elles tournent le dos à leur homme, elles se font face et ce qui a don de les exciter. Elles avaient comme une impression de se regarder dans un miroir en train de se faire fourrer par derrière. Clara n’eu aucun mal à faire entrer ce gros mandrin dans sa chatte dégoulinante de mouille.
   
Elles gémissent, poussent des râles de plaisir, elles se laissent aller, oublier la crainte du départ, elles s’adonnent corps et âme à leur maîtres. Les seins des deux femmes rebondissaient, elles se les tenaient pour plus d’érotisme et tenir le coup. Clara ralenti les pénétrations à sautillons. Elle frotte sa petite chatte sur le pubis de Jason, son clitoris est stimulé au maximum, elle mouille grave, son miel se répand sur le corps de son instit. Séverine s’est retournée pour faire face à Matt, elle l’observe dans les yeux, elle l’embrasse, mais il lui repousse. Elle se cramponne à son épaule. Elle s’enfonce très ardemment le pénis de celui-ci.

-    Jason ?
-    Oui Matthew ?
-    Veux tu gouter à une autre chatte ?
-    Oui, pourquoi pas ?
-    Allez les filles, on échange les partenaires ! On veut profiter de chacune de vous ce soir.

Clara et Séverine se relèvent alors. Elle s’installe à nouveau sur une nouvelle queue et nouvelle sensation. Exception faite pour Séverine… Elle avait connu les deux. Les voilà, toutes les deux se faisant fourrer. Ce petit manège dure une bonne dizaine de minutes, où les filles tirent un max de plaisir et les hommes une satisfaction de domination.

-    Bon, maintenant que vous êtes en circonstance, nous allons en finir par la punition qui je l’espère vous servira définitivement de leçon…
-    Qu’en penses-tu Jason ?
-    Allons y dans le fauteuil, mes chères convives.


Les deux femmes suivirent les deux types dans le salon. Matthew et Jason leur firent à genoux dans le canapé. Elles offrent maintenant leur croupe à leur homme. Chaque homme pose leur index sur l’anus de leur compagne. Ils poussent doucement et régulièrement, en forçant de temps à autre cette porte... Une sensation de fraicheur se fait alors sentir sur le petit trou des filles. Du gel pour pénétration anale est aspergé sur leur rondelle. Séverine et Clara eurent en même temps, un soubresaut. Elles allaient se faire défoncer l’arrière train, par deux grosses queues. Elles eurent la chair de poule.

Matt commence par poser son gros gland rouge vif à l’entrée du cul de Séverine. Il pousse, entrer légèrement. « Hou.. Aïe, crie Séverine. Attention ! ». Elle reçu alors une fessée de la part de son amant. « On ne donne pas d’autre à son professeur ! Surtout quand on est mauvaise élève ! ». Ceci fut fermer le clapet de la jeune femme. Clara tira une leçon de cette scène. Matt enfonce centimètre par centimètre son gros calibre dans la raie de Séverine. Il fini par y entrer entier. Séverine se retenais de crier en se mordant les lèvres. On pouvait voir sa douleur s’exprimer par les grimaces qu’elle faisait.

C’est au tour de sa copine de se faire fourrer l’anus. Jason prend moins de temps que Matthew. Il pénètre
d’une traite, le cul de la femme. Elle laisse échapper un cri perçant. Elle reçoit comme sa copine une fessée qui rougit aussitôt sa fesse droite. Elle se cambre, afin de recevoir les coups de burin.

Les deux demoiselles se font exploser la rondelle.

#epub

Douleur et plaisir ne font qu’un. Les hommes serrent fermement le cul de ces putes. Ils n’y vont pas de main morte, coups de bite sur coup de bites, des fessées volent, le cul des déesses est rouge. Elles laissent des larmes perler sur leur visage.

Les coups de reins sont intenses, les deux hommes sont eux aussi rouges, à force de donner de leur corps et de se retenir de ne pas jouir trop tôt. Leur front est en sueur, leurs veines se dessinent, leur respirations couvrent celles des filles. Encore quelques coups de butoir et la giclée n’est plus loin.

-    Humm oui, ton cul est bon Clara ! Depuis le temps que j’attends de fourrer la voisine de mon frère ! Le tien est comment Matthew ?
-    Il est excellent. J’en rêvais depuis que je l’ai vu.. Mais je vais plus tarder, mes couilles me font mal, je vais exploser…
-    Moi aussi, je vais juter, ça monte grave, c’est si bon… Hooo, je me sens défaillir !!
-    Je vais balancer ma purée !

D’un geste violent et à la fois synchroniser, les deux hommes se retirent du cul de leur partenaire respective et se place devant celle de son voisin. Les filles prévenues, s’étaient quant à elles mises accroupies devant les deux beaux mâles. Les giclées de sperme des deux hommes s’écrasèrent sur le visage des filles. La semence de Jason aspergea Séverine quand le foutre de Matthew macula le doux visage de Clara. Les deux enculées, ouvrirent leur bouche de pompeuses et tirèrent leur langue pour prendre en vol les jets de jus épais.  Le liquide blanchâtre ruisselait sur le visage, le cou, les seins des filles. Elles s’embrassèrent en échangeant leur nectar divin….

#epub

Les hommes s’écroulèrent à côté des filles. Ils restent ensembles avant de partir dans leur chambre respective se laver, avant d’aller dîner.
Ils se retrouvent dans le restaurant de l’hôtel. Ils dinent. La soirée se termine. Ils se laissent. Jason raccompagne Clara chez elle, quand Séverine emmène Matt chez elle…
Chez eux, les couples refirent l’amour avant de retrouver les bras de Morphée ; cette fois ci comme de vrais couples…

Séverine et Clara rencontrent régulièrement leur amant. Ils font l’amour, s’échangent les partenaires et découvrent de sensations de plénitude… Ils vivent une extase sexuelle sans précédent et continuellement nouvelle….


~Auteur Anonyme ~


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