Isaline

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Coquindu18 vous livre son témoignage sur une ancienne histoire d'amour très coquine ! Nous vous la recommandons fortement ;-) !

PART. I

#epub

Elle avait tout juste 20 ans. C'était la fille de mes voisins.
Nous avions sympathisé lors d'apéro entre voisins. Malgré notre différence d'âge, nous nous étions trouvé quelques points communs et nous avions des échanges intéressants.
Mais jamais je n'avais vu en elle une potentielle conquête. Et pourtant...

Un soir, alors que je rentrais du travail, je l'ai vue, assise sur une marche de sa maison. Elle pleurait. J'ai donc engagé la conversation. Elle m'a expliqué les raisons (futiles pour moi, mais qui ont leur importance pour une jeune fille de son âge) de son chagrin.
Pour lui remonter le moral, je lui ai proposé de venir boire une bière à la maison. Nous nous sommes installé sur la terrasse.

Le temps est passé vite, nos conversations n'ont jamais connu de blanc, les bières se sont enchaînées... Le soleil commençaient à descendre mais la chaleur était toujours bien présente. C'est alors qu'elle m'a demandé si elle pouvait se baigner un peu dans la piscine. Ce que je lui ai accordé, évidemment.
Elle s'est alors levée et, tout en se dirigeant vers la piscine, elle a commencé à enlever ses vêtements. Tous ses vêtements.
Je n'en croyais pas mes yeux. Devant moi, sans aucune pudeur, elle exhibait un corps magnifique : de belles jambes parfaitement galbées, des fesses rondes et fermes, un dos superbement cambré.

"Tu viens ?" Me demanda-t-elle, juste avant de plonger.
Je ne savais plus quoi faire, ni ce qui était en train de se passer... Néanmoins, je n'ai pas mis longtemps à me décider à la rejoindre, bien qu'un peu gêné de me retrouver nu devant elle.

Après 2 ou 3 longueurs, elle est venue près de moi. J'ai donc pu admirer sa poitrine. Toute aussi belle que le reste. Ses cheveux blonds, mouillés, plaqués en arrière, laissaient ressortir encore plus qu'habituellement le vert de ses yeux.

"Alors ? Tu me regardes enfin comme une femme ?"

PART II

#epub

Je n'ai pas eu le temps de répondre. Elle avait à peine terminer sa phrase que sa bouche est venue se coller à la mienne. Son corps est venu se coller au mien.

Elle embrassait divinement bien. Je sentais sa poitrine avec ses petits tétons dressés contre mon torse. Elle ondulait son bassin, faisant glisser ses lèvres et son clitoris contre ma queue bien raide.

Sa bouche ne décollait pas de la mienne. Nos langues s'entremelaient doucement. Nos mains parcouraient nos corps. J'ai saisi ses fesses et l'ai soulevé légèrement pour emmener l'entrée de son vagin vers mon gland gonflé. Elle s'est laissé descendre lentement pour engloutir ma queue dans sa chatte délicieusement serrée.
Elle est restée immobile un moment, a stoppé ses baisers et m'a regardé. Et, d'un coup, elle s'est mise à remuer son bassin, intensément, alors que mes mains tenaient toujours son cul bien ferme.
Ses seins frottaient mon torse de haut en bas, de gauche à droite. J'essayais de l'embrasser à nouveau, mais sa tête jetée en arrière ne me laissait que la possibilité de lécher son cou.
Elle commençait à gémir. Tout son corps était tendu, jusqu'à ses doigts, dont les ongles laceraient mon dos.
Les mouvements de son bassin sont devenus plus frénétiques. Ses gémissements se sont transformés en petits cris. Puis j'ai senti son vagin se contracter, serrant ma queue, comme pour la presser. Je ne tenais plus. Elle continuait à s'agiter sur mon membre tandis que ses cris se faisaient de plus en plus forts.
Et nous avons joui. Simultanément. Intensément.
Des petits spasmes ont secoué son corps, puis elle a posé sa tête sur mon épaule, relachant totalement son corps.

J'étais epoustouflé par la puissance de cette baise et pourtant, j'avais la sensation de ne pas avoir encore tout vu ni tout goûter chez cette magnifique jeune femme

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PART. III

#epub

Nous sommes restés ainsi un petit moment. Silencieux. Sa tête sur mon épaule, nos corps entrelacés, mon sexe dans le sien.

"Tu as faim ?", lui ai-je demandé.

Elle a relevé sa tête, a souri et m'a de nouveau embrassé. Je suis sorti de la piscine, j'ai remis mon boxer et me suis dirigé vers la cuisine. J'ai préparé un plateau avec ce que j'avais sous la main et j'ai débouché une bouteille de Uby n°4 bien fraîche.

Quand je suis revenu sur la terrasse, elle était allongée sur un transat, seulement vêtue de son t-shirt, les jambes relevées. C'est à ce moment là que j'ai réellement pu voir son triangle d'or, sa chatte. Comme tout le reste de son corps, elle était magnifique. Légèrement charnue, des lèvres toutes roses, elle était surmontée d'une très jolie petite toison, dorée comme ses cheveux, bien taillée, entretenue avec soin.
Son T-shirt, mouillé, collait à sa peau et faisait ressortir sa poitrine. Elle pointait encore.

Nous avons mangé en discutant mais à aucun moment nous n'avons parlé de ce qu'il venait de se passer. De mon côté, la vision de son minou a déclenché chez moi une obsession : il fallait que je le savoure.
Bien que nos discussions ne tournaient pas du tout autour de ce sujet, je ne pensais qu'à cela.
Puis, un silence s'est installé. Machinalement, mes yeux se sont tournés vers son entrejambe. Et je me suis mis à bander. Ma queue était toute raide et toute gonflée dans mon boxer. Ça se voyait, forcément...
J'étais perdu dans mes songes, quand j'ai senti une caresse juste sous mes testicules. Reprenant mes esprits, je vis sa jambe tendue vers moi. Elle me caressait avec son pied. Je la laissais faire tout en la regardant. Elle avait passé sa main sous son T-shirt et se caressait les seins. Ses yeux ne me lâchaient pas une seconde.

Je me suis alors levé. Je lui ai tendu la main, qu'elle a attrapée instantanément. Et nous nous sommes dirigés vers ma chambre.
J'ai enlevé son T-shirt, et l'ai allongée sur le lit. Elle m'était offerte, totalement nue.
De mes mains et de mes lèvres, j'ai parcouru ses jambes, lentement. Je sentais sa respiration qui s'accélérait.
Et enfin, je suis arrivé au niveau de son abricot déjà très humide. Il dégageait une odeur divine.

#epub

PART. IV

J'avais le feu en moi mais je voulais prendre mon temps. Le temps de savourer ce délicieux fruit, le temps de laisser monter en elle un désir ardent.
J'ai d'abord déposé des petits baisers tout autour de son sexe. Puis, avec ma langue, j'ai caressé ses lèvres avant de les écarter légèrement en glissant dans leur sillon. Elle mouillait beaucoup. Je me délectais de ce jus au goût si doux.
Son clitoris était bien gonflé. Il était tant de m'en occuper. D'abord des petits coups de langue, légers. J'ai senti comme une décharge parcourir son corps. Puis des cercles, bien appuyés, tout autour. Elle remuait son bassin, comme pour m'inviter à continuer. Elle a pris ma tête entre ses mains pour m'appuyer bien fort sur sa chatte. Tout en continuant à lécher ce délicieux abricot, je mis un doigt dans son vagin. Il était doux et trempé. Je dessinait des cercles pour en agrandir l'entrée et y glisser un deuxième doigt. Je commençais des vas et vient tandis que ma langue s'agitait sur son petit bouton. Ses jambes se sont serrées autour de épaules, ses doigts se sont crispés sur mon crâne, son bassin s'est soulevé, la tête en arrière, elle lança un cri qui a dû s'entendre dans le quartier : elle avait joui.

J'ai déposé des baisers sur son ventre, en remontant vers sa poitrine. J'ai attrapé son sein gauche de ma main, faisant glisser son téton entre mes doigts tandis que ma bouche se posait sur son sein droit. Ma queue caressait sa chatte, lentement. Elle m'a poussé sur le côté. "Allonge-toi" m'a-t-elle alors ordonné. Elle s'est assise sur mon ventre et m'a embrassé. Puis elle a fait glisser son bassin vers mon sexe pour le faire entrer dans le sien.
Les mains appuyées contre le mur, elle approchait ses seins de ma bouche pour que je les suce.

"N'éjacule pas en moi. Préviens moi quand ça monte" m'a-t-elle demandé.

Je la regardais pendant qu'elle agitait son bassin. Mes mains aggripées à ses fesses sentaient chaque muscle se contracter à chaque mouvement. Ses cheveux me caressaient le visage.
J'ai senti ma prostate se contracter. "Ça vient !".

Immédiatement, elle a retiré ma queue de sa chatte. Ouf, je n'ai pas joui.
Un long baiser, puis des caresses avec sa bouche et ses cheveux sur mon torse, mon ventre, mon sexe. Puis elle a commencé une magnifique fellation, tout en douceur. Elle savait parfaitement faire tourner sa langue autour de mon gland. Sa main malaxait mes couilles.
Elle s'est arrêté un instant, pour mettre un doigt dans sa bouche et la ressorti complètement trempé. Elle a repris sa fellation et glissé son doigt entre mes fesses. Je n'en revenais pas. Elle a caressé lentement mon anus avant de l'insérer. Elle a su immédiatement trouvé ma prostate. Sa bouche s'est alors déchaînée sur ma queue tandis qu'elle massait ma prostate.

Je ne tenais plus. "Attention, je vais jouir !"

Loin de lui faire peur, elle a continué de plus belle. Dans un râle puissant, j'ai déversé un énorme quantité de sperme dans sa bouche. Ses yeux étaient rivés aux miens. Elle a attendu que j'éjecte la dernière goutte, s'est redressée, allongée sur moi et approcher sa bouche de la mienne. Dans un long baiser fougueux, elle m'a fait goûter mon sperme.
Une première pour moi ! Et c'est une nana de 20 ans qui m'initie.... J'étais subjugué. Comment avait-elle pu acquérir une si grande expérience, une telle dextérité dans ces gestes, un tel vice ?

Je suis resté allongé sur le dos. Elle s'est allongée sur le côté, sa tête sur mon torse, sa main sur ma queue. Je caressais ses cheveux, son dos, ses fesses. Qu'elles étaient douces et fermes !
Nous nous sommes assoupi un instant.

PART. V

#epub

Lorsque je me suis réveillé, elle dormait  à côté de moi, sur le ventre. J'ai effleuré son dos. Elle a sourit, gardant les yeux fermés. La douceur et l'odeur sucrée de sa peau m'ont donné envie d'y poser ma bouche. Toujours très lentement, j'ai déposé des baisers sur chaque centimètre de son dos, en commençant par la nuque, jusqu'à ses fesses, ses magnifiques fesses, sur lesquelles je me suis longtemps attardé.


C'est alors qu'elle s'est cambrée en écartant doucement les jambes, me laissant admirer la seule partie de son corps que je n'avais pas encore vue, la plus intime aussi : son anus. Tout rose, comme son abricot et légèrement ouvert.
Me laissant guider par mes envies, et par ses suggestions aussi, j'ai entrepris de lui lécher. Elle avait tellement mouillé lors de notre précédent ébat, qu'il était recouvert de son jus, délicieux à souhait.
Mes coups de langue, doux, semblaient lui donner du plaisir puisqu'elle gémissait et que l'ouverture de son orifice se dilatait petit à petit. Je pouvais commencer à y insérer ma langue, en laissant couler tout ce que je pouvais de salive.


Quand sa petite rosette m'a semblée assez ouverte et lubrifiée, j'ai approché mon index et commencé à le rentrer, tout doucement. Je n'ai senti aucune résistance. Bien au contraire, son petit trou a continué à s'ouvrir et a pu facilement accueillir un deuxième doigt.
Après quelques minutes de va-et-vient et de petits cercles, il était temps de passer au choses sérieuses. Ma queue était de nouveau tendue à mort, à la limite d'être douloureuse.
J'ai enfilé une capote et présenté mon gland à l'entrée de sa petite grotte.
Lentement, mais sans difficulté, j'ai poussé mon membre à fond dans son petit trou puis commencé de légers va-et-vient.
C'est à ce moment-là qu'elle m'a montré encore une autre facette de sa personnalité. Moi qui la pensait légèrement timide, pudique et réservée...

"Défonce-moi ! Baise-moi comme une chienne ! Fais-moi mal !"

J'étais décontenancé. Alors que jusqu'à maintenant, bien que très coquins, nos ébats avaient été plutôt tendres, elle voulait que je la maltraite..
J'ai donc mis plus d'intensité dans mes coups de reins et une grande claque sur ses fesses.

"Oui ! Comme ça ! Encore !"


La suite ne fut que claquements : claquements de mon bassin contre son cul à chaque coup de butoir, claquements de mes mains contre ses fesses qui devenaient toutes rouges. Parti dans cet élan, j'ai pris ses cheveux pour lui tirer la tête en arrière et la cambrer au maximum.

Au moment où je sentais qu'elle allait jouir, elle a passé sa main entre ses jambes et a saisi mes couilles. Je ne sais pas comment elle a fait, mais elle a réussi à faire en sorte que je jouisse en même temps qu'elle. Une nouvelle fois, mon éjaculation a été puissante. J'étais vanné.

Je lui ai proposé de rester dormir.  Ce qu'elle a accepté. Mais je n'ai pas dormi très longtemps... Réveillé par une sensation chaude et humide, elle était en train de me sucer. Lorsqu'elle a vu que j'avais ouvert les yeux, elle a passé ses jambes de part et d'autre de mon corps, approchant sa croupe de mon visage. La vue de son abricot et de son petit trou en même temps m'a rapidement remis les idées en place. Nous étions repartis pour un 69 de folie où chacun s'est détecté des fluides de l'autre...


Elle, c'est Isaline. Elle avait tout juste 20 ans et malgré son jeune âge et nos 20 ans d'écart, elle n'a pas cessé de m'étonner pendant ces 3 mois où nous nous sommes fréquentés, pendant l'été 2017. Elle restera un de mes plus beaux souvenirs et j'aurai sans doute de quoi vous écrire quelques petites histoires supplémentaires.

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Les commentaires

ik à 07:31, le 24 octobre 2018


Superbe

Simcamille à 03:31, le 4 août 2019


Tres tres jolie histoire.


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