Une partie de strip poker

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Nouvelle érotique écrite par Flore Cherry, journaliste pour le magazine Union & sex-reporter pour "Les écrits Polissons".

Chaleur

"Fabrice et moi transpirions à grosses gouttes. C'était l'été et, comme à chaque mois d'août sous les toits parisiens, la climatisation était en panne, le soleil tapait fort sur le vasistas et nos 18m2 ressemblaient de plus en plus à la cabine d'un hammam d'un hôtel-spa.

« J'en peux plus de cette chaleur ! C'est décidé, je me fous à poil ! » s'est écrié Fabrice, les lunettes de soleil encore vissées sur son nez. Imaginer voir son chibre à l'air libre, ballotant de gauche à droite sur ses cuisses trempées m'a tout de suit excitée. Nous étions tous les deux très pudiques et les seuls moments où nous tolérions notre nudité, c'était les soirs de fêtes, sous la couette et dans le noir complet. D'autant que je me souvienne, je ne crois pas l'avoir surpris un jour à se doucher dans la salle de bain et réciproquement. Nous avions pris l'habitude de fermer soigneusement le loquet à chaque fois que notre nudité nous l'imposais.

 

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Nos fantasmes

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« Chéri, il est dimanche...nous avons le temps, non ? Tu veux te mettre nu, soit ! Mais je n'accepterais de te voir sans tes vêtements qu'à une seule condition ! Réponds à ma question... » J'ai écarté outrageusement les jambes, pour que ma jupe se soulève au dessus de ma culotte et j'ai continué du bout des lèvres « ... quel est ton fantasme, le plus fou ? ».

 

Fabrice a immédiatement détourné le regard et s'est gratté la tête en faisant semblant de réfléchir. Je voyais bien que mon attitude le gênait... et  à la vue de sa bosse qui dardait sous son pantalon, l'excitait en même temps ! « Tu sais bien que ce n'est pas possible... » m'a-t-il répondu, mi-embarrassé, mi-amusé. « Tu as chaud, oui ou non ? Tu veux retirer cette chemise, n'est-ce pas ? Alors réponds ! » Il a soufflé à demi-mots « ... mon fantasme, le plus fou –complètement fou d'ailleurs – serait que tu aies 3 seins... »

 

Il a retiré sa chemise en même temps, dévoilant son torse moite et poilu. J'ai tout de suite eu envie de venir le lécher mais je me suis contenue, restant bien à distance. « A moi ! » s'est-il écrié comme un enfant « Je vois bien que ta culotte te porte chaud et que tu rêverais de la retirer. Connais-tu... ma position préférée ? Attention ! Pas le droit à l'erreur. » Quelle question facile ! J'autorisais Fabrice, les rares soirs où nous rentrions éméchés d'une dîner entre amis, à me prendre à quatre pattes et à me claquer le cul en même temps. Même s'il s'excusait à demi-mots de son comportement le lendemain matin, je savais bien qu'au fond, cette configuration l'avait bien excitée. « La levrette... » ai-je soupiré, sûre de moi, en retirant ma culotte. Je ne me rasais que rarement et j'étais soulagée que ma toison buissonnante puisse enfin respirer sous ma jupe.

 

Partie de poker

J'ai contemplé le paquet de cartes à jouer à côté de moi. « Ok, on se lance dans un poker ! Si je gagne, tu retires tes lunettes de soleil ridicules, si je perds, je retire ma jupe. Tu te souviens du classement des mains ? » Fabrice s'est approché de moi, à table, en hochant gravement la tête. Au fur et à mesure que je distribuais les cartes avec la dextérité digne d'un croupier, je sentais la main de Fabrice venir s'immiscer délicatement sous ma jupe et s'approcher à quelques centimètres de ma chatte.

 

Je l'ai repoussé gentiment d'un coup de coude. Il n'a qu'à attendre patiemment ! Je sentais qu'il ne tenait plus, qu'il voulait faire voler mes vêtements d'un coup et lécher mon sexe, goûter à ma sueur, mais il essayait de contenir avec un calme étonnant son sang froid.« Tu as une bonne main ? » lui ai-je demandé, un sourire au coin. « Toujours... » m'a-t-il répondu, mystérieusement. Je contemplais ma Quinte Flush avec fierté et je l'ai étalée, triomphante, sous ses yeux. « Bien joué ! » a-t-il accepté « Je n'avais qu'un brelan d'as. Mais bon, à ma décharge, 3 cartes de la même couleur, c'est toujours mieux qu'une paire... » m'a-t-il dit en rigolant et en retirant ses lunettes de soleil, vaincu.

 

Il a plongé son regard dans le mien, et a saisi mon menton de ses deux doigts. « Je n'en peux plus d'attendre, ma puce, la fin de ton jeu. Je vais te foutre à poil, à quatre pattes, et te claquer le cul, comme tu sais que j'aime te faire.» En un battement de cil, je me suis retrouvée en plein jour à quatre pattes sur le lit avec Fabrice qui me bourrinait à l'arrière. Agrippée à ce que je pouvais pour contrer ses à-coups, je sentais mes mains et mes genoux qui glissaient sous nos vêtements, encore trempés de sueur.

Je crois qu'à partir d'aujourd'hui, nous n'allons plus jamais fermer le loquet de la salle de bain."

 

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