Un heureux hasard, Part II

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Episode 4

La brunette était douée dans l’art de la fellation, une experte hors norme ! Elle enroulait sa langue autour de mon sexe, l’engouffrait jusqu’aux tréfonds de sa gorge, l’aspirait avec une ardeur que je n’avais pour l’heure jamais connue. Par moments, elle le délaissait de sa bouche, tout en continuant à l’astiquer avec ferveur, pour gober entièrement mes testicules. L’extase se faisait menaçante…

Je la sentais elle aussi se raidir, se crisper, frissonner de plus en plus, sous la langue non moins experte de notre amie commune, le visage enfoui dans sa croupe de rêve. Il fallait que je tienne, il fallait que je tienne… Les prendre, l’une après l’autre, était devenu une obsession. Je devais connaître, ou redécouvrir, les contours de leurs entrailles, je devais les goûter, humer leurs saveurs iodées, je devais parcourir chaque parcelle de leurs peaux, si toutefois j’étais libéré de mes liens…

Pour l’heure, je subissais les délicieux assauts linguaux de cette beauté tout en admirant l’élue de mon cœur, accroupie, poitrine nue, jupe relevée et la main caressant sous son string un sexe que je devinais dégoulinant. Mon Dieu, qu’elle était belle… J’apercevais de temps à autres, quand elle écartait un peu plus le tissu, ses lèvres gonflées de désir, légèrement rougies par ses caresses. La petite brune fut tout à coup saisie d’un tremblement, ô combien révélateur, bientôt suivi d’une série de soubresauts et de gémissements allant crescendo, avant d’expulser un ultime cri de jouissance.

Ma belle releva la tête, visiblement satisfaite du résultat qu’elle avait provoqué. Elle rejoignit son amie entre mes jambes et lui roula un patin digne des plus grands films de la spécialité ! Je pensais à tort que la brunette allait lui rendre la pareille, mais après qu’elles se soient toutes les deux amusées avec ma verge, se la passant de bouche en bouche à tour de rôle, elles avaient apparemment un autre projet ! Elles me détachèrent enfin pour me conduire jusqu’au lit dans lequel, sans plus de ménagement qu’elles l’avaient fait pour le fauteuil, elles me balancèrent, en riant toujours.

Ainsi allongé sur le dos, mon esprit galopait de plus belle, du moins le court instant avant que l’action ne reprenne. Les deux demoiselles se placèrent de part et d’autre de mon corps, le surplombant pour s’embrasser goulûment, le caressant de leurs quatre mains. Peu à peu, elles esquissaient une légère rotation si bien que, rapidement, ma belle offrit à ma bouche son sexe humide tandis que sa copine s’empalait sur mon dard reconnaissant…

J’avais les mains libres cette fois et la ferme intention d’en tirer profit ! Je commençais par caresser la jolie croupe qui m’était présentée, en tâter la douceur, évaluer sa rondeur et profiter de sa chaleur. Le spectacle offert à mes yeux complétait bien le plaisir que me procurait cette première femme offerte à mon orifice buccal et à mes petits jeux pervers. Mais je dois admettre que la seconde femme de la partie faisait tout pour me faire perdre la tête non sans un certain succès. Elle avait entreprit d’aller et venir le long de ma verge tantôt rapidement, tantôt très lentement. Parfois elle s’arrêtait en plein milieu ou me faisait ressortir complètement, plaçait mon gland juste à l’entrée de son con et faisait de touts petits mouvements. Ca me rendait complètement dingue, je ne savais jamais à quoi allait ressembler son prochain mouvement, si elle allait s’empaler violemment sur mon membre, en ressortir et l’abandonner pour ensuite venir frotter dessus sa chatte ruisselante de désir ou monter et descendre lentement en serrant si fort son périnée que j’aurai pu jurer que c’était une main qui me branlait, une main chaude, humide et très douce.

Je m’étonnais moi-même de ne pas avoir encore joui étant donné l’extrême excitation que me suscitaient ces deux-là. Peut-être était-ce dû à mon inébranlable volonté de les posséder toutes les deux. Quoiqu’il en soit, ce n’était pas vraiment le moment de me poser des questions, mieux valait prendre et donner un maximum de plaisir, j’aurai tout le loisir d’analyser tout cela plus tard. Mes mains qui s’étaient jusqu’alors concentrées sur les fesses de ma belle commencèrent à s’aventurer le long de ses cuisses, les caressant, les frôlant, les chatouillant selon l’effet attendu. Je voulais découvrir, explorer et jouer avec toutes ses zones érogènes et faire monter encore plus son désir.

J’aurai aimé à l’extrême qu’elle repousse violemment sa complice pour s’empaler à son tour sur ma queue et se prendre vigoureusement dessus. En attendant, elle tressaillait chaque fois qu’un doigt s’approchait un peu plus des parties les plus intimes de son anatomie. Elle attendait patiemment que je lui en donne plus mais l’humidité qui luisait tout le long de ses lèvres était révélatrice de l’effort que ça devait lui coûter.

Estimant qu’elle était maintenant prête à subir mes assauts, je commençais à faire des cercles de plus en plus concentriques autour de son clito et lorsqu’ils furent assez petits pour ne plus stimuler que cette zone-là, je cessais toute stimulation. Le râle de frustration qu’elle échappa lorsque le contact cessa me réjouit au plus au point et je faillis à ce moment-là me laisser aller aux douceurs que me procurait toujours la brunette avec une expertise qui ne cessait de me ravir.

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Lorsque je repris le contrôle de mon membre, et un peu mes esprits aussi, je recommençais le même jeu autour du vagin de ma petite impatiente, j’allais même jusqu’à la pénétrer d’une phalange et à continuer mes cercles concentriques en elle. Elle commençait à onduler et échapper quelques soupirs. Chaque fois que mon doigt ressortait elle aussi serrait son périnée comme pour le retenir et lui intimer de continuer son manège. Mais il ressortait inexorablement et reprenait sa lente et langoureuse progression circulaire jusqu’à retrouver ce doux cocon perlant de cyprine.

Chaque fois sa frustration me produisait le même effet et une fois même je me crus perdu. Ce petit jeu sadique nous ravissait tous les 3, la brunette qui souhaitait ardemment ma fin et y trouvait à chaque fois une chance d’y parvenir, ma victime qui malgré sa frustration semblait fort apprécier mes petits traitements et moi pour le plaisir de tous mes sens et la satisfaction sans nom de pouvoir jouer de la sorte avec autant de succès. J’étais proche de l’extase la plus parfaite et je décidais de soulager enfin un peu cette superbe femme qui avait décidément tout pour me rendre complètement fou d’elle…

Episode 5

Elle se pencha davantage encore, afin d’embrasser goulûment sa comparse qui se démenait telle une divine furie sur ma queue dressée, ne lui laissant toujours aucun répit.

Ce léger mouvement avait suffi, comme si elle avait deviné mes intentions lubriques, à rapprocher ostensiblement son sexe de mon visage. Je ne me fis pas prier et commençai, tout doucement, à lécher la mouille dégoulinant le long de ses cuisses fermes et onctueuses. De temps à autres, mes lèvres, mon nez, frôlaient son sexe humide et je humais avec délices ses effluves iodées. Ma langue darda de ma bouche et je parcourus délicatement ses lèvres, grandes et petites, avant de l’immiscer au cœur de son intimité. Vous dire que c’était le meilleur festin qu’aurait dégusté un roi serait mentir. Un nectar béni des Dieux plutôt, ne souffrant aucune comparaison sur l’échelle gustative. Ce faisant, j’agrippais ses cuisses, l’attirant encore plus vers moi, dans l’optique de m’insérer au plus profond d’elle.

Elle se laissa faire et rejeta la tête en arrière, tout en commençant elle aussi à onduler de la croupe. J’apercevais, à quelques centimètres de ma bouche, son clito gonflé de désir et retardais sciemment le moment de le titiller de la langue, de le suçoter de mes lèvres avides. Je le pris enfin en bouche, engouffrant par là même mon nez dans sa chatte béante. Je la sentis tressaillir de plaisir dès les premiers coups de langue que je lui prodiguais. Tout occupé à déguster ma belle, j’en oubliais presque la brunette qui s’acharnait sur ma bite ce qui, en soi, me permettait d’oser espérer résister un peu plus et de satisfaire ces deux déesses.

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Littéralement, je bouffais la chatte de ma belle…Plaisir exquis, visiblement partagé si j’en croyais les gémissements que je percevais, les tremblements qui parcouraient son corps, la cyprine qui ne cessait de ruisseler de sa fente. 

La brunette n’était pas en reste et elle explosa bientôt en un soubresaut accompagné d’un râle sonore, simultanément à celui que ma douce poussa après un ultime coup de langue sur son bouton adoré. Elles se redressèrent toutes les deux, hagardes, se regardèrent et sourirent d’un air entendu…. Le pouvoir qu’elles venaient de me donner, elles le reprirent aussitôt qu’elles eurent retrouvé leurs esprits et je redevins le supplicié.

Ces deux exquises créatures recommencèrent à s’embrasser et à se caresser mutuellement les fesses, la poitrine, le dos, le ventre, les cuisses pendant que j’attendais, le sexe raide, long et douloureux de tant d’excitation et de plaisir. Elles se tenaient debout au pied du lit, juste ne face de moi, comme pour mieux me narguer. Je commençais à me masturber en les observant se câliner. C’était tout à la fois excitant et dérangeant. Je me sentais un peu comme un voyeur qui épie une scène qu’il n’est pas sensé voir, qui s’octroie le bénéfice de ces luxurieuses visions et espère encore tirer parti, si je puis dire, de ces deux incroyables merveilles.

Je me sentais donc délaissé, tendu et gêné et je dois admettre que dans mes fantasmes les plus fous, ce n’est pas ce que j’avais imaginé ressentir dans ce genre de situation. Il fallait absolument que j’y remédie ! Je décidai donc de prendre le dessus, me levai, les rejoignis et les encerclai toutes deux de mes bras. Je les caressai doucement dans le dos, laissant mes mains courir sur leurs fesses puis de leur chute de rein jusqu’à leur nuque et refermai doucement mais fermement mes doigts sur leurs cheveux.

Elles cessèrent de s’embrasser tournèrent la tête vers moi, surprise je crois de mon audacieuse intervention. C’était le moment de m’imposer, j’attirai le visage de la première vers moi en l’embrassant goulument. Je sentis la seconde tenter de se rapprocher mais je la tins à l’écart grâce à ses cheveux que je tenais toujours fermement, terminai ce premier baiser avant d’écarter de mon visage cette première paire de lèvres et d’y attirer la seconde. Il s’agissait de celle de ma favorite et pendant que je forçais sa bouche, je guidais la première de l’autre main jusqu’ à ma queue pour qu’elle s’en occupe le temps que je décide de ce que j’allais en faire.

J’avoue que je pris un peu de temps pour me décider ou plutôt que je pris le temps de savourer cette victoire. Cet ascendant enfin retrouvé me permit de commander aux déesses. Je fis s’allonger la première sur le dos et envoyait ma belle la lécher, exposant à mes gourmandises son magnifique cul que je désirais si hardemment depuis notre première rencontre et dont j’avais été privé, rempli qu’il était par son homme. 

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Episode 6

Tandis qu’elle se régalait de cet abricot juteux, savamment épilé de près, je m’approchai irrésistiblement de cette croupe tant rêvée. Je la flattai de la main, délicatement, sur les parties charnues, descendant de temps à autres sur l’extérieur de ses cuisses pour mieux remonter par l’intérieur, effleurant au passage sa chatte brûlante. 

J’en profitai pour explorer son sillon béni des Dieux, humectant sa rondelle de sa propre mouille. A la vue de cet anus qui m’était offert, je me pourléchai les babines et me préparai à un somptueux festin. 

L’attendrir déjà…Pour ce faire, je m’agenouillai devant ce fessier tendu à souhait, tant ma belle était cambrée, occupée à suçoter le clito de sa comparse. Je parcourus ses fesses de baisers, donnai de grands coups de langue de son bouton jusqu’à son médaillon, le visage enfoui entre ses deux hémisphères. Ma langue dardée s’immisça dans son petit trou, le pénétra le plus profondément possible tout en tournoyant afin de l’amadouer. Je sentis ma douce se raidir, se crisper un peu, un frisson parcourant son échine. Mais nul mouvement de fuite de sa part, bien au contraire. 

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Elle bomba davantage encore son fessier, permettant à ma langue de s’enfoncer plus avant. Elle s’abandonnait totalement à ma bouche, délicieuse offrande réservée à un fidèle, hostie secrète à laquelle un païen tel que je l’étais ne pouvait que se vouer… Je ne pouvais que lui rendre grâce et l’honorer comme il se devait de l’être. 

La brunette se tortillait toujours sous la langue experte de mon amante, les yeux clos, la bouche entrouverte d’où s’échappaient de faibles mais réguliers gémissements qui en disaient long sur son degré d’excitation. Ma belle s’agrippait fermement à ses cuisses, tout comme je l’étais aux siennes, tous deux le visage enfoui dans des trésors que n’aurait renié Crésus. Je me redressai un peu et me positionnai latéralement à son corps de rêve. Ma main gauche pouvait ainsi pétrir ses seins, en titiller les pointes quand elle n’appuyait pas sur sa nuque pour qu’elle bouffe plus encore la chatte de son amie. Ma main droite se posa sur son cul et, tendrement au départ, je lui assénai quelques claques afin de le rougir. Comme je constatai qu’elle ne bronchait pas, je me fis un peu plus vigoureux et lui soutirai quelques cris étouffés. 

Dominer ces deux belles était un plaisir ineffable, je dois bien le reconnaître…Les sentir ainsi à ma merci…J’en aurais presque éjaculé rien que d’y penser! Me faisant plus tendre, je tendis le majeur, bien décidé à terme à lui faire subir l’ultime outrage.

Il glissa lentement le long de sa raie, s’accordant de diaboliques pauses, orchestrées de main de maître autour de sa rondelle. Je l’introduisis enfin dans son étroit conduit, entièrement et d’un coup, tant j’avais pu l’attendrir auparavant… Je prenais un plaisir malicieux à accélérer, décélérer les mouvements de mon doigt tant je voyais que cela lui plaisait. 

La brunette explosa de nouveau, en un râle non moins puissant que le précédent. Voyant ce que je m’apprêtais à faire, elle reprit à peine ses esprits et vint placer son visage entre les cuisses de ma belle, dans l’intention évidente de lui bouffer à son tour la chatte. 

C’était le signal que j’attendais. 

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Je revins alors me placer derrière elle, la queue dressée, prête à l’enfiler. Je la saisis par les hanches et, sans ménagement, lui enfonçai mon dard dans l’anus…

Fin !

Cette soudaine pénétration la fit instantanément entrer dans une sorte de transe lui ravissant d’extatiques soupirs de plaisir et de luxure. 

La brune s’affairait sous elle avec sa langue. Elle était sur le dos et je voyais les coups de mon bassin se répercuter jusque dans ses seins qui ondulaient au même rythme que moi. Une de ses mains avait disparu sous sa comparse, j’en déduisis qu’elle devait l’employer à décupler le plaisir qu’elle lui assenait déjà avec sa langue en comblant le dernier orifice de ma belle. 

Pour ma part s’en était trop et j’étais le véritable supplicié de l’affaire. En effet, chacune d’elle avait déjà joui au moins une fois alors que j’en avais été privé jusqu’à maintenant. Elles m’avaient mis mille images aussi obscènes qu’excitantes en tête et m’avaient fait subir mille tourments de plaisir, de soumission et de domination. C’était déjà bien plus que je n’en avais jamais supporté et j’étais douloureusement prêt à me laisser aller moi aussi et à juter sans aucun scrupule dans ce magnifique cul, devant cette vision de rêve.

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Ma belle semblait au paroxysme elle aussi, elle ondulait sur la langue et les doigts de son amante et venait rebondir sur ma bite pour mieux repartir vers son assaillante. Par moment, elle se raidissait et marquait de petites pauses, signe évident qu’elle allait de nouveau jouir. 2 - 2 - 0 pour ces dames, je me félicitais intérieurement de cet exploit chevaleresque et me préparais à les honorer moi aussi d’un bel achèvement.

Je raffermis ma prise sur les hanches de ma douce et commençait à la pilonner comme un forçat. Sentant le changement de rythme, la brune s’activa plus vigoureusement aussi. Sa langue lapait littéralement son clito et ses lèvres pendant que ses doigts exploraient tout son vagin. Tout son visage était trempé de cyprine et elle semblait s’en délecter. Je sentis alors mon enculée se raidir et s’immobiliser comme pour prolonger encore la sensation du plaisir qui se répand à travers le corps avant d’exploser. Peine perdue, je n’avais pas l’intention de l’épargner mais je me pris à ralentir et à avoir de lents et longs mouvements pour la torturer un peu plus encore. Là, c’est elle qui n’y tint plus et elle se remit à s’empaler vigoureusement sur ma queue. Nous eûmes alors, simultanément, un orgasme d’une puissance effarante, de ceux qui vous suspendent dans le temps et l’espace et vous laissent là, pantois et pantelant. Je compris à ce moment-là que je ne pourrais pas me contenter de cela et que j’allais absolument avoir besoin de la revoir et de jouir à nouveau de son corps qui m’inspirait de millions de manières différentes. J’aurai pu me perdre dans mes réflexions mais la plaisir avait fait son œuvre et nous nous assoupirent tous les trois … 

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